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Géraldine Nakache s’impose dans ce récit de réconciliation et d’émancipation, qui dénonce les violences faites aux femmes et les affres de la maternité, dans une atmosphère pesante et lugubre qui entretient le malaise.
Vacances ne tient que par sa mise en scène. Tout ici est impossible, invraisemblable. Nous sommes dans un rêve du début à la fin, mais on s’en fiche parce qu’on a envie d’y croire, de s’y infiltrer, dans cette histoire, de la suivre, presque au sens propre.
A travers le personnage d’une mère aussi aimante que toxique (Géraldine Nakache, impeccable) (...), ce premier long (...) ambitionne de parler tout à la fois de charge mentale, de maternité, d’hommes toxiques et de sororité. Mais bien que créant un mystère d’abord intriguant, il se perd et nous perd, faute d’une maîtrise indispensable à ses ambitions affichées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le vif talent de Géraldine Nakache donne un peu de consistance à ce personnage de « mère indigne », fragile et fébrile, mais le film peine à trouver le ton juste, entre conte vénéneux sur la condition féminine et thriller (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La mise en scène insistante en rajoute une couche dont on se passerait bien. Dénoncer la violence faite aux femmes est indispensable. Mais un peu de retenue ne serait pas de refus.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
De fait, l’affaire tourne mal, entraînant le récit sur la pente d’un thriller auquel Béatrice de Staël et Léo Wolfenstein prêtent une dimension allégorique pour le moins appuyée, et démonstrative, sur le sort réservé aux femmes (battues, mal considérées, cantonnées à leur rôle de mère) depuis la nuit des temps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Public
La tension est intense dans ce thriller sans concession au rythme déchaîné.
Le Journal du Dimanche
Géraldine Nakache s’impose dans ce récit de réconciliation et d’émancipation, qui dénonce les violences faites aux femmes et les affres de la maternité, dans une atmosphère pesante et lugubre qui entretient le malaise.
Les Fiches du Cinéma
Avec ses allures de conte, ce thriller cauchemardesque nous plonge dans un univers singulier, intrigant, mais inégal.
Les Inrockuptibles
Vacances ne tient que par sa mise en scène. Tout ici est impossible, invraisemblable. Nous sommes dans un rêve du début à la fin, mais on s’en fiche parce qu’on a envie d’y croire, de s’y infiltrer, dans cette histoire, de la suivre, presque au sens propre.
Ouest France
Une ambiance de film de genre aussi surprenante que maladroitement maîtrisée.
Première
A travers le personnage d’une mère aussi aimante que toxique (Géraldine Nakache, impeccable) (...), ce premier long (...) ambitionne de parler tout à la fois de charge mentale, de maternité, d’hommes toxiques et de sororité. Mais bien que créant un mystère d’abord intriguant, il se perd et nous perd, faute d’une maîtrise indispensable à ses ambitions affichées.
Télérama
Le vif talent de Géraldine Nakache donne un peu de consistance à ce personnage de « mère indigne », fragile et fébrile, mais le film peine à trouver le ton juste, entre conte vénéneux sur la condition féminine et thriller (...).
Voici
Le film ne convainc pas vraiment, passant du drame domestique un peu poussif au thriller improbable (...).
L'Obs
La mise en scène insistante en rajoute une couche dont on se passerait bien. Dénoncer la violence faite aux femmes est indispensable. Mais un peu de retenue ne serait pas de refus.
Le Monde
De fait, l’affaire tourne mal, entraînant le récit sur la pente d’un thriller auquel Béatrice de Staël et Léo Wolfenstein prêtent une dimension allégorique pour le moins appuyée, et démonstrative, sur le sort réservé aux femmes (battues, mal considérées, cantonnées à leur rôle de mère) depuis la nuit des temps.