Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Remarquablement mis en scène et interprété (on y retrouve notamment Song Kang-Ho, le génial acteur de « Parasite »), « les Bonnes étoiles » compte quelques scènes magnifiques, comme cette déclaration d’amour au sommet d’une grande roue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Kore-eda donne plus d’importance à ses personnages qu’aux situations et au scénario. C’est par la lenteur, le temps qu’il consacre à les décrire, un par un, deux par deux, trois par trois, etc., que le cinéaste nous prépare à accepter l’inacceptabilité de la “famille” qu’il nous expose. C’est du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télé 2 semaines
par S.O.
Le Japonais Hirokazu Kore-eda aborde encore un sujet grave avec délicatesse et humour. Agrémenté d'une dose de thriller, le résultat a l'allure d'un chef-d'œuvre.
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Et c’est justement parce que ses péripéties sont cocasses et peu crédibles, que Les Bonnes étoiles parvient à rayonner d’un charme réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Après Une affaire de famille, Palme d’or au Festival de Cannes 2018, Kore-Eda retrouve son thème de prédilection, les liens de hasard, et tisse un film imparfait, mais plein de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par Charlotte Marsal
[Une] œuvre délicate d’une grande poésie et portée par une sublime bande-originale [...].
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
À mesure que l’on connaît ces personnages abîmés qui, ensemble, se font du bien, une mélancolie s’installe et une lame de fond d’émotions grandit sans que l’on s’en rende compte, venant tout dévaster.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Entre Busan et Séoul, en Corée du Sud, un road-trip abracadabrant, une virée du cœur.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
La nouvelle chronique chorale de Kore-eda se pare d'atours plus légers pour réaffirmer avec la même force et la même nuance sa vision de la famille, la plus belle proposée pour le moment par le cinéma grand public.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Suspense, drôlerie et émotion, ce Kore-eda met des étoiles plein les yeux.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Des éléments de comédie, de drame social, d'enquête policière forment un ensemble plein d'humanité complexe comme la vie.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
La Corée va comme un gant au cinéaste japonais. La lumière est splendide, le cadre de toute beauté. Entre polar et road movie, il se méfie de la bien-pensance. Le cinéaste ne joue ni au malin ni au provocateur, il aime faire bouger les lignes, interroger les certitudes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Après Un air de famille, le Japonais Kore-eda explore le phénomène des « baby box » en Corée du Sud et signe un road-trip sensible et émouvant sur les familles qu’on se crée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le cinéaste Hirokazu Kore-eda continue d’explorer les multiples formes de la famille dans un film faussement léger et incroyablement émouvant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un road-trip abracadabrant, une virée du cœur.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Film en forme de road-movie, le nouveau long-métrage de Kore-eda se penche une nouvelle fois sur la famille. Avec une forte empathie pour ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit d’un rythme languissant, Les Bonnes Étoiles séduit par sa mise en scène délicate et minutieuse, au plus près de personnages en crise dissimulant leurs traumatismes passés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Une tendre fable sur l'abandon.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Récit familial au scénario riche en rebondissements, le film est une variation mineure autour de thèmes chers à Kore-eda, mais passionnante par son casting coréen de qualité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C’est un petit cran en dessous de l’excellent Une affaire de famille dont on retrouve certains éléments mais ça reste un très beau film.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Gael Golhen
La mise en scène de Kore-eda, maître du cinéma miniature, fait éclore la vérité de ses héros dans des séquences tour à tour nocturnes ou lumineuses (baignée par le soleil des bords de mer), drôles ou déchirantes.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Serge Kaganski
Kore-eda ne sert pas ici du jus de moraline familialiste mais continue d’explorer avec finesse toutes les variations que peut revêtir le concept de « famille ».
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Magistral et bouleversant.
Télérama
par Guillemette Odicino
Le cinéaste japonais signe une réjouissante fable sur les liens familiaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
ore-eda est fidèle à sa thématique privilégiant les liens familiaux à travers des parcours insolites. L’œuvre est un bijou de délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
L’impression de légèreté qui se dégage paradoxalement du récit n’émane alors pas tant de la générosité très prévisible des protagonistes que du dynamisme d’un récit qui se déploie pour la première fois sur le mode du road-movie.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Plaisant et drôle, Les Bonnes étoiles n’est toutefois pas dénué de longueurs [...].
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Comme souvent chez le réalisateur d’« Une affaire de famille », la violence et la détresse sociales sont pansées par l’empathie et la délicatesse d’une mise en scène elliptique, ici emberlificotée dans une sous-intrigue policière qui nuit à la crédibilité de l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sud Ouest
par Sophie Avon
Emballage policier, mais tendresse générale.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Josué Morel
À force d’étaler sa mignonnerie, Kore-eda transforme le « tout le monde a ses raisons » de Renoir en un « tout le monde a un bon fond ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par J.Ma.
Le film est plaisant à suivre, pourvoyeur de situations parfois drôles, mais peine à mettre sa mise en scène à la hauteur de son propos. Son Kang-Ho, favorisé par le scénario, est le seul à tirer son épingle du jeu dans cette histoire farfelue et tient ce mélo repeint aux couleurs d’un « feel good movie ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Assez indigeste, les Bonnes Etoiles [...] fait l’effet d’un gros buffet de bons sentiments, qui peine à former un tout cohérent tant il s’égare en péripéties dictées davantage par leur éventuelle mignonnerie que la cohérence de scénario.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Denitza Bantcheva
Si le mélodrame et la comédie réconfortante ont, au fond, la même visée thérapeutique, la façon dont ces deux genres s’entremêlent ici s’avère de moins en moins efficace au fil de l’action, malgré la bonne facture de la mise en scène et le talent des interprètes.
Le Parisien
Remarquablement mis en scène et interprété (on y retrouve notamment Song Kang-Ho, le génial acteur de « Parasite »), « les Bonnes étoiles » compte quelques scènes magnifiques, comme cette déclaration d’amour au sommet d’une grande roue.
Les Inrockuptibles
Kore-eda donne plus d’importance à ses personnages qu’aux situations et au scénario. C’est par la lenteur, le temps qu’il consacre à les décrire, un par un, deux par deux, trois par trois, etc., que le cinéaste nous prépare à accepter l’inacceptabilité de la “famille” qu’il nous expose. C’est du grand art.
Télé 2 semaines
Le Japonais Hirokazu Kore-eda aborde encore un sujet grave avec délicatesse et humour. Agrémenté d'une dose de thriller, le résultat a l'allure d'un chef-d'œuvre.
20 Minutes
Et c’est justement parce que ses péripéties sont cocasses et peu crédibles, que Les Bonnes étoiles parvient à rayonner d’un charme réjouissant.
Bande à part
Après Une affaire de famille, Palme d’or au Festival de Cannes 2018, Kore-Eda retrouve son thème de prédilection, les liens de hasard, et tisse un film imparfait, mais plein de grâce.
CNews
[Une] œuvre délicate d’une grande poésie et portée par une sublime bande-originale [...].
CinemaTeaser
À mesure que l’on connaît ces personnages abîmés qui, ensemble, se font du bien, une mélancolie s’installe et une lame de fond d’émotions grandit sans que l’on s’en rende compte, venant tout dévaster.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Entre Busan et Séoul, en Corée du Sud, un road-trip abracadabrant, une virée du cœur.
Ecran Large
La nouvelle chronique chorale de Kore-eda se pare d'atours plus légers pour réaffirmer avec la même force et la même nuance sa vision de la famille, la plus belle proposée pour le moment par le cinéma grand public.
Elle
Suspense, drôlerie et émotion, ce Kore-eda met des étoiles plein les yeux.
Femme Actuelle
Des éléments de comédie, de drame social, d'enquête policière forment un ensemble plein d'humanité complexe comme la vie.
L'Humanité
La Corée va comme un gant au cinéaste japonais. La lumière est splendide, le cadre de toute beauté. Entre polar et road movie, il se méfie de la bien-pensance. Le cinéaste ne joue ni au malin ni au provocateur, il aime faire bouger les lignes, interroger les certitudes.
La Croix
Après Un air de famille, le Japonais Kore-eda explore le phénomène des « baby box » en Corée du Sud et signe un road-trip sensible et émouvant sur les familles qu’on se crée.
La Voix du Nord
Le cinéaste Hirokazu Kore-eda continue d’explorer les multiples formes de la famille dans un film faussement léger et incroyablement émouvant.
Le Dauphiné Libéré
Un road-trip abracadabrant, une virée du cœur.
Le Figaro
Film en forme de road-movie, le nouveau long-métrage de Kore-eda se penche une nouvelle fois sur la famille. Avec une forte empathie pour ses personnages.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un rythme languissant, Les Bonnes Étoiles séduit par sa mise en scène délicate et minutieuse, au plus près de personnages en crise dissimulant leurs traumatismes passés.
Le Point
Une tendre fable sur l'abandon.
Les Fiches du Cinéma
Récit familial au scénario riche en rebondissements, le film est une variation mineure autour de thèmes chers à Kore-eda, mais passionnante par son casting coréen de qualité.
Ouest France
C’est un petit cran en dessous de l’excellent Une affaire de famille dont on retrouve certains éléments mais ça reste un très beau film.
Première
La mise en scène de Kore-eda, maître du cinéma miniature, fait éclore la vérité de ses héros dans des séquences tour à tour nocturnes ou lumineuses (baignée par le soleil des bords de mer), drôles ou déchirantes.
Transfuge
Kore-eda ne sert pas ici du jus de moraline familialiste mais continue d’explorer avec finesse toutes les variations que peut revêtir le concept de « famille ».
Télé 7 Jours
Magistral et bouleversant.
Télérama
Le cinéaste japonais signe une réjouissante fable sur les liens familiaux.
aVoir-aLire.com
ore-eda est fidèle à sa thématique privilégiant les liens familiaux à travers des parcours insolites. L’œuvre est un bijou de délicatesse.
Cahiers du Cinéma
L’impression de légèreté qui se dégage paradoxalement du récit n’émane alors pas tant de la générosité très prévisible des protagonistes que du dynamisme d’un récit qui se déploie pour la première fois sur le mode du road-movie.
Franceinfo Culture
Plaisant et drôle, Les Bonnes étoiles n’est toutefois pas dénué de longueurs [...].
L'Obs
Comme souvent chez le réalisateur d’« Une affaire de famille », la violence et la détresse sociales sont pansées par l’empathie et la délicatesse d’une mise en scène elliptique, ici emberlificotée dans une sous-intrigue policière qui nuit à la crédibilité de l’ensemble.
Sud Ouest
Emballage policier, mais tendresse générale.
Critikat.com
À force d’étaler sa mignonnerie, Kore-eda transforme le « tout le monde a ses raisons » de Renoir en un « tout le monde a un bon fond ».
Le Monde
Le film est plaisant à suivre, pourvoyeur de situations parfois drôles, mais peine à mettre sa mise en scène à la hauteur de son propos. Son Kang-Ho, favorisé par le scénario, est le seul à tirer son épingle du jeu dans cette histoire farfelue et tient ce mélo repeint aux couleurs d’un « feel good movie ».
Libération
Assez indigeste, les Bonnes Etoiles [...] fait l’effet d’un gros buffet de bons sentiments, qui peine à former un tout cohérent tant il s’égare en péripéties dictées davantage par leur éventuelle mignonnerie que la cohérence de scénario.
Positif
Si le mélodrame et la comédie réconfortante ont, au fond, la même visée thérapeutique, la façon dont ces deux genres s’entremêlent ici s’avère de moins en moins efficace au fil de l’action, malgré la bonne facture de la mise en scène et le talent des interprètes.