Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film réserve quelques scènes très drôles, dans ce registre d’humour décalé.
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ailleurs si j’y suis ne questionne pas tant la place de l’homme face à la nature que l’ordonnancement secret qui régit les relations entre les êtres - et émeut en rachetant une à une les parcelles de honte aux âmes mortes réveillées par la fuite d’un des leurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Thierry Chèze
Un conte existentiel où humour et mélancolie ne font qu'un.
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
Le cinéaste belge François Pirot réunit Jérémie Rénier, Suzanne Clément et Samir Guesmi dans une malicieuse histoire de pétage de plombs tout en douceur et en fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Ou quand un fantasme de notre temps révèle toute sa dimension burlesque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Un drôle de film dépressif, qui foutrait un affreux cafard s'il ne se frayait un chemin déroutant, avec des touches de fantaisie et un grain d'absurdité.
L'Obs
par F. F.
C’est bien pendant une heure. C’est lassant après. Jérémie Renier porte le film avec conviction, on retrouve Jean-Luc Bideau et Jackie Berroyer avec plaisir, mais est-ce assez ? Pas tout à fait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un drôle de film dépressif, qui foutrait un affreux cafard s'il ne se frayait un chemin déroutant, avec des touches de fantaisie et un grain d'absurdité.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Une fable pertinente et radicale, servie par des acteurs en lâcher-prise.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Et François Pirot (Mobil-home) réussit à nous embarquer dans sa folie douce et mélancolique au gré de ses personnages tous impactés par le choix de Mathieu et confrontés aux propres insatisfactions de leur existence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par C.M.
François Pirot livre une œuvre bien trop contemplative pour espérer émouvoir ou marquer vraiment.
Télérama
par Guillemette Odicino
Dommage que le réalisateur allonge et alourdisse un peu la narration de ce film choral, mais c’est souvent par affection pour chacun de ses personnages, parfaitement interprétés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un film tendre et loufoque avec une distribution épatante, mais dont le scénario ne tient pas ses promesses jusqu’au bout.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Jo.
Malheureusement, lorsqu’il s’agit d’inventer des désirs d’évasion à ses personnages, le récit enchaîne les clichés : contemplation un peu trop béate de la forêt, projet d’expédition pour aller rendre visite à une tribu en Amazonie, pratique du woofing…
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Chronique douce-amère d’un retour à la nature, « Ailleurs si j’y suis » affiche de belles intentions, mais le récit tourne en rond et s’avère rapidement un peu vain, tandis que les gags tombent à plat. Les comédiens, Jérémie Renier et le grand Jean-Luc Bideau en tête, font ce qu’ils peuvent, sans éclat.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par C.M.
Une œuvre trop contemplative pour espérer émouvoir.
Femme Actuelle
Le film réserve quelques scènes très drôles, dans ce registre d’humour décalé.
Les Fiches du Cinéma
Ailleurs si j’y suis ne questionne pas tant la place de l’homme face à la nature que l’ordonnancement secret qui régit les relations entre les êtres - et émeut en rachetant une à une les parcelles de honte aux âmes mortes réveillées par la fuite d’un des leurs.
Ouest France
Un conte existentiel où humour et mélancolie ne font qu'un.
Sud Ouest
Le cinéaste belge François Pirot réunit Jérémie Rénier, Suzanne Clément et Samir Guesmi dans une malicieuse histoire de pétage de plombs tout en douceur et en fantaisie.
Voici
Ou quand un fantasme de notre temps révèle toute sa dimension burlesque.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un drôle de film dépressif, qui foutrait un affreux cafard s'il ne se frayait un chemin déroutant, avec des touches de fantaisie et un grain d'absurdité.
L'Obs
C’est bien pendant une heure. C’est lassant après. Jérémie Renier porte le film avec conviction, on retrouve Jean-Luc Bideau et Jackie Berroyer avec plaisir, mais est-ce assez ? Pas tout à fait.
Le Dauphiné Libéré
Un drôle de film dépressif, qui foutrait un affreux cafard s'il ne se frayait un chemin déroutant, avec des touches de fantaisie et un grain d'absurdité.
Le Journal du Dimanche
Une fable pertinente et radicale, servie par des acteurs en lâcher-prise.
Première
Et François Pirot (Mobil-home) réussit à nous embarquer dans sa folie douce et mélancolique au gré de ses personnages tous impactés par le choix de Mathieu et confrontés aux propres insatisfactions de leur existence.
Télé 2 semaines
François Pirot livre une œuvre bien trop contemplative pour espérer émouvoir ou marquer vraiment.
Télérama
Dommage que le réalisateur allonge et alourdisse un peu la narration de ce film choral, mais c’est souvent par affection pour chacun de ses personnages, parfaitement interprétés.
La Croix
Un film tendre et loufoque avec une distribution épatante, mais dont le scénario ne tient pas ses promesses jusqu’au bout.
Le Monde
Malheureusement, lorsqu’il s’agit d’inventer des désirs d’évasion à ses personnages, le récit enchaîne les clichés : contemplation un peu trop béate de la forêt, projet d’expédition pour aller rendre visite à une tribu en Amazonie, pratique du woofing…
Le Parisien
Chronique douce-amère d’un retour à la nature, « Ailleurs si j’y suis » affiche de belles intentions, mais le récit tourne en rond et s’avère rapidement un peu vain, tandis que les gags tombent à plat. Les comédiens, Jérémie Renier et le grand Jean-Luc Bideau en tête, font ce qu’ils peuvent, sans éclat.
Télé Loisirs
Une œuvre trop contemplative pour espérer émouvoir.