Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Evoquant le cinéma français de la Nouvelle vague - un Godard, ou encore un Rohmer - le diptyque Suis-moi je te fuis, Fuis-moi, je te suis est un enchantement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce qui rend le processus prenant et accroche le spectateur est que non seulement les personnages sont en perpétuel mouvement, faisant des allers et retours chez les uns ou chez les autres, mais qu’ils se perdent et se retrouvent sans cesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Keiko Masuda
La seconde partie de ce diptyque est à envisager comme le miroir de la première, avec laquelle elle s’imbrique parfaitement, en faisant ressortir les points communs des protagonistes. Les deux œuvres forment un tout indissociable, à la construction remarquable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Un drame amoureux captivant.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
L’amour est-il affaire de déterminisme ? Le réalisateur de Harmonium explore joliment la question dans ce diptyque habilement construit.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par La Rédaction
Une histoire d'amour en deux parties, qui mêle mélodrame et thriller avec un charme fou !
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Ce voyage sentimental a le charme discret du Japon quotidien.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Entre l’indécision chronique du garçon et le mariage raté de la jeune femme, le cinéaste ouvre quelques hypothèses, mais choisit de tenir à distance toute explication, préférant montrer le mécanisme de la dépendance et de la soumission affective. Quelque part entre Rohmer et Bergman.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Toute la beauté du film réside dans la formidable tapisserie de détours et de contournements qui retardent indéfiniment l’acceptation des deux amants. Entre-temps, Fukada cartographie une société japonaise et un monde du travail qui fonctionnent comme une grande machine à refouler les sentiments, selon une forme de schizophrénie institutionnalisée entre vie professionnelle et vie privée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Marius Chapuis
Dans ce diptyque, tiré de la série qu’il a réalisé au Japon, le cinéaste compose un tableau amoureux intense et langoureux. Et campe de captivants personnages de femmes, de l’inconnue insaisissable au flirt régulier.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
La finesse des caractères, l’inattendu des situations et la délicatesse avec laquelle l’ensemble se déploie font de ces « Suis-moi, je te fuis » et « Fuis-moi je te suis » une fugue réjouissante sur le sentiment amoureux.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
C’est bien lorsque la satire sociale laisse place à ce romantisme un peu gauche et bancal que naissent les plus belles scènes, légères et délicates, de Suis-moi je te fuis, comme de son pendant Fuis-moi je te suis.
Télérama
par Jacques Morice
Le film, riche de péripéties, est adapté d’un manga. Fukada en a tiré d’abord une série en dix épisodes. Le succès aidant, il a décidé de la réduire, pour le cinéma, en diptyque. Suis-moi je te fuis est le premier volet. Le second, Fuis-moi je te suis, arrive la semaine prochaine. On s’en réjouit.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
Une très belle conclusion.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Dans un style faussement ingénu, Kôji Fukada déroule une critique acerbe contre la société japonaise pétrie de non-dits et de contradictions. Pour autant, le récit ne parvient pas à accrocher franchement son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Si la division en deux films répond sans doute à un critère pragmatique, la forme du diptyque trouve un autre fondement dans une écriture qui déploie un système de répétition et une inversion des positions. D’une partie à l’autre, la rencontre devient ainsi l’histoire d’une libération mutuelle.
La Croix
par Céline Rouden
Le film, d’une durée totale de quatre heures, n’évite pas les baisses de rythme mais vaut le détour pour la finesse de son propos et de sa construction.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Dans cette suite de Suis-moi, je te fuis, Koji Fukada poursuit sa réflexion sur la complexité du sentiment amoureux en abordant la question du mariage arrangé, voire forcé, la toxicité masculine, l’abus de faiblesse et l’inconstance sur un mode mélodramatique, loin de la légèreté de la première partie. Tout en esquissant un portrait impitoyable du monde de l’entreprise à Tokyo. Poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Adrien Gombeaud
L’ensemble porte cependant les stigmates du format « série » et peine à trouver son unité et sa fluidité. Le récit s’alourdit notamment de redondances ou, au contraire, d’ellipses trop brutales.
Première
par Thierry Chèze
Il y a certes des trous d’air pendant les 4 heures du récit mais rien qui ne vienne mettre en péril l’essentiel : la fascination qu’exercent ces personnages et l’incapacité à anticiper ce qu’ils vont faire dans la seconde qui suit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Valentin Denis
Essoré par les quatre heures de film, on en sort avec une toute autre conviction que celle qui semble l’animer : en matière de psychologie, versatilité ne rime pas avec complexité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
Evoquant le cinéma français de la Nouvelle vague - un Godard, ou encore un Rohmer - le diptyque Suis-moi je te fuis, Fuis-moi, je te suis est un enchantement.
L'Humanité
Ce qui rend le processus prenant et accroche le spectateur est que non seulement les personnages sont en perpétuel mouvement, faisant des allers et retours chez les uns ou chez les autres, mais qu’ils se perdent et se retrouvent sans cesse.
Les Fiches du Cinéma
La seconde partie de ce diptyque est à envisager comme le miroir de la première, avec laquelle elle s’imbrique parfaitement, en faisant ressortir les points communs des protagonistes. Les deux œuvres forment un tout indissociable, à la construction remarquable.
Ouest France
Un drame amoureux captivant.
CinemaTeaser
L’amour est-il affaire de déterminisme ? Le réalisateur de Harmonium explore joliment la question dans ce diptyque habilement construit.
Elle
Une histoire d'amour en deux parties, qui mêle mélodrame et thriller avec un charme fou !
Femme Actuelle
Ce voyage sentimental a le charme discret du Japon quotidien.
L'Obs
Entre l’indécision chronique du garçon et le mariage raté de la jeune femme, le cinéaste ouvre quelques hypothèses, mais choisit de tenir à distance toute explication, préférant montrer le mécanisme de la dépendance et de la soumission affective. Quelque part entre Rohmer et Bergman.
Le Monde
Toute la beauté du film réside dans la formidable tapisserie de détours et de contournements qui retardent indéfiniment l’acceptation des deux amants. Entre-temps, Fukada cartographie une société japonaise et un monde du travail qui fonctionnent comme une grande machine à refouler les sentiments, selon une forme de schizophrénie institutionnalisée entre vie professionnelle et vie privée.
Libération
Dans ce diptyque, tiré de la série qu’il a réalisé au Japon, le cinéaste compose un tableau amoureux intense et langoureux. Et campe de captivants personnages de femmes, de l’inconnue insaisissable au flirt régulier.
Sud Ouest
La finesse des caractères, l’inattendu des situations et la délicatesse avec laquelle l’ensemble se déploie font de ces « Suis-moi, je te fuis » et « Fuis-moi je te suis » une fugue réjouissante sur le sentiment amoureux.
Transfuge
C’est bien lorsque la satire sociale laisse place à ce romantisme un peu gauche et bancal que naissent les plus belles scènes, légères et délicates, de Suis-moi je te fuis, comme de son pendant Fuis-moi je te suis.
Télérama
Le film, riche de péripéties, est adapté d’un manga. Fukada en a tiré d’abord une série en dix épisodes. Le succès aidant, il a décidé de la réduire, pour le cinéma, en diptyque. Suis-moi je te fuis est le premier volet. Le second, Fuis-moi je te suis, arrive la semaine prochaine. On s’en réjouit.
Voici
Une très belle conclusion.
aVoir-aLire.com
Dans un style faussement ingénu, Kôji Fukada déroule une critique acerbe contre la société japonaise pétrie de non-dits et de contradictions. Pour autant, le récit ne parvient pas à accrocher franchement son spectateur.
Cahiers du Cinéma
Si la division en deux films répond sans doute à un critère pragmatique, la forme du diptyque trouve un autre fondement dans une écriture qui déploie un système de répétition et une inversion des positions. D’une partie à l’autre, la rencontre devient ainsi l’histoire d’une libération mutuelle.
La Croix
Le film, d’une durée totale de quatre heures, n’évite pas les baisses de rythme mais vaut le détour pour la finesse de son propos et de sa construction.
Le Journal du Dimanche
Dans cette suite de Suis-moi, je te fuis, Koji Fukada poursuit sa réflexion sur la complexité du sentiment amoureux en abordant la question du mariage arrangé, voire forcé, la toxicité masculine, l’abus de faiblesse et l’inconstance sur un mode mélodramatique, loin de la légèreté de la première partie. Tout en esquissant un portrait impitoyable du monde de l’entreprise à Tokyo. Poignant.
Positif
L’ensemble porte cependant les stigmates du format « série » et peine à trouver son unité et sa fluidité. Le récit s’alourdit notamment de redondances ou, au contraire, d’ellipses trop brutales.
Première
Il y a certes des trous d’air pendant les 4 heures du récit mais rien qui ne vienne mettre en péril l’essentiel : la fascination qu’exercent ces personnages et l’incapacité à anticiper ce qu’ils vont faire dans la seconde qui suit.
Critikat.com
Essoré par les quatre heures de film, on en sort avec une toute autre conviction que celle qui semble l’animer : en matière de psychologie, versatilité ne rime pas avec complexité.