Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est une bonne surprise que Souterrain de la réalisatrice québécoise Sophie Dupuis.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Empruntant les codes du cinéma de genre, la manière dont Sophie Dupuis fait voir à la fois l’exiguïté, l’asphyxie et le mystère du labyrinthe minéral où se déroule ce huis clos stupéfie de maîtrise.
Le Figaro
par A.H.
Entre drame familial et survival, la réalisatrice dépeint avec brio la descente aux enfers d'un mineur (Joakim Robillard) poursuivi par son passé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
D’abord introduit comme une masse uniforme où règne le machisme ordinaire et la camaraderie virile, la caméra de Sophie Dupuis s’approche des êtres pour mieux les individualiser et, patiemment, en révéler toute la vulnérabilité. Chaque être semblant tenir en équilibre sur un fil, à deux pas du précipice, pouvant s’effondrer à tout moment entre les questionnements existentiels, les fautes morales qui resurgissent du passé et les chairs meurtries par la rudesse du métier.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Lelo Jimmy Batista
La mise en scène, sobre et fluide, confirme la présence derrière la caméra d’une cinéaste intérieurement investie là où d’autres, avec un budget plus important et le triple de décors auraient été infoutus de faire autre chose qu’un téléfilm. Une vraie et belle surprise.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Un récit sincère et généreux de salvation personnelle, porté par un comédien fascinant de beauté et de justesse, Joakim Robillard.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Plus que le sol, ce sont les coeurs blessés de ses personnages évoluant dans un milieu viril qu'explore une intrigue servie par une mise en scène précise et des acteurs impeccables.
Positif
par Alain Masson
Si les machines d’exploitation impressionnent, le geste ouvrier n’est pas toujours bien défini aux yeux du spectateur ignorant. Mais les interprètes, maîtrisant le rythme, les silences, les intensités changeantes, convainquent et émeuvent.
Télérama
par Marie Sauvion
Au-delà d’une intrigue qui fait la part belle à la culpabilité sans briller par son originalité, on retient une impressionnante descente dans ces tunnels aurifères où l’erreur ne pardonne pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Véronique Cauhapé
L'univers de la mine s'estompe, hélas, au profit d'une étude de caractère sans grand enjeu.
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Sophie Dupuis confirme son talent de direction d’acteurs mais, échouant à ouvrir son film à une fresque sociale, se contente d’un drame familial artificiel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thomas Baurez
Dommage, en revanche, que son scénario balourd accumule les situations mélodramatiques et délite peu à peu ce qu’il avait si bien mis en place. Dès lors l’artifice fissure les parois fragiles d’un film soudain mis à nu.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
C’est une bonne surprise que Souterrain de la réalisatrice québécoise Sophie Dupuis.
La Septième Obsession
Empruntant les codes du cinéma de genre, la manière dont Sophie Dupuis fait voir à la fois l’exiguïté, l’asphyxie et le mystère du labyrinthe minéral où se déroule ce huis clos stupéfie de maîtrise.
Le Figaro
Entre drame familial et survival, la réalisatrice dépeint avec brio la descente aux enfers d'un mineur (Joakim Robillard) poursuivi par son passé.
Les Inrockuptibles
D’abord introduit comme une masse uniforme où règne le machisme ordinaire et la camaraderie virile, la caméra de Sophie Dupuis s’approche des êtres pour mieux les individualiser et, patiemment, en révéler toute la vulnérabilité. Chaque être semblant tenir en équilibre sur un fil, à deux pas du précipice, pouvant s’effondrer à tout moment entre les questionnements existentiels, les fautes morales qui resurgissent du passé et les chairs meurtries par la rudesse du métier.
Libération
La mise en scène, sobre et fluide, confirme la présence derrière la caméra d’une cinéaste intérieurement investie là où d’autres, avec un budget plus important et le triple de décors auraient été infoutus de faire autre chose qu’un téléfilm. Une vraie et belle surprise.
aVoir-aLire.com
Un récit sincère et généreux de salvation personnelle, porté par un comédien fascinant de beauté et de justesse, Joakim Robillard.
Le Journal du Dimanche
Plus que le sol, ce sont les coeurs blessés de ses personnages évoluant dans un milieu viril qu'explore une intrigue servie par une mise en scène précise et des acteurs impeccables.
Positif
Si les machines d’exploitation impressionnent, le geste ouvrier n’est pas toujours bien défini aux yeux du spectateur ignorant. Mais les interprètes, maîtrisant le rythme, les silences, les intensités changeantes, convainquent et émeuvent.
Télérama
Au-delà d’une intrigue qui fait la part belle à la culpabilité sans briller par son originalité, on retient une impressionnante descente dans ces tunnels aurifères où l’erreur ne pardonne pas.
Le Monde
L'univers de la mine s'estompe, hélas, au profit d'une étude de caractère sans grand enjeu.
Les Fiches du Cinéma
Sophie Dupuis confirme son talent de direction d’acteurs mais, échouant à ouvrir son film à une fresque sociale, se contente d’un drame familial artificiel.
Première
Dommage, en revanche, que son scénario balourd accumule les situations mélodramatiques et délite peu à peu ce qu’il avait si bien mis en place. Dès lors l’artifice fissure les parois fragiles d’un film soudain mis à nu.