Le réalisateur a l'art de produire des images filmiques superbes , baignées de lumières, qui font découvrir des villes, villages, familles, d'une partie du monde qu'on assimile a la Chine. Avec les détails savoureux de nourritures de la bas. Ses personnages sont pris au vif, dans leurs occupations quotidiennes, tres naturelles, comme si on venait s'immiscer chez eux et qu'on y était chez nous. Comme dans " un air de famille" , parlant d'une famille composé de membres sans liens familiaux, des personnages, plus ou moins malfrats incarnés et montres de telles façons, comme vu d l'intérieur, qu'ils en retirent des circonstances attenuantes. On aime malgré tout ces hésitants du bon chemin, on ne veut que voir de l'histoire, les bons côtes sans drames. Et pourtant dans ce film aussi comme dans l'autre, il y en a des drames, vers la fin quand on découvre le passé de la jeune mère, au cours de la cavale-adoption, et celui qu'on ne verra pas juste avant la fin, sans parler du dénouement ou la femme de la police en civil et du renseignement surtout arrêtent tout le monde ("on est pas des services" sociaux, dit- elle en planque dans leur voiture, quand la plus jeune sa collegue, lui dit qu'elle a "l'impression que c'est en amont qu'ils auraient dû intervenir" - quand la jeune mère n'avait pas encore abandonné son enfant, et peut être même avant qu'elle l'ait eu, au lieu d'intervenir maintenant pour tenter de les prendre en flagrant délit de vente d'enfant. Mais la policière en civil est aussi en manque d'enfant en fait, et ou bien je me montre, c'est elle qui s'occupe de l'enfant lorsqu'elle a mis la mère en prison (?), ainsi que l'un des deux "ravisseurs" ( l'autre, protège par d'autres sources policières ou du milieu, a pu s'enfuir, d'ailleurs on ne l'a jamais vu violent a l'écran -et pourtant suivant la fin, il a du l'être finalement, selon un article de journaux citant un fait divers, scènes de crime qui semble être lié a de précédentes rencontres et jeux de forces entre renseignement et delinquant). Au vu des bon soins prodigués au nourrisson, et aux bonnes relations entretenus avec les enfants dont ils s'occupent (ils faisaient partis de la structure qui recueille dans une boîte a bébés, les bébés dont les mères ne veulent plus, dont ils ont effacés pour celui ci, la bande vidéo du moment où il a été trouvé, tandis que normalement ils sont ensuite eleves, et adoptés éventuellement, regulierement, si la mere n'a pas mis un mot ou signalé "qu'elle reviendrait un jour", auquel cas, ils ne sont pas adoptables, ce qui est même l'arguments de ses serviteurs de bonnnes mœurs - ravisseurs, pour "vendre" des bébés en vue d'une bonne et vraie adoption), on devient du partie de ces quatres compères, dont les deux acteurs sont prêt à renoncer à la vente, si la mère s'en occupe. Mais ce serait oublier qu'au début, la vente de l'enfant lui a été imposé par ces deux la. Et qu'elle a tué le père de l'enfant qui était en fait un "client" regulier. On comprends alors pourquoi elle a finit par monnayer l'enfant, trouver pas assez cher le prix demande aux futurs parents ( malgré son souhait de pouvoir le revoir). Mais elle finit aussi, et la on est étonné, au début au moins quand on ne connait pas encore son passe, a collaborer avec la police en civil, qui lui propose de trahir les deux hommes ( qui s'occupe du bien de son enfant dont elle peine a s'occuper). Ils finissent par découvrir, et même accepter cela, conscient de ce qu'ils ont imposes a la jeune fille ( de le vendre, puisqu'elle l'a abandonné, parce que soi disant c'est le mieux pour lui, parce que la plupart des mères ne reviennent jamais et l'enfant n'a pas de famille puisqu'il ne peut alors être adopté, sur l'excuse d'un mot a ce propos qu'elle a glissé dans le vetement du bébé, et son souhait dit lorsqu'elle les a rencontré en vrai pour la première fois, avant d'être sollicité pour partir avec eux le vendre, ceci donnant plus de crédit a leur entreprise pour placer le bébé, sans lui permettre de refuser qu'il soit vendu).
Si on efface tous les asassinats, qui sont bien cachés, dans un scénario parfois un peu thriller soft, qui les montrent peu, on ne se souvient, que de couleurs, de lumières, de bons soins à des gamins pas trop mal lotis, on oubli un les séquelles décelables d'un des deux hommes qui a été abandonné et est aussi, ce père aimant mais qui participe a un projet -vente bb (qu'on présente un moment comme une bonne action), bat si fort un ennemi, on se souvient d'une grande roue, ou de bons sentiments auraient pu faire basculer la jeune fille vers le camp de ces hommes sachant être doux, pour une vie a quatre avec le bébé, la juste pour lui et les autres enfants. Le final arrestation et le fait divers, remet les pieds sur terre de ce qu'on avait oublié, mais on se dit qu'il y a une forme d'injustice car les gens ne sont pas arettes pour les bonnes raisons. On se demande quand des images de bonheur au bord de la mer montre une femme ressemblant a l'énigmatique policière en civil déguisé en innofensive jeune vieille JF ( sa collègue étant encore plus lambda), si ce n'est pas la raison de sa ténacité a voir vendu l'enfant pour pouvoir les prendre en faire d'illégalité et les faire arrêter, comme elle s'en était à moitié ouverte a sa collègue. On est étonné du prix de temps de prison effectué par la jf ( loi coréenne sans doute). Encore une fois une étude des meurs, particulière, qui fait découvrir la société d'un pays, par ce réalisateur talentueux.