Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Surtout, le film éblouit par la manière légère et joyeuse dont il envisage la démence à l’écran - du jamais-vu jusqu’ici - pour coller à la régression que vit son personnage principal.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Baptiste Roux
Le soin apporté à l’écriture et à la caractérisation des personnages, les trouvailles hilarantes (les variations mélodiques autour de la publicité Carglass) ou l’intelligence de jeu des comédiens (mention spéciale à Jo Deseure dans son interprétation de Suzanne) ont valu à ce brillant premier film une flopée de prix dans moult festivals. À ne pas oublier.
20 Minutes
par Caroline Vié
Si Une vie démente sonne si juste, c’est peut-être parce que les réalisateurs ont puisé dans leur propre biographie quand ils s’occupaient de la mère de Raphaël Balboni.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un récit inventif, émouvant et emmené par d'épatants comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Une vie démente enchante par son jeu d’équilibriste extrêmement bien senti et toujours juste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Le parti pris de la respiration fantaisiste et de la drôlerie de ton (très belge) ne fonctionnerait pas sans des qualités d’écriture aussi agiles, proches de celle de la sitcom.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un petit bijou tendre et farfelu.
Télérama
par La Rédaction
Un sujet dramatique, traité avec un humour plein de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie sur la plongée en folie d’une mère où le rire se mêle habilement au tragique dans une mise en scène volontairement burlesque et aérienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Isabelle Danel
Une fiction gonflée sur un sujet peu engageant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
La mise en scène, où dominent des plans fixes entrecoupés de jump cuts (un parti pris lié à la part d’improvisation accordée aux acteurs) frôle le systématisme, mais la fragmentation qu’elle imprime au récit, rompant avec la linéarité, saisit une intensité de l’instant.
L'Obs
par François Forestier
C’est sympathique, amusant, et, surtout, joué de façon incroyable par l’actrice Jo Deseure, dans le rôle de fofolle du troisième âge. Pas du grand cinéma, mais du cinéma qui a du cœur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Une façon d’aborder la maladie davantage du côté de la vie que de la mort, et portée de bout en bout par la prestation incroyablement juste de l’actrice Jo Deseure.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un premier long-métrage inégal mais intéressant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Le duo Ann Sirot/Raphaël Balboni confirme son style, original et spontané, avec ce premier long métrage sur un couple confronté à la maladie d’un proche. On se reconnait forcément un peu dans ce quatuor de personnages sympathiques et convaincants.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
On se demande néanmoins si la comédie sentimentale est le costume qui convient pour le sujet.
Première
par Thierry Chèze
Le duo Sirot- Balboni prend ici le parti de refuser l’accablement souvent lié à ces situations, de distiller de l’humour dans les situations absurdes du quotidien. D’en rire autant qu’en pleurer. Ils signent un film sans fausse note, jamais larmoyant mais trop scolaire pour convaincre totalement.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
Surtout, le film éblouit par la manière légère et joyeuse dont il envisage la démence à l’écran - du jamais-vu jusqu’ici - pour coller à la régression que vit son personnage principal.
Positif
Le soin apporté à l’écriture et à la caractérisation des personnages, les trouvailles hilarantes (les variations mélodiques autour de la publicité Carglass) ou l’intelligence de jeu des comédiens (mention spéciale à Jo Deseure dans son interprétation de Suzanne) ont valu à ce brillant premier film une flopée de prix dans moult festivals. À ne pas oublier.
20 Minutes
Si Une vie démente sonne si juste, c’est peut-être parce que les réalisateurs ont puisé dans leur propre biographie quand ils s’occupaient de la mère de Raphaël Balboni.
Le Journal du Dimanche
Un récit inventif, émouvant et emmené par d'épatants comédiens.
Les Inrockuptibles
Une vie démente enchante par son jeu d’équilibriste extrêmement bien senti et toujours juste.
Libération
Le parti pris de la respiration fantaisiste et de la drôlerie de ton (très belge) ne fonctionnerait pas sans des qualités d’écriture aussi agiles, proches de celle de la sitcom.
Sud Ouest
Un petit bijou tendre et farfelu.
Télérama
Un sujet dramatique, traité avec un humour plein de grâce.
aVoir-aLire.com
Une comédie sur la plongée en folie d’une mère où le rire se mêle habilement au tragique dans une mise en scène volontairement burlesque et aérienne.
Bande à part
Une fiction gonflée sur un sujet peu engageant.
Cahiers du Cinéma
La mise en scène, où dominent des plans fixes entrecoupés de jump cuts (un parti pris lié à la part d’improvisation accordée aux acteurs) frôle le systématisme, mais la fragmentation qu’elle imprime au récit, rompant avec la linéarité, saisit une intensité de l’instant.
L'Obs
C’est sympathique, amusant, et, surtout, joué de façon incroyable par l’actrice Jo Deseure, dans le rôle de fofolle du troisième âge. Pas du grand cinéma, mais du cinéma qui a du cœur.
La Croix
Une façon d’aborder la maladie davantage du côté de la vie que de la mort, et portée de bout en bout par la prestation incroyablement juste de l’actrice Jo Deseure.
Le Figaro
Un premier long-métrage inégal mais intéressant.
Les Fiches du Cinéma
Le duo Ann Sirot/Raphaël Balboni confirme son style, original et spontané, avec ce premier long métrage sur un couple confronté à la maladie d’un proche. On se reconnait forcément un peu dans ce quatuor de personnages sympathiques et convaincants.
Le Monde
On se demande néanmoins si la comédie sentimentale est le costume qui convient pour le sujet.
Première
Le duo Sirot- Balboni prend ici le parti de refuser l’accablement souvent lié à ces situations, de distiller de l’humour dans les situations absurdes du quotidien. D’en rire autant qu’en pleurer. Ils signent un film sans fausse note, jamais larmoyant mais trop scolaire pour convaincre totalement.