Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
(...) un film doux-amer sur l'Argentine d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Fluctuat.net
par M.Merlet
On ne trouve nulle dérision dans la vision d'Alejandro Agresti, mais une conscience aiguë de la précarité des choses et des êtres. Il nous montre avec simplicité que nos existences reposent sur des désirs dérisoires.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par L.H.
(...) une évocation tendre et touchante "des premières fois". Une grâce que l'on revit ici par procuration. Pour peu que l'on ne soit pas totalement blasé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Brigitte Baudin
Si le propos semble quelque peu scabreux, il n'en est rien. Le film est une bouffée d'air frais et d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par n.c.
(...) Alejandro Agresti, qui aime bien découdre les ourlets de l'imaginaire, revient avec une histoire (...) troublante, transcandée par la personnalité de Cecilia Roth. Un film pour rêveurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Ce côté simple et direct fait tout l'intérêt de ce film pas follement original mais sans prétention, qui confirme la vitalité du cinéma argentin.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Grégory Valens
Point de mièvrerie (...) dans ce film agréable, ni de déjà vu.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Klifa
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
par Olivier Delahaye
(...) chez Agresti, les techniques du scénario son toujours au service de la simplicité.
La critique complète est disponible sur le site Synopsis
L'Obs
par G.L.
(...) un conte initiatique parfois plus moraliste que réaliste, mais jamais déplaisant ni idiot pour autant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si le sujet, naïf et convenu, n'évite pas les clichés, ce road movie initiatique ne vaut que par la présence envoûtante de la belle Cecilia Roth (...), sexy en diable, sorte de Pretty Woman hard juste et touchante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Parmi les victimes, à l'arrivée, il y a probablement la réputation de réalisateur d'Agresti, mais parmi les rescapés il faut compter le plaisir du spectateur de bonne volonté, qui se laissera emporter par l'exotisme argentin et la conviction des principaux interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Jean-Marc Lalanne
(...) il (Alejandro Agresti) parvient à imprimer à cette promenade nocturne dans Buenos Aires un rythme langoureux et ouaté, une atmosphère vaguement cotonneuse de fin de soirée exténuée, tout à fait plaisants.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Carole Breteau
Si ces portraits croisés bénéficient du charme du jeune Tomas Fonzi (Daniel) et aussi tout simplement de celui de l'Argentine et de ses habitants un peu fous (...), Alejandro Agresti peine à insuffler une vraie originalité à son histoire.
Première
par Christophe Narbonne
La description de la faune underground de Buneos Aires manque trop de folie pour surprendre même le béotien. On aurait aimé un scénario plus accidenté mais Agresti n'a pas la chance d'être Almodovar.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Antonin Koskas
le film d'Agresti refuse absolument de développer son potentiel de sensations faciles. Choix discutable. Surtout quand on rétrécit la focale du sujet jusqu'à donner dans la narration d'une éducation sentimentale conciliante et gentiment proprette.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par Frédéric Strauss
La force du personnage doit beaucoup à Cecilia Roth (...). Jouant davantage avec les artifices que chez Almodóvar, elle étonne encore ici (...). Alejandro Agresti aurait gagné à lui donner une place à la mesure de ses possibilités.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Mis à part quelques séquences bien senties dans le registre sentimental et une interprétation sans faille (...), la mise en scène n'apporte rien au thème archi-vu du parcours initiatique du jeune candide provincial dans la grande ville.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
(...) Une nuit avec Sabrina Love s'enlise assez vite dans une démonstration lourdingue sur le thème "Qu'est-ce qu'on est seul et malheureux, dans une grande ville". Ah bon ?
Chronic'art.com
(...) un film doux-amer sur l'Argentine d'aujourd'hui.
Fluctuat.net
On ne trouve nulle dérision dans la vision d'Alejandro Agresti, mais une conscience aiguë de la précarité des choses et des êtres. Il nous montre avec simplicité que nos existences reposent sur des désirs dérisoires.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
(...) une évocation tendre et touchante "des premières fois". Une grâce que l'on revit ici par procuration. Pour peu que l'on ne soit pas totalement blasé.
Le Figaroscope
Si le propos semble quelque peu scabreux, il n'en est rien. Le film est une bouffée d'air frais et d'humour.
Le Parisien
(...) Alejandro Agresti, qui aime bien découdre les ourlets de l'imaginaire, revient avec une histoire (...) troublante, transcandée par la personnalité de Cecilia Roth. Un film pour rêveurs.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ce côté simple et direct fait tout l'intérêt de ce film pas follement original mais sans prétention, qui confirme la vitalité du cinéma argentin.
Positif
Point de mièvrerie (...) dans ce film agréable, ni de déjà vu.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Synopsis
(...) chez Agresti, les techniques du scénario son toujours au service de la simplicité.
L'Obs
(...) un conte initiatique parfois plus moraliste que réaliste, mais jamais déplaisant ni idiot pour autant.
Le Journal du Dimanche
Si le sujet, naïf et convenu, n'évite pas les clichés, ce road movie initiatique ne vaut que par la présence envoûtante de la belle Cecilia Roth (...), sexy en diable, sorte de Pretty Woman hard juste et touchante.
Le Monde
Parmi les victimes, à l'arrivée, il y a probablement la réputation de réalisateur d'Agresti, mais parmi les rescapés il faut compter le plaisir du spectateur de bonne volonté, qui se laissera emporter par l'exotisme argentin et la conviction des principaux interprètes.
Libération
(...) il (Alejandro Agresti) parvient à imprimer à cette promenade nocturne dans Buenos Aires un rythme langoureux et ouaté, une atmosphère vaguement cotonneuse de fin de soirée exténuée, tout à fait plaisants.
MCinéma.com
Si ces portraits croisés bénéficient du charme du jeune Tomas Fonzi (Daniel) et aussi tout simplement de celui de l'Argentine et de ses habitants un peu fous (...), Alejandro Agresti peine à insuffler une vraie originalité à son histoire.
Première
La description de la faune underground de Buneos Aires manque trop de folie pour surprendre même le béotien. On aurait aimé un scénario plus accidenté mais Agresti n'a pas la chance d'être Almodovar.
Repérages
le film d'Agresti refuse absolument de développer son potentiel de sensations faciles. Choix discutable. Surtout quand on rétrécit la focale du sujet jusqu'à donner dans la narration d'une éducation sentimentale conciliante et gentiment proprette.
Télérama
La force du personnage doit beaucoup à Cecilia Roth (...). Jouant davantage avec les artifices que chez Almodóvar, elle étonne encore ici (...). Alejandro Agresti aurait gagné à lui donner une place à la mesure de ses possibilités.
Urbuz
Mis à part quelques séquences bien senties dans le registre sentimental et une interprétation sans faille (...), la mise en scène n'apporte rien au thème archi-vu du parcours initiatique du jeune candide provincial dans la grande ville.
Aden
(...) Une nuit avec Sabrina Love s'enlise assez vite dans une démonstration lourdingue sur le thème "Qu'est-ce qu'on est seul et malheureux, dans une grande ville". Ah bon ?
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr