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    Novecento (1900)
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    Vareche
    Vareche

    44 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 novembre 2007
    Bertolucci ne se prend pas pour n'importe qui. Digérant les monstres sacrés du patrimoine, du précieux Boignoffi, du guindé Visconti jusqu'au naïf De Sica, en passant par l'outrance de la comédie dramatique boufonne où on réduit les bourgeois aux paysans, il systématise qelque chose de latent et d'inexplorer dans le cinéma italien, à ce que le baroque et l'exubérance auraient pu s'allier au néo réalisme, au lieu d'en être un contrepoint brillant mais formaliste, un système hybride qui aura aussi été unique dans le cinéma. Bertolucci chausse ses bottes de septs lieus et brasse de l'histoire avec une grande passion et une grande connaissance de son sujet, pas l'histoire italienne, mais l'histoire des masses. Les tableaux sont de la chaire et, de loin, des mouvements, des pans de cinéma spectaculaires, la folie est toujours là, le tragique finit classiquement par tout absorbé, et surnage un engagement. Dans une volonté de politisé un cinéma qui ne finira depuis plus de decliné sur le terrain du conformisme morale politique et esthétique (culte de la forme notemment dans le cinéma russe classique), le réalisateur construit de nouvelles conventions, ou les rapprochement sexuels sont explorés ou la confusion devient amère et triste. Bien qu'il ne reste rien de bertolucci aujourd'hui (aprés ses incartades orientales désincarnées et inutiles) on pourra se souvenir qu'il aura construit une des plus belles fresques historiques du cinéma du 20ème et sans rougir y avoir mis ce qu'un raffinement prudent ne faisait que murmurait dans le cinéma italien trés bourgeois d'alors, du rouge. Cimino s'en souviendra pour ce qui sera l'avenement de la fresque américaine ancienne.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    1900 (ou Novecento) est une fresque cinématographique sur le XXe siècle italien (ou du moins sur sa première moitié) très réussie.
    J'ai vu les deux parties à la suite et je ne me souviens plus d'où se trouve la frontière entre les deux moitiés.
    Le film de Bernardo Bertolucci marche très bien grâce un casting extrêmement solide, mêlant stars américaines et européennes : Gérard Depardieu, Robert de Niro, Donald Sutherland, Burt Lancaster … et même si les acteurs ici, ne délivrent pas forcément leurs plus grandes performances (on a vu notamment Gérard Depardieu faire mieux), le tout reste convaincant (et Donald Sutherland pour le coup, est excellent en fasciste sadique).
    Cette fresque suit l'évolution à travers les âges de deux enfants, nés le même jour, dans le même village mais pas sous la même étoile : le premier, fils du propriétaire terrien, se voit offrira dès la naissance le droit de jouir de tout, tandis que le second, fils de métayer, sera condamné à trimer et à mener une vie plus miséreuse.
    Un bon film.
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2014
    Portée par un vrai sens de la fresque que le montage exprime puissamment à de rares expressions près, cette épopée foisonnante et fleuve sur l'Italie populaire de la première moitié du XXème, et à travers elle sur les cycles de l'Histoire, est une oeuvre profondément marquée par la patte de Bernardo Bertolucci. La tension sexuelle qui jalonne son cinéma surligne inévitablement le caractère passionnel du moteur qui pousse les hommes à écrire la destinée de leur Monde, même si par ailleurs il arrive qu'elle salisse légèrement l'émotion. On retrouve aussi tout l'engagement du cinéaste, à l'excès d'ailleurs, quand celui-ci sombre dans un manichéisme agaçant appuyé par une violence dont la gratuité sent forcément une forme de manipulation factice. C'est d'ailleurs bien une des seules choses que je reprocherai à Bertolucci tant par ailleurs il s'avère convaincant, surtout au travers de son sens de l'image toujours impeccable, souvent impressionnant. J'ai aussi totalement goûté au charme de la photographie, dont le grain désuet est très immersif, ainsi qu'à la partition forcément réussie d'Ennio Morricone. Côté casting, les grands noms se succèdent, et voir tant de gueules célèbres vaquer dans le récit puis le quitter, preuve qu'elles sont mises à son service et non l'inverse, à quelque chose d'impressionnant qui lui confère une vraie ampleur. Seules les deux têtes d'affiche De Niro et Depardieu, impeccables de bout en bout, traverseront les quelques cinq heures de pellicule qui auront entres autres vu défiler Sterling Hayden (sobre mais consistant), Burt Lancaster (d'une présence souveraine) et Donald Sutherland (inquiétant et dégoûtant à souhait). J'ai aussi apprécié l'idée de faire correspondre périodes historiques et saisons dans un grand mouvement pas sans effet sur l’œil. Non vraiment, il est dommage qu'un long-métrage souvent si fin dans la forme soit si caricatural dans le fond, et qu'il soit un peu moins documenté sur l'époque que ce que j'espérais, sa reconstitution soignée n'étant pas vraiment mise en avant. Au moins, Novecento possède incontestablement le souffle qui aura par exemple manqué à Michael Cimino quelques années plus tard avec son Heaven's Gate, pour rester dans la fresque sociale à grande échelle. Un long-métrage imparfait, mais marquant et quasi-légendaire.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2018
    Fresque politique et idéologique tout aussi somme que modèle, 1900 de Bernardo Bertolucci est un film d’une ambition folle. L’immensité de ce diptyque monumental ne réside pas uniquement dans sa durée (5h17). Le casting international convoqué, la narration filant sur près d’un demi-siècle, la réalisation impeccable, un tournage sur neuf mois embrassant les quatre saisons annuelles sont autant d’éléments qui nous poussent à considérer cette saga familiale comme l’un des plus grands films italiens des années 1970. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    108 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2019
    Chef-d’œuvre mésestimé du cinéma italien et mondial, film monumental à l’ambition démesurée, fresque épique et éminemment politique retraçant un demi-siècle de l’histoire de l’Italie, tableau d’une beauté saisissante sur la vie, les mœurs et les traditions des paysans d’Émilie-Romagne au début du siècle dernier, production hollywoodienne au fort parfum communiste, (très) long-métrage au casting démentiel, œuvre nostalgique sur l’amitié, le temps qui passe et les utopies perdues,... 1900 (Novecento) est tout cela à la fois. Réalisé par Bernardo Bertolucci au milieu des années 70 dans la foulée du succès du Dernier tango à Paris, ce film aux mille paradoxes semble à la fois intemporel, de par les thèmes qu’il développe et le panorama qu’il dresse sur la campagne et les paysans, et à la fois très ancré dans son temps, de par sa grande politisation, son engagement pro-communiste et son incroyable liberté de ton – plusieurs séquences sont sexuellement explicites. Remarquablement mis en scène par un cinéaste au sommet de son art (et de sa mégalomanie), magnifiquement mis en lumière par un Vittorio Storario qui s’apprêtait à travailler sur Apocalypse now de Francis Ford Coppola, bénéficiant de décors naturels somptueux, Novecento est porté par des acteurs étourdissants de fougue, de folie et de passion : Gérard Depardieu, Robert De Niro, Dominique Sanda, Donald Sutherland, Burt Lancaster, Sterling Hayden, Laura Betti, Stefania Sandrelli, Romolo Valli, Alida Valli, Maria Monti,... Extraordinaire de bouillonnement et d’exaltation.
    JoeyTai
    JoeyTai

    20 abonnés 445 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mai 2011
    Cette superbe fresque sur l'histoire de l'Italie dans la première moitié du XXème siècle possède d'indéniables qualités et constitue une œuvre très réussie. Elle est toutefois handicapée par quelques éléments. Au premier chef sa longueur, qui pour moi n'est pas totalement justifiée. Certaines scènes auraient pu être supprimées sans que l'intrigue en souffre aucunement. Les acteurs sont talentueux. Ils apparaissent toutefois caricaturaux dans certaines situations, tels Depardieu en paysan mal dégrossi ou Sutherland en fasciste psychopathe. La voix de Dominique Sanda sonnait faux, c'est peut-être dû au doublage. La lutte immuable entre paysans et patrons est au cœur du film. Mais c'est également un film sur l'amitié. Parmi les points forts, je retiens aussi la superbe musique de Morricone, et une mise en scène recherchée, avec des plans magnifiques dans la campagne italienne. A voir, donc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 septembre 2012
    Grande fresque de plus de 5 heures. Beaucoup de thématique brassées, montée du fascisme (surtout dans l'acte 2), lutte des classes (durant tout le film), les guerres mondiale et aussi des histoires intimes. Énormément de scènes fortes en émotion et en symbole (parfois le cinéaste en fait trop d'ailleurs). Les jeux des acteurs sont déconcertants (surtout Sutherland) et même énervant tant c'est exacerbé.
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2010
    Une grande fresque de l'Histoire de l'italie à travers l'histoire d'Olmo et d'Alfredo, que tout sépare, mais qui entretiendront une grande amitié malgré leurs différents. Une super musique (de Morricone), deux grands acteurs à leur débuts, Depardieu et DeNiro (et Donald Sutherland en Attila!) (Quel surprise de les voir jouer ensemble.). Le film est très beau, mais un peu trop long, avec des scènes qui ne sont pas franchement très utiles.. et le parti pris se sent un peu trop. Mais ce film est une grande œuvre et je ne suis peut-être pas assez connaisseur en histoire de l'Italie pour l'apprécier toute entière.
    carbone144
    carbone144

    94 abonnés 775 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2008
    Film qui mérite d'être vu.
    Fresque toute racontée d'un point de vu de la société à partir des deux personnages principaux. Le tout ponctué de scènes incroyables de temps à autre.
    Je regrète la musique un peu faible de Morricone, ainsi que la voix de la "française" que je trouve horrible.
    Sinon, acteurs irréprochables, décors assez réduits (manque de volume).
    fabrice d.
    fabrice d.

    26 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 mai 2023
    J'ai trouvé cette fresque, cette saga monumentale de Betolucci un peu fastidieuse.
    Je n'ai pas ressenti simplement la magie que peut procurer un bon, grand et long film de cinéma.
    Sur plus de 50 ans, on suit la vie de deux personnages, l'un riche (De Niro), le patron et l'autre, pauvre (Depardieu), l'ouvrier.
    Ils vont s'aimer, se combattre pendant toute leur vie, ne se perdant jamais de vu. L'un voulant ce que l'autre a et vice versa.
    Les scènes s'enchainent parfois difficilement, sans transition. Et le film aurait gagné à être divisé en plusieurs films selon moi.
    Reste beaucoup de bonnes choses, de grands acteurs, bien doublés au fait, et une belle histoire de l'Italie moderne.
    Le blat 0
    Le blat 0

    3 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 décembre 2018
    Une grande fresque avec du souffle. Toutefois rien ne saurait justifier la maltraitance animale omniprésente dans le film. À gerber de ce point de vue là. Ça suffit. On est en rien supérieur quand on fait des saloperies aux animaux
    Ghighi19
    Ghighi19

    70 abonnés 1 877 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 avril 2019
    Découvert chez moi en une superbe édition Blue ray j ai un peu honte de voir pour la première fois un film dans ces conditions mais parfois ça permet de découvrir de grand film . C est le cas ici pour cette fresque humaine qui déborde dans tous les sens .
    Un plaisir gargantuesque de cinéma.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 mars 2020
    *1900* n’est pas qu’un simple film merveilleux signé du grandiose Bernardo Bertolucci. Non, *1900* est aussi et surtout une grande contemplation de l’Italie du début du XXème siècle. Une époque où les pensées se confrontent et où passé et progrès s’affrontent ! *1900* parle d’une Italie sombre et authentique, qui voit son identité se jumeler à travers une Europe entière à l’aube du totalitarisme de masse et des grandes guerres. Bertolucci embrasse cette époque à travers une fresque monumentale et passionnante de 5 heures retraçant l’amitié de deux hommes, qui vont s’avérer devenir comme de véritable acteurs de cette époque charnière.

    Olmo Dalco (Gérard Depardieu) est fils de paysan. Toute sa grande famille travaille sur le domaine des riches propriétaires Berlinghieri. Olmo est un garçon dur et débrouillard, mais cela ne l'empêche de se lier d'amitié avec le fils de ses exploitants : Alfredo Berlinghieri (Robert De Niro). Les deux garçons vont vivre une grande histoire d'amitiés à partir de leurs jeunesses jusqu'aux ages les plus avancés, et tout cela malgré leurs statuts sociales différents, les guerres à répétition et une Italie voyant son identité majoritaire sombrer dans le fascisme. Leurs fougue et leurs amour fraternel vont les conduire à s'aimer coûte que coûte malgré les pensées qui divergent.

    Les classes sociales commencent à prendre conscience de leurs statut. Les paysans ne sont plus de simples exploités minoritaires mais deviennent une véritable masse dont la force insoupçonnée jusqu'alors peut s’avérer bénéfique pour sortir d'une certaines misère pesante. Mais c'est une confrontation douloureuse à laquelle doivent faire face les agriculteurs qui ont toujours comptés sur l'agilité de leurs mains et la force de leurs bras : le progrès s'invite dans les campagnes italienne ! Les propriétaires veulent remplacer les hommes par les machines. Ceux-ci qui ont alors toujours vécu de la terre sont tout proche de se retrouver à la marge. Les révoltes s'intensifient et les répressions augmentent. L'émergence du communisme connait la douleur face à celle grandissante du fascisme incarné par un véritable proche sanguinaire du père Berlinghieri : Attila Mellanchini (Donald Sutherland).

    Olmo et Alfredo assistent à cette véritable transformation d'une Italie quittant le passé pour s'ouvrir à l'époque industrielle du XXème siècle. Mais les deux compères ne sont pas indemnes face à cette magistrale évolution historique. Olmo découvre le communisme et devient un porte-parole du droit des paysans. Alfredo quant à lui, est asphyxié par les sombres pensées émergentes au cœur du patronat. Voulant quitter le plus rapidement possible cette réalité grandissante, Alfredo privilégie la fuite des idées néfaste de son père et de son entourage au profit d'une vie aux côtés d'artistes, de leurs libertés et leurs pensées socialistes. Ce qui est sûr, c'est qu'aucun de ne peut vraiment quitter sa classe sociale d'origine. Il est indéniable que si Alfredo fuit le fascisme ambiant, il ne n'en reste pas moins un futur propriétaire ! C'est dans ces contradictions politiques magistralement reconstituées que Olmo et Alfredo découvrent leurs futurs indéniablement imprégnés de leurs origines. Je retiendrai une scène représentant de manière très intéressante cette idée fondatrice de ce chef d'oeuvre de Bernardo Bertolucci : une scène du 2ème acte représentant Olmo se battant avec Attila, le tout avec Alfredo au milieu de ce combat acharné des idées. Une contradiction entre milieu social et idées profondes d'Alfredo qui pourraient lui coûter cher tant la situation est amenée à dégénérer les années à venir !

    Il n'est pas nouveau de dire que Bertolucci n'est pas un sain dans la question cinématographique (référence à la scène sulfureuse et problématique du *Dernier Tango à Paris* sorti en 1972). Dans son fort naturalisme, *1900* devient inévitablement une oeuvre violente tant son propos passionnant soit-il, est imprégné d'une identité sombre. Mais ici, les nombreuses scènes de sexes et de tueries marquent les caractéristiques sur les rapports entre les personnages. Rien n'est amenés par hasard et au cœur de cette grande reconstitution, Bernardo Bertolucci amène son sens de la poésie, de la provocation et de l'amour du cinéma lui-même. Sa mise en scène tant sa face magistrale est saisissante, embrasse de la manière la plus belle possible une époque fondatrice et profondément perdu de l'Italie ! Même si dans la grande majeure partie du film, le point de vue prend le côté des paysans et du communisme, Bertolucci n'oublie pas les dérives de cette pensée et ramène bien-sûr aux limites incassables qui feront sombrer une grande partie de l'Europe de l'est sous l'asphyxiante tutelle de l'URSS.

    Les mots ne sont pas assez grands pour parler de *1900* ! Bernardo Bertolucci signe une immense et passionnante fresque de 5 heures pour parler de l'Italie et de ses contradictions, aux débuts d'un XXème siècle mouvementé ! Pour donner encore plus d'ampleur et de personnification à ces idées, Bertolucci fait appel à une grande histoire d'amitié qui va traverser cette longue et douloureuse période. Une forte amitié entre Olmo et Alfredo, séparés par leurs statut et quelques fois par leurs idées, mais réuni dans la fougue et l'amour fraternel ! **Chef-d'oeuvre incontestable !**
    Kill-Django
    Kill-Django

    42 abonnés 319 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    Woua, tout simplement ! J'avais peur d'acheter ce film car 5h, c'est quand même long pour un film, mais en faite, pas du tout, les 5h, séparé en deux actes, vont à une vitesse tout simplement incroyable. Certains films de 1h30 reste plus long que ce film qui dure 5h ...Robert De Niro et Gérard Depardieu sont parfait, le mise en scène est incroyable. 1900 est un film qui faut voir réellement, pour tout grand fan de vrai cinéma. Un des meilleurs film de tout les temps !
    kray
    kray

    53 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2011
    Fresque énorme , démesurée , 1900 témoigne de la montée du fascisme et de la lutte des classes symbolisée par les personnages de robert de niro et depardieu . Impressionnant mais nécessitant toutefois une certaine connaissance du contexte de l'époque afin de pouvoir apprécier pleinement ce film de ...5 heures !
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