Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Fluctuat.net
par Samir Ardjoum
Bent Keltoum n'est pas seulement un film contemplatif, c'est aussi une oeuvre poétique, étrange et teintée de frémissantes odeurs sahariennes. Grave, elle sait éviter le gouffre du mélodrame.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Africultures.com
par Olivier Barlet
On finit par y croire. Peut-être parce que nous aussi, on aime croire au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Africultures.com
Ciné Live
par Olivier Petit
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
par Isabelle Daniel
Le drame de Rallia, ses rencontres de chemin - mise à part une scène tragi-comique formidable avec un Jean-Roger Milo, demeuré magnifique, qui s'éprend soudain éperdument de Nedjma la folle -, et la révélation finale sont un peu convenus, littéraires, emblématiques. Mais l'implication totale des comédiennes Cylia Malki (Rallia) et Baya Belal (Nedjma) fait le reste.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
TéléCinéObs
par Frédéric Faure
Mehdi Charef prend son temps pour nous conter cette histoire. Souvent, il laisse parler le paysage et les visages de ses interprètes. Et cette lenteur finit par envoûter, servir l'émotion.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le sentiment du réalisateur de non-appartenance à un paysage montagneux (...), sa révolte sourde face à la condition des femmes du pays sont assez bien rendus pendant toute la première partie du film, toute en silences (...).
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
Si l'histoire peut gêner par son côté artificiel, il n'empêche que Mehdi Charef est un vrai cinéaste et que cette Fille de Keltoum offre quelques très belles séquences de cinéma.
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Mehdi Charef n'évite cependant pas les clichés propres à beaucoup de road-movie et liés à l'errance, ainsi qu'un amoncellement de bons sentiments qui enlève beaucoup d'épaisseur aux personnages.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Remy Batteault
(...) la tension entre les deux femmes ne prend jamais vraiment, et lors de la révélation finale, un rien prévisible, on peut se dire que le film aurait gagné à traiter cet "après" qui reste en suspens. A ce titre, la dernière image du film peine à trouver le poids qu'elle aurait dû avoir. Dommage donc, car le sujet possède un véritable potentiel.
Zurban
par Claire Vassé
Certes, le film a du mal à trouver son rythme et à imposer sa griffe. Mais il reste la cruauté de certaines situations, un émouvant dénouement et la sincérité de Mehdi Charef.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Aden
par Philippe Piazzo
S'il s'agit de parler directement de l'impact de la guerre d'Algérie, La Fille de Keltoum manque sa cible.
Chronic'art.com
par Grégoire Bénabent
(...) empêtré dans des conventions narratives et la volonté trop consciente de décrire un pays en souffrance, La Fille de Keltoum reste à niveau d'observation très schématique, et ne devient jamais la quête intérieure qu'il prétend être.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Mehdi Charef s'enlise dans une allégorie lourdement symbolique et moraliste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
La Fille de Keltoum voue à l'égard de l'Algérie un ressentiment d'autant plus violent qu'il est mêlé d'élans. Hélas, le sixième film de Charef n'évite pas les lourdeurs d'usage dans ce genre de comptes à régler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
(...) Charef se désintéresse des personnages secondaires qui émaillent ce périple au féminin. Ils sont les simples relais d'une intention, d'une pensée ou d'une démonstration du cinéaste, qui a visiblement voulu faire plusieurs films en un.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Marine Landrot
A trop situer son film dans l'intemporalité, à le perdre dans des paysages secs et imposants qui invitent plus au rêve qu'au réveil des consciences, (Mehdi Charef) affaiblit son propos. La fille de Keltoum se réduit alors à un mélo prévisible et artificiel qui dérape crescendo vers la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
Bent Keltoum n'est pas seulement un film contemplatif, c'est aussi une oeuvre poétique, étrange et teintée de frémissantes odeurs sahariennes. Grave, elle sait éviter le gouffre du mélodrame.
Africultures.com
On finit par y croire. Peut-être parce que nous aussi, on aime croire au cinéma.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Les Echos
Le drame de Rallia, ses rencontres de chemin - mise à part une scène tragi-comique formidable avec un Jean-Roger Milo, demeuré magnifique, qui s'éprend soudain éperdument de Nedjma la folle -, et la révélation finale sont un peu convenus, littéraires, emblématiques. Mais l'implication totale des comédiennes Cylia Malki (Rallia) et Baya Belal (Nedjma) fait le reste.
TéléCinéObs
Mehdi Charef prend son temps pour nous conter cette histoire. Souvent, il laisse parler le paysage et les visages de ses interprètes. Et cette lenteur finit par envoûter, servir l'émotion.
Cahiers du Cinéma
Le sentiment du réalisateur de non-appartenance à un paysage montagneux (...), sa révolte sourde face à la condition des femmes du pays sont assez bien rendus pendant toute la première partie du film, toute en silences (...).
Le Figaroscope
Si l'histoire peut gêner par son côté artificiel, il n'empêche que Mehdi Charef est un vrai cinéaste et que cette Fille de Keltoum offre quelques très belles séquences de cinéma.
Le Monde
Mehdi Charef n'évite cependant pas les clichés propres à beaucoup de road-movie et liés à l'errance, ainsi qu'un amoncellement de bons sentiments qui enlève beaucoup d'épaisseur aux personnages.
MCinéma.com
(...) la tension entre les deux femmes ne prend jamais vraiment, et lors de la révélation finale, un rien prévisible, on peut se dire que le film aurait gagné à traiter cet "après" qui reste en suspens. A ce titre, la dernière image du film peine à trouver le poids qu'elle aurait dû avoir. Dommage donc, car le sujet possède un véritable potentiel.
Zurban
Certes, le film a du mal à trouver son rythme et à imposer sa griffe. Mais il reste la cruauté de certaines situations, un émouvant dénouement et la sincérité de Mehdi Charef.
Aden
S'il s'agit de parler directement de l'impact de la guerre d'Algérie, La Fille de Keltoum manque sa cible.
Chronic'art.com
(...) empêtré dans des conventions narratives et la volonté trop consciente de décrire un pays en souffrance, La Fille de Keltoum reste à niveau d'observation très schématique, et ne devient jamais la quête intérieure qu'il prétend être.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Les Inrockuptibles
(...) Mehdi Charef s'enlise dans une allégorie lourdement symbolique et moraliste.
Libération
La Fille de Keltoum voue à l'égard de l'Algérie un ressentiment d'autant plus violent qu'il est mêlé d'élans. Hélas, le sixième film de Charef n'évite pas les lourdeurs d'usage dans ce genre de comptes à régler.
Première
(...) Charef se désintéresse des personnages secondaires qui émaillent ce périple au féminin. Ils sont les simples relais d'une intention, d'une pensée ou d'une démonstration du cinéaste, qui a visiblement voulu faire plusieurs films en un.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
A trop situer son film dans l'intemporalité, à le perdre dans des paysages secs et imposants qui invitent plus au rêve qu'au réveil des consciences, (Mehdi Charef) affaiblit son propos. La fille de Keltoum se réduit alors à un mélo prévisible et artificiel qui dérape crescendo vers la caricature.