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Michael Corleone99
3 abonnés
292 critiques
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3,0
Publiée le 5 avril 2010
Ecrire ma critiquUn film pas mal de Woody Allen, on rigole beaucoup, Woody Allen fait un film entre le fantastique et la réalité, il a bien imaginé, peut être que le film serait mieux si il jouait dedans. Le film est un peu étrange, j’ai été légèrement déçu, pas si bien que ça ce film. On y trouve de la comédie évidement !
Conte surréaliste dans une veine cousine de ‘Zelig’ ou ‘Midnight in Paris’. L’histoire est originale et intelligemment menée ; un film à la fois drôle et triste, dans une teinte mélancolique qu’Allen maîtrise parfaitement.
Woody Allen signe de nouveau un grand film. Je me demande vraiment où il va puiser son inspiration ,il arrive à chaque fois à nous raconter une belle histoire, avec des personnages touchants, et en bonus une morale , dans ce film il montre que la vie réel est bien cruelle aussi bien dans notre quotidien qu'a travers les gens qui nous entourent, et que heureusement il y a l'imaginaire (ici représenté par le cinéma) qui nous permet de nous évader . le seul bémol est le manque d'humour dans les dialogues , qui est pourtant la spécialité du maitre.
« La Rose pourpre du Caire »… C’est tout simplement une œuvre romantique hautement philosophique et magnifique. Allen réussit astucieusement à créer une histoire sur le monde du cinéma se déroulant dans la période de la crise économique américaine des années 30. Nous suivons Cecilia, une servante malheureuse, mariée à un mari violent et alcoolique. Elle parvient à se remonter le moral juste en allant au cinéma, quand soudain le héros traverse l’écran pour lui déclarer sa flamme. Encore une fois, Woody parle de lui-même dans un de ses films. Le personnage de Cecilia (interprété majestueusement par Mia Farrow) n’est rien d’autre que le reflet du réalisateur, un personnage malheureux ne trouvant le bonheur que par la magie du cinéma. On va pas se mentir, c’est un excellent film. L’histoire d’amour impossible entre le réel et la fiction est juste splendide. Côté casting, plutôt pas mal, Farrow est charmante, Danny Aiello est charismatique. Entre les incroyables jeux d’acteurs et même la beauté des dialogues, il faut avouer que ce long-métrage est fantastique. Un film culte resplendissant d'une finesse et d’une intelligence pétillante, qui n’a pas pris une ride, et que je conseille à tout le monde, que ce soit adultes et adolescents.
Le film contient quelques unes des plus grandes scènes de lhistoire du cinéma. Une idée de génie absolu que je ne vais pas dévoiler. Une confontation entre réalité et fiction et une réflexion troublante sur l'impact du cinéma dans la vie d'autrui. Mais il comporte quelques longueurs et 2 ou 3 scenes un brin cucu.
Il n'est pas désagréable de jouer de nostalgie en regardant ce film de Woody Allen. Bien sûr, on s'attend à voir l'acteur sortir de l'écran!Bien sûr on partirait bien faire un viron avec lui de l'autre côté du miroir! Le visage empreint de naïveté, d'enfance de Mia Farrow, et ce qu'on imagine de ce qui se passe devant ses yeux rien qu'à voir son regard à elle... Mais derrière cette supposée légèreté du réalisateur, il y a tout de même ce rêve de partir, de s'échapper ailleurs, qui restera rêve et ne sera pas réalité réalisée, l'inconséquence des hommes, les promesses non tenues, les intérêts qu'on protège... Réflexion sur la société, donc? Chacun(e) y lira ce qu'il(elle) cherche, sans doute. Le meilleur de Woody? Peut-être pas. Mais de belles trouvailles qu'il est bon d'apprécier.
L'histoire se passe pendant la grande dépression (la crise de 1929) aux Etats-Unis. C'est l'histoire de Cécilia, une femme ordinaire, malheureuse dans sa vie professionnelle de serveuse et dans sa vie de couple (son mari, chômeur et joueur , la bat régulièrement). Elle ne vit que pour les heures qu'elle passe devant les films du cinéma de quartier. Soudain, fiction et réalité se confondent, et Cécilia vit des heures magiques spoiler: avant un dur retour à la réalité . Le film explore, comme souvent chez Woody Allen, les liens entre la réalité et la fiction. L'idée de départ (un personnage fictif confronté au monde réel) est originale et donne lieu à de très belles scènes, émouvantes et attendrissantes.
Woody Allen a tout de même du mal à faire durer le film, qui souffre de quelques longueurs. Avec une idée initiale comparable, le "Minuit à Paris" de Woody Allen me paraît supérieur.
C'est tout de même un bon film, avec une morale douce-amère. Enfin, je ne suis pas un grand fan de Mia Farrow, mais je dois bien reconnaître qu'elle est époustouflante dans ce rôle qui lui va comme un gant.
Woody Allen nous offre une ode superbe sur l'imaginaire et le pouvoir de séduction du cinéma. Oui, nous dit-il le réel est décevant, et seul l'imaginaire peut nous offrir une échapatoire pour nous guérir de tous nos maux! Mais refusant de nous asséner son propos en étant lourd et démonstratif, il adopte un ton joyeux en s'autorisant toutes les fantaisies. Il faut bien du talent, pour aborder tant de thèmes (les pouvoirs du créateur, l'emprise des personnages sur les auteurs, l'amour du cinéma, les caprices des acteurs....) en si peu de temps (moins d'une heure trente!) avec autant de justesse et de fantaisies: la rencontre du personnage (Tom Baxter) et de l'acteur (Jeff Daniels) provoque des effets de décalage savoureux. Allen comme à son habitude est un dialoguiste de talent. Les acteurs et notamment Mia Farrow gardent toujours un ton juste en donnant beaucoup d'humanités à leurs personnages respectifs. La Rose du pourpre du Caire est donc un film profond témoignant d'une sensibilité rare, celle d'un auteur toujours capable d'étonner et de charmer.
J'avais beaucoup entendu parler de ce film et j'avoue que j'en attendais un peu mieux. L'idée est franchement bonne (une sorte de CINEMAN avant l'heure et à l'envers) mais Allen aurait pu encore mieux la traiter. Reste le plaisir de voir des excellents acteurs: Jeff Daniels, Danny Aiello et une ancienne gloire d'Hollywood: Van Johnson.
Woody Allen s'est fait plaisir...Il s'amuse beaucoup avec ses personnages. C'est une sorte de comédie romantique à l'américaine mais sans happy end, qui part d'une mise en abyme. Un bon moment de divertissement.