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    Fuis-moi je te suis
    Note moyenne
    3,9
    21 titres de presse
    • Franceinfo Culture
    • L'Humanité
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • CinemaTeaser
    • Elle
    • Femme Actuelle
    • L'Obs
    • Le Monde
    • Libération
    • Sud Ouest
    • Transfuge
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Positif
    • Première
    • Critikat.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Franceinfo Culture

    par Laurence Houot

    Evoquant le cinéma français de la Nouvelle vague - un Godard, ou encore un Rohmer - le diptyque Suis-moi je te fuis, Fuis-moi, je te suis est un enchantement.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Ce qui rend le processus prenant et accroche le spectateur est que non seulement les personnages sont en perpétuel mouvement, faisant des allers et retours chez les uns ou chez les autres, mais qu’ils se perdent et se retrouvent sans cesse.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Les Fiches du Cinéma

    par Keiko Masuda

    La seconde partie de ce diptyque est à envisager comme le miroir de la première, avec laquelle elle s’imbrique parfaitement, en faisant ressortir les points communs des protagonistes. Les deux œuvres forment un tout indissociable, à la construction remarquable.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par Thierry Chèze

    Un drame amoureux captivant.

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    L’amour est-il affaire de déterminisme ? Le réalisateur de Harmonium explore joliment la question dans ce diptyque habilement construit.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Elle

    par La Rédaction

    Une histoire d'amour en deux parties, qui mêle mélodrame et thriller avec un charme fou !

    Femme Actuelle

    par Amélie Cordonnier

    Ce voyage sentimental a le charme discret du Japon quotidien.

    L'Obs

    par Xavier Leherpeur

    Entre l’indécision chronique du garçon et le mariage raté de la jeune femme, le cinéaste ouvre quelques hypothèses, mais choisit de tenir à distance toute explication, préférant montrer le mécanisme de la dépendance et de la soumission affective. Quelque part entre Rohmer et Bergman.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Toute la beauté du film réside dans la formidable tapisserie de détours et de contournements qui retardent indéfiniment l’acceptation des deux amants. Entre-temps, Fukada cartographie une société japonaise et un monde du travail qui fonctionnent comme une grande machine à refouler les sentiments, selon une forme de schizophrénie institutionnalisée entre vie professionnelle et vie privée.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Libération

    par Marius Chapuis

    Dans ce diptyque, tiré de la série qu’il a réalisé au Japon, le cinéaste compose un tableau amoureux intense et langoureux. Et campe de captivants personnages de femmes, de l’inconnue insaisissable au flirt régulier.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    La finesse des caractères, l’inattendu des situations et la délicatesse avec laquelle l’ensemble se déploie font de ces « Suis-moi, je te fuis » et « Fuis-moi je te suis » une fugue réjouissante sur le sentiment amoureux.

    Transfuge

    par Corentin Destefanis Dupin

    C’est bien lorsque la satire sociale laisse place à ce romantisme un peu gauche et bancal que naissent les plus belles scènes, légères et délicates, de Suis-moi je te fuis, comme de son pendant Fuis-moi je te suis.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Le film, riche de péripéties, est adapté d’un manga. Fukada en a tiré d’abord une série en dix épisodes. Le succès aidant, il a décidé de la réduire, pour le cinéma, en diptyque. Suis-moi je te fuis est le premier volet. Le second, Fuis-moi je te suis, arrive la semaine prochaine. On s’en réjouit.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par Daniel Blois

    Une très belle conclusion.

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Dans un style faussement ingénu, Kôji Fukada déroule une critique acerbe contre la société japonaise pétrie de non-dits et de contradictions. Pour autant, le récit ne parvient pas à accrocher franchement son spectateur.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Romain Lefebvre

    Si la division en deux films répond sans doute à un critère pragmatique, la forme du diptyque trouve un autre fondement dans une écriture qui déploie un système de répétition et une inversion des positions. D’une partie à l’autre, la rencontre devient ainsi l’histoire d’une libération mutuelle.

    La Croix

    par Céline Rouden

    Le film, d’une durée totale de quatre heures, n’évite pas les baisses de rythme mais vaut le détour pour la finesse de son propos et de sa construction.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Journal du Dimanche

    par S.B.

    Dans cette suite de Suis-moi, je te fuis, Koji Fukada poursuit sa réflexion sur la complexité du sentiment amoureux en abordant la question du mariage arrangé, voire forcé, la toxicité masculine, l’abus de faiblesse et l’inconstance sur un mode mélodramatique, loin de la légèreté de la première partie. Tout en esquissant un portrait impitoyable du monde de l’entreprise à Tokyo. Poignant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Positif

    par Adrien Gombeaud

    L’ensemble porte cependant les stigmates du format « série » et peine à trouver son unité et sa fluidité. Le récit s’alourdit notamment de redondances ou, au contraire, d’ellipses trop brutales.

    Première

    par Thierry Chèze

    Il y a certes des trous d’air pendant les 4 heures du récit mais rien qui ne vienne mettre en péril l’essentiel : la fascination qu’exercent ces personnages et l’incapacité à anticiper ce qu’ils vont faire dans la seconde qui suit.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Critikat.com

    par Valentin Denis

    Essoré par les quatre heures de film, on en sort avec une toute autre conviction que celle qui semble l’animer : en matière de psychologie, versatilité ne rime pas avec complexité.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
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