Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Antonio de la Torre est exceptionnel dans le rôle de cet homme brisé.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Antonio de la Torre ne s’est pas seulement transformé physiquement. Il raconte avoir épuisé sur le tournage toutes ses forces psychologiques pour incarner ce héros sombre et torturé, entre la vie et la mort. Il fait du film un drame intime puissant.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un drame intime puissant.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Le réalisateur Giordano Gederlini signe un implacable thriller avec l’excellent Antonio de la Torre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télé 2 semaines
par C.B.
Porté par l’intense Antonio de laTorre, un thriller sans temps mort et qui réserve quelques surprises scénaristiques.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Les aficionados de polars rugueux aux intrigues millimétrées trouveront leur bonheur avec cet opus sec et percutant [...].
Voici
par La Rédaction
Un polar d'atmosphère, urbain, sombre et dépouillé.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Le film de genre s'offre aisément au traitement de sujets greffés sur un cadre balisé et codifié, mais l’articulation entre le thriller et l’intime n’est pas ici complètement aboutie. Entre la vie et la mort ne démérite pas mais ne remplit pas totalement son contrat.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par François Forestier
L’image du chef op Christophe Nuyens baigne dans une nuit amère, et Gederlini (scénariste de « Tueurs », de François Troukens) signe un film très noir. Comme on aime.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le passé des uns et des autres s’éclaire petit à petit, au fil d’un récit sous tension, et même si la mécanique manque parfois un peu d’huile, on retient aussi le rôle que joue Bruxelles, ses immeubles fatigués, ses hôtels moyens, ses hangars désaffectés et ses lumières nocturnes sur fond d’Atomium désert.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le film, au spectre très européen puisque son réalisateur est français, dispose toutefois de suffisamment d’arguments pour séduire les amateurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Reste une enquête de police plutôt bien troussée, mais menée par une fliquette qui se montre, elle aussi, d’une froideur métallique (Marine Vacth).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un drame policier qui imagine sans jamais les verbaliser les déboires intérieurs d’un ancien policier espagnol confronté à la mort brutale de son fils unique. Beau, mais sans plus.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Bernard Génin
La performance de l’interprète Antonio de la Torre, silencieux, fiévreux, désespéré est à signaler. La mise en scène aussi, dans sa remarquable description nocturne d’une ville poisseuse, pluvieuse [...]. Côté références, l’auteur revendique Jean-Pierre Melville et James Gray (celui de Little Odessa). Il s’avère plus confus comme scénariste.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Dans ce “jeu” de cache-cache à l’extrême, désillusion et violence peuvent dès lors lâcher leurs vannes respectives, y compris dans la partition des acteurs, à commencer par celle d’Antonio de la Torre, gueule cassée comme aimantée par les tréfonds.
Télé Loisirs
par C.B.
Porté par l'intense Antonio de la Torre, un thriller sans temps mort qui réserve quelques surprises scénaristiques.
Télérama
par Michel Bezbakh
Le rythme est bon, la mise en scène, efficace, et Laurent Garnier accompagne le suspense par une musique subtile. D’où un polar de bonne tenue, malgré quelques lourdeurs et la superficialité de certains personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
L’intérêt émerge donc d’un point insoupçonné : la façon dont Giordani Gederlini place son film sous le signe du suicide (dès l’ouverture, dans un apparent flash-forward sur une plage) qui imprègne tous les personnages d’un accablement tenace et pourtant indéchiffrable.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Le film de Gederlini donne trop, trop vite et trop tôt, s'enlisant par tarissement de ses idées dans les conventions, tentant parfois d'émailler le récit de scènes d'actions inégales mais parfois bien troussées [...] mais tirant à la corde jusqu'à un final aussi expédié que discutable.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par S.B.
Malgré un récit décousu, un rythme languissant et des seconds rôles fades, on se laisse embarquer grâce au charisme d’Antonio de la Torre, fébrile et radical.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Libération
par Didier Péron
Le cinéaste d’origine chilienne Giordano Gederlini signe un survival empêché par son manque d’originalité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un polar qui ne vaut que par Antonio de la Torre à son casting.
Première
par Pierre Lunn
Tissé de trop nombreuses intrigues (un drame intime, une enquête criminelle…) et de trop nombreux thèmes (le déracinement du héros, les relations tordues pères fils…), Entre la vie et la mort échoue à tout assembler et devient vite très ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Antonio de la Torre est exceptionnel dans le rôle de cet homme brisé.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Antonio de la Torre ne s’est pas seulement transformé physiquement. Il raconte avoir épuisé sur le tournage toutes ses forces psychologiques pour incarner ce héros sombre et torturé, entre la vie et la mort. Il fait du film un drame intime puissant.
Le Dauphiné Libéré
Un drame intime puissant.
Le Figaro
Le réalisateur Giordano Gederlini signe un implacable thriller avec l’excellent Antonio de la Torre.
Télé 2 semaines
Porté par l’intense Antonio de laTorre, un thriller sans temps mort et qui réserve quelques surprises scénaristiques.
Télé 7 Jours
Les aficionados de polars rugueux aux intrigues millimétrées trouveront leur bonheur avec cet opus sec et percutant [...].
Voici
Un polar d'atmosphère, urbain, sombre et dépouillé.
Franceinfo Culture
Le film de genre s'offre aisément au traitement de sujets greffés sur un cadre balisé et codifié, mais l’articulation entre le thriller et l’intime n’est pas ici complètement aboutie. Entre la vie et la mort ne démérite pas mais ne remplit pas totalement son contrat.
L'Obs
L’image du chef op Christophe Nuyens baigne dans une nuit amère, et Gederlini (scénariste de « Tueurs », de François Troukens) signe un film très noir. Comme on aime.
La Voix du Nord
Le passé des uns et des autres s’éclaire petit à petit, au fil d’un récit sous tension, et même si la mécanique manque parfois un peu d’huile, on retient aussi le rôle que joue Bruxelles, ses immeubles fatigués, ses hôtels moyens, ses hangars désaffectés et ses lumières nocturnes sur fond d’Atomium désert.
Le Monde
Le film, au spectre très européen puisque son réalisateur est français, dispose toutefois de suffisamment d’arguments pour séduire les amateurs.
Le Parisien
Reste une enquête de police plutôt bien troussée, mais menée par une fliquette qui se montre, elle aussi, d’une froideur métallique (Marine Vacth).
Les Fiches du Cinéma
Un drame policier qui imagine sans jamais les verbaliser les déboires intérieurs d’un ancien policier espagnol confronté à la mort brutale de son fils unique. Beau, mais sans plus.
Positif
La performance de l’interprète Antonio de la Torre, silencieux, fiévreux, désespéré est à signaler. La mise en scène aussi, dans sa remarquable description nocturne d’une ville poisseuse, pluvieuse [...]. Côté références, l’auteur revendique Jean-Pierre Melville et James Gray (celui de Little Odessa). Il s’avère plus confus comme scénariste.
Rolling Stone
Dans ce “jeu” de cache-cache à l’extrême, désillusion et violence peuvent dès lors lâcher leurs vannes respectives, y compris dans la partition des acteurs, à commencer par celle d’Antonio de la Torre, gueule cassée comme aimantée par les tréfonds.
Télé Loisirs
Porté par l'intense Antonio de la Torre, un thriller sans temps mort qui réserve quelques surprises scénaristiques.
Télérama
Le rythme est bon, la mise en scène, efficace, et Laurent Garnier accompagne le suspense par une musique subtile. D’où un polar de bonne tenue, malgré quelques lourdeurs et la superficialité de certains personnages.
Cahiers du Cinéma
L’intérêt émerge donc d’un point insoupçonné : la façon dont Giordani Gederlini place son film sous le signe du suicide (dès l’ouverture, dans un apparent flash-forward sur une plage) qui imprègne tous les personnages d’un accablement tenace et pourtant indéchiffrable.
Culturopoing.com
Le film de Gederlini donne trop, trop vite et trop tôt, s'enlisant par tarissement de ses idées dans les conventions, tentant parfois d'émailler le récit de scènes d'actions inégales mais parfois bien troussées [...] mais tirant à la corde jusqu'à un final aussi expédié que discutable.
Le Journal du Dimanche
Malgré un récit décousu, un rythme languissant et des seconds rôles fades, on se laisse embarquer grâce au charisme d’Antonio de la Torre, fébrile et radical.
Libération
Le cinéaste d’origine chilienne Giordano Gederlini signe un survival empêché par son manque d’originalité.
Ouest France
Un polar qui ne vaut que par Antonio de la Torre à son casting.
Première
Tissé de trop nombreuses intrigues (un drame intime, une enquête criminelle…) et de trop nombreux thèmes (le déracinement du héros, les relations tordues pères fils…), Entre la vie et la mort échoue à tout assembler et devient vite très ennuyeux.