Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Pop, élégant, passionné et enflammé.
Le Parisien
par La Rédaction
Récompensé par plusieurs prix (dont celui de la meilleure actrice pour Khansa Batma dans la section Horizons à la Mostra de Venise), « Burning Casablanca » est un film rock et bouillonnant, une histoire d’amour qui mêle thriller et western et parle de façon viscérale de violence, de traumatisme et de résilience.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film brûlant et palpitant, qui multiplie les genres.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[Le film a] Des défauts qui ne suffisent pas à gâcher la fête pour autant, la spontanéité et surtout l’envie d’Ismaël El Iraki l’emportant assez largement sur tout le reste.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Rageur, bouillonnant, Burning Casablanca se fiche bien de ses défauts, répétitions ou approximations.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Mais le souffle et la vitalité de la mise en scène nous rattrapent sans cesse. « Burning Casablanca » ressemble au printemps arabe : ivre de liberté jusqu’à l’excès. Brouillon parfois, époustouflant souvent. Nécessaire donc.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par O. N.
La scène de concert est d'ailleurs remarquablement filmée. Et le film porte haut la flamme de la passion, qu'elle soit musicale ou amoureuse, sur fond de réalisme social. Une révélation !
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Se revendiquant de Sergio Leone et de Quentin Tarantino, ce western spaghetti préfère au naturalisme la provocation théâtrale et l'action pétaradante. Illuminée par deux actrices explosives et boostée par son entrain rock, cette bonne facture peine cependant à s'élever au-dessus de la mécanique convoitée
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Des moments de pure grâce. Des hallucinations d'enfer.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Le premier long métrage généreux d’Ismaël El Iraki pose, malgré quelques maladresses, un regard salutaire sur la société patriarcale marocaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Un film emballant.
Première
par Thierry Chèze
Le film est à l’image du périple de ses héros : imparfait, parfois épuisant. Mais jamais, la flamme allumée ne s’éteint. Burning Casablanca se regarde comme il s’écoute. Passionnément.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Ainsi qu’aime à le répéter son réalisateur, qui y jette – un peu comme au feu – ses obsessions pour cette Casa qui ne se pose jamais mais pèse toujours, le rock underground local et le western spaghetti (entre autres influences cinématographiques avouées et revendiquées), Burning Casablanca est une histoire d’amour entre deux survivants.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télérama
par Marie Sauvion
Il y a une ambition tarantinesque dans ce film « too much » et sa façon de dynamiter la violence masculine, mais on retient surtout la découverte, drôle et désespérée, d’un Maroc(’n roll) inédit, portée par deux chanteurs-acteurs formidables : Khansa Batma et Ahmed Hammoud. Leur charme rebelle opère à plein tube.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Le référentiel du cinéma de genre se confond souvent ici avec une complaisance puérile envers les clichés, qui rend le film prévisible dans son déroulement, quand il ne devient pas franchement ridicule. La paresse que l’on peut voir dans de tels choix se trouve pourtant contredite par l’exigence qui s’exprime sur d’autres plans, comme le choix de tourner ce film en 35mm.
CinemaTeaser
Pop, élégant, passionné et enflammé.
Le Parisien
Récompensé par plusieurs prix (dont celui de la meilleure actrice pour Khansa Batma dans la section Horizons à la Mostra de Venise), « Burning Casablanca » est un film rock et bouillonnant, une histoire d’amour qui mêle thriller et western et parle de façon viscérale de violence, de traumatisme et de résilience.
Les Fiches du Cinéma
Un film brûlant et palpitant, qui multiplie les genres.
Libération
[Le film a] Des défauts qui ne suffisent pas à gâcher la fête pour autant, la spontanéité et surtout l’envie d’Ismaël El Iraki l’emportant assez largement sur tout le reste.
Positif
Rageur, bouillonnant, Burning Casablanca se fiche bien de ses défauts, répétitions ou approximations.
L'Obs
Mais le souffle et la vitalité de la mise en scène nous rattrapent sans cesse. « Burning Casablanca » ressemble au printemps arabe : ivre de liberté jusqu’à l’excès. Brouillon parfois, époustouflant souvent. Nécessaire donc.
Le Figaro
La scène de concert est d'ailleurs remarquablement filmée. Et le film porte haut la flamme de la passion, qu'elle soit musicale ou amoureuse, sur fond de réalisme social. Une révélation !
Le Journal du Dimanche
Se revendiquant de Sergio Leone et de Quentin Tarantino, ce western spaghetti préfère au naturalisme la provocation théâtrale et l'action pétaradante. Illuminée par deux actrices explosives et boostée par son entrain rock, cette bonne facture peine cependant à s'élever au-dessus de la mécanique convoitée
Le Monde
Des moments de pure grâce. Des hallucinations d'enfer.
Les Inrockuptibles
Le premier long métrage généreux d’Ismaël El Iraki pose, malgré quelques maladresses, un regard salutaire sur la société patriarcale marocaine.
Ouest France
Un film emballant.
Première
Le film est à l’image du périple de ses héros : imparfait, parfois épuisant. Mais jamais, la flamme allumée ne s’éteint. Burning Casablanca se regarde comme il s’écoute. Passionnément.
Rolling Stone
Ainsi qu’aime à le répéter son réalisateur, qui y jette – un peu comme au feu – ses obsessions pour cette Casa qui ne se pose jamais mais pèse toujours, le rock underground local et le western spaghetti (entre autres influences cinématographiques avouées et revendiquées), Burning Casablanca est une histoire d’amour entre deux survivants.
Télérama
Il y a une ambition tarantinesque dans ce film « too much » et sa façon de dynamiter la violence masculine, mais on retient surtout la découverte, drôle et désespérée, d’un Maroc(’n roll) inédit, portée par deux chanteurs-acteurs formidables : Khansa Batma et Ahmed Hammoud. Leur charme rebelle opère à plein tube.
Cahiers du Cinéma
Le référentiel du cinéma de genre se confond souvent ici avec une complaisance puérile envers les clichés, qui rend le film prévisible dans son déroulement, quand il ne devient pas franchement ridicule. La paresse que l’on peut voir dans de tels choix se trouve pourtant contredite par l’exigence qui s’exprime sur d’autres plans, comme le choix de tourner ce film en 35mm.