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    La Fracture
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    Sylvain C
    Sylvain C

    7 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2022
    Trop caricatural a mon gout. J'ai eu du mal à rentrer dans le film. Seule l'infirmière rattrape tout ça mais pour le reste bof... Pas que ça soit mauvais mais rien d'extraordinaire.
    amoureux.
    amoureux.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 octobre 2021
    J'ai ri, j'ai pleuré. Incroyable huis clos humain que cet hôpital où les acteurs sont tous excellents et émouvants. On est emporté par le rythme, les dialogues sont savoureux, visent juste. Et plus on avance plus la pression monte sans s'arrêter. On frôle le film de genre, collé à son siège de bout en bout. Comment fait-on pour tourner avec une telle énergie?
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    118 abonnés 341 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2021
    Ai vu « La Fracture » de Catherine Corsini. Film multi-genre à la fois social et faisant souvent penser à Ken Loach, mais aussi documentaire réaliste, et comédie burlesque ce long métrage ne laisse pas indifférent. La fracture du titre est multiple : la fracture sociale dénoncée par les gilets jaunes lors de manifestations, fracture d’un couple qui ne se supporte plus en pleine rupture, fracture physique celle de Raf, dessinatrice de bande-dessinée qui se casse le coude, fracture professionnelle dans le milieu hospitalier où tout va à vau l’eau. Décembre 2018 les gilets jaunes attaquent l’Arc de Triomphe et les Champs-Elysées, Yann routier provincial reçoit une grenade qui lui déchire la jambe et Raf bobo de gauche glissant sur du vomi se fracture le bras en voulant rattraper Julie qui vient de la plaquer. Tout ce petit monde se retrouve aux Urgences saturées, en pleine désorganisation et débordées par les évènements. Unité de lieu, de temps, d’action. Le scénario est efficace et très bien documenté. Caméra à l’épaule la réalisatrice filme au plus près les actes médicaux, la détresse des infirmières et du corps médical qui comme dans une fourmilière piétinée s’activent et se ré-organisent dans l’affolement avec le peu de moyen qui leur reste. Le montage est incisif et donne au film un tempo alletant qui fait bien sentir au spectateur cette journée de folie et la maltraitance que subit la fonction publique hospitalière au quotidien. Il est dommage que le traitement de la rupture du couple formé par Marina Foïs (en petite forme) et Valéria Bruni-Tedeschi (très drôle et survoltée) alourdi le propos à force de répétitions et de la caractérisation des personnages un peu outrée, même si je dois avoué que j’ai souvent ri. Pio Marmaï est excellent et touchant en routier désemparé ne comprenant plus le monde dans lequel il essaye de vivre. Film politique qui pose des images précises, réalistes et crues sur un hôpital en perdition et à l’abandon, le sujet aurai mérité d’être plus recentré sur le personnage de l’infirmière interpreté par Aïssatou Dialo Sagna (infirmière de son état) qui est bouleversante de vérité.
    Jipéhel
    Jipéhel

    42 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Dans l’arène

    Voilà bientôt 30 ans que Catherine Corsini nous raconte la vie des gens, et surtout les relations sous toutes leurs formes dans le couple. Ici encore, dans ces 98 minutes de comédie dramatique, elle revisite sa thématique préférée. Raf et Julie, un couple au bord de la rupture, se retrouvent dans un service d’Urgences proche de l'asphyxie le soir d'une manifestation parisienne des Gilets Jaunes. Leur rencontre avec Yann, un manifestant blessé et en colère, va faire voler en éclats les certitudes et les préjugés de chacun. À l'extérieur, la tension monte. L’hôpital, sous pression, doit fermer ses portes. Le personnel est débordé. La nuit va être longue… Dans le contexte troublé de la crise des Gilets Jaunes, ce film nous plonge dans le chaos dramatique des urgences à l’hôpital sans pour autant un militantisme béat. Un huis clos étouffant qui nous en apprend encore plus long sur les maux profonds de notre société. De beaux numéros d’acteurs au service d’un cauchemar sous tension permanente.
    Paradoxalement, ce film de révolte est aussi un message d’espoir en l’humain. Le scénario parvient à faire résonner de concert le politique et l’intime dans ces Fractures dans toutes les acceptions du terme. La caméra à l’épaule nous fait partager l’impensable quotidien de ces 1ers de corvée qui se battent 24/24 pour nous. On pense en permanence des rires aux larmes, tant l’exercice est réaliste et réussi. Un hôpital à bout de souffle, un pays au bord de la rupture, des personnages déchirés… Tout est là pour recréer la vie, la vraie, sur grand écran. Mêler actualité sociale récente et comédie douce-amère était une gageure. Pari tenu.
    Le trio Valeria Bruni Tedeschi, Marina Foïs, Pio Marmaï est épatant de bout en bout et apportent la crédibilité et la sensibilité nécessaires à ce tourbillon hospitalier. Mais, une grosse mention pour l’incroyable Aissatou Diallo Sagna, une non-professionnelle puisque véritable aide-soignante, qui mériterait d’être revue. Cette « fracture » qui est avant tout celle du lien social est un des bons films du moment. A voir de toute…urgence !
    jerome s.
    jerome s.

    19 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 novembre 2021
    un film parfois très drôle mais qui montre surtout une situation a l'hôpital et sociale terriblement et tristement réel. la mise en scène et les acteurs très bons.... un film a aller voir
    Kiberen
    Kiberen

    24 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 octobre 2021
    Petite anecdote inutile qui ne vous intéressera pas bien longtemps donc en effet, ce sera une petite anecdote, cela fait depuis le festival de Cannes que j'attends de voir "La Fracture" de Chatherine Corsini notamment car ma collègue de travail l'a vu sur place et m'a tout de suite dit que c'était un moment fort, mais surtout un bon moment. Et après avoir vu que globalement l'avis des festivaliers était le même autour du film, j'ai commencé à éprouver une curiosité grandissante pour ce film qui semblait très classique mais doté d'un petit truc propre à lui. Et maintenant que je l'ai vu, je suis content, car je comprends.

    Se déroulant sur 24 heures, "La Fracture" va faire jouer le sort contre Raphaëlle et Julie, un couple en fin d'amour et Yann, un manifestant gilets jaunes afin qu'ils se retrouvent tous au service des urgences d'un hôpital de Paris, qui il me semble n'est jamais nommé. À partir de là, le film ne changera plus de décors, introduisant un immobilisme dans l'unité de lieu similaire à la vraie attente aux urgences, où nos personnages vont hurler, se déchirer, apprendre à se connaître et à dépasser leurs apprioris sociaux, mais surtout, ils vont attendre, encadrés par une infirmière épuisée puisqu'elle en est à sa sixième nuit de garde.

    L'attente, c'est le premier grand thème du film qui est installé et consommé durant la première moitié du métrage. Les personnages dans leur quotidien attendent que les choses changent dans leurs vies respectives, et ils vont devoir assimiler qu'une fois aux urgences, l'urgence justement de leurs vies sont en pauses, et qu'ils doivent attendre de pouvoir aller mieux. N'importe qui ayant été une fois dans sa vie aux urgences pourra comprendre cette situation : on ne peut plus faire avancer notre existence, on doit prendre sur soi et accepter que maintenant, il faut prendre le temps de se réparer au sens médical, ce qui nous laisse le temps pour réfléchir à comment réparer nos vies, et ça le film l'a très bien compris. Les nombreux dialogues, les rencontres, les retrouvailles, les inquiétudes de chacun viennent appuyer à quel point les urgences font office d'antichambre de notre existence où le rythme de notre vie s'éteint le temps de quelques heures, au mieux.

    Intelligemment, le film appuie également sur notre confiance en notre santé, sur notre déni face à notre propre réalité médicale. Les personnages ne veulent pas savoir à quel point ils vont mal et ne veulent pas l'accepter, ils veulent avant tout savoir quand est ce qu'ils pourront reprendre le rythme de leur vie et sortir d'ici. Au milieu du chaos, de la surabondance de personnes en détresse et du peu d'effectifs médical,  Corsini à compris comment on peut vivre un moment aux urgences et traite cela avec simplicité et humanité.

    Bien évidemment, les urgences sont un paradis fragile, et si le film installe la dure réalité de nos services médicaux dans sa première moitié, c'est pour mieux préparer la seconde partie du film qui fragilise l'infrastructure hospitalière et narrative et nous fait comprendre qu'aussi essentiel qu'est notre droit aux soins urgents, l'hôpital n'est pas invincible pour autant : le personnel, le bâtiment en lui-même, la capacité d'accueil des lieux, tout ça est déjà très fragile et il suffit d'un petit grain de sable pour que l'apocalypse se mette en marche, les urgences représentant alors une sorte de dernier rempart de l'humanité qui ne doit pas s'écrouler, bien qu'on le pense acquis. Bien qu'utilisant la situation des gilets jaunes pour installer son récit et créer un contexte de rassemblement des luttes sociales, il est compliqué de ne pas penser à notre situation actuelle devant le film.

    Je ne reviendrai pas longtemps sur le casting qui est dans l'ensemble impeccable, mais je tenais à souligner à quel point Valéria Bruni-Tedeschi se retrouve sûrement avec le rôle le plus complexe, nous faisant jongler entre l'agacement et la compassion, s'appropriant ainsi toute la première moitié du film. Elle ne m'aura jamais autant marqué que dans ce rôle.

    Adoptant un style documentaire froid et naturaliste, c'est sûrement de ce côté-là que le film s'avère être le plus faible. Il y a notamment des réglages de l'obturateur qui rendent le moindre mouvement de caméra flou et un travail assez sommaire de l'image tout du long. Il faut noter cependant un travail de l'ambiance réussi concernant l'hôpital, dont on ressent l'aspect insalubre et mourant, toujours à deux doigts de s'écrouler.

    Classique cinématographiquement, mais fort humainement, altérant entre l'horreur et l'humour dans un numéro d'équilibriste dans l'ensemble très réussi, "La Fracture" retient l'attention, façonne le portrait de ses personnages avec intelligence, et déroule sa critique sans difficulté. Sans avoir réussi à m'emporter avec passion, le film s'est révélé être un beau moment dont je sors conquis.
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    58 abonnés 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2021
    Soyons honnête : pour une fois qu'un cinéaste ( en l'occurrence, UNE) inscrit son film dans un contexte social, on ne va pas se plaindre. La situation des urgences , la vague des gilets jaune... un film inscrit dans son histoire, dans un territoire temps ( l'avant covid) et lieu (paris). Seulement C Corsini choisit de raconter la grande histoire par le biais de la petite, et notamment de celle d'un couple de femmes en perpétuelle querelle amoureuse. Et la on redescend d'un cran car même très bien dialoguée, même très bien interprétée, cette petite histoire parasite et amoindrit la portée du film. Tout comme l'excès de certaines situations vers la fin du film. Ça reste très théâtral ( sans doute voulu - film en huis clos) , à la limite du boulevard parfois alors qu'on attendait de l'émotion. Dommage. La série Hippocrate demeure supérieure dans sa finesse à entrelacer le portrait d'un hôpital à l'agonie et celui de ses soignants, éminemment humains alors que ceux de la Fracture ne sont parfois que les simples représentants de leur classe sociale.
    Valon Saliu
    Valon Saliu

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2021
    Vraiment pas top ! J'ai rarement vue un film aussi ennuyant, ce gilm vide vraiment une minime partie de la population.
    gene B.
    gene B.

    10 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Bien que la situation soit très caricaturale et le trait peut-être trop forcé, j'ai souri et même ri à cette comédie réjouissante...A voir pour passer un bon moment...
    Gilles K.
    Gilles K.

    15 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Un film de témoignages. Un film vrai. Magistralement tourné comme un reportage. Et vraiment bien joué. Un scénario qui tient la route (pas si fréquent pour les films français qui virent souvent à la caricature, jdcjdr). Quelques heures dans un service d'urgence d'un hopital à Paris pendant les manifs des gilets jaunes et les interventions quotidiennes. Les gens qui souffrent, les conditions de travail, les conditions de soins, la répression policière violente, l'espoir, le désespoir. On rigole, on pleure, et à la fin la salle applaudit. Mise en scéne efficace. Réalisation parfaite. Montage haletant, situations crédibles.... J'ai adoré. Je recommande.
    Patrice V.
    Patrice V.

    19 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2021
    Il y a dans La Fracture deux fractures. Celle, du coude, pour laquelle une dessinatrice de BD est admise aux urgences un soir de manifestation violente de Gilets jaunes, et la fracture sociale d'un pays au bord du gouffre, fracture dont l'épicentre plonge au coeur de ce service d'urgences (les "urges" comme disent les soignants dans le film).

    Catherine Corsini s'est emparée d'une expérience personnelle malheureuse dans une telle situation pour faire exploser à l'écran l'état de déliquescence de l'hôpital public à un moment T, lors de la crise des Gilets jaunes, lesquels alimentent tant le scénario que les admissions aux urges, tabassés par les flics.

    Ne choisissant pas entre fiction et documentaire, la réalisatrice les restitue au même niveau narratif.
    Au premier plan apparent se joue une histoire d'amour tragi-comique entre Raf, la dessinatrice, et Julie (Marine Foïs), son amante qui veut la quitter ; narration épicée par l'irruption d'un Gilet jaune à la jambe explosée par une grenade (excellent Pio Marmai).
    D'aucuns ont reproché, à tort nous semble-t-il, ce qu'ils appellent le placage artificiel d'une fiction en décalage avec le discours contestataire à l'œuvre. C'est oublier que le monde des urges est un condensé de la vie ; tout y grouille, s'y mélange, y survit.
    Toutefois le sujet du film est plus large, arrière-plan si prégnant qu'il mobilise l'entièreté du spectateur : la crise des urgences, le manque de personnel, les soignants en grève - c'est marqué sur leur dos - mais qui, par contrat moral - poursuivent leur tâche.

    Engagée à gauche, la cinéaste charge sans nuances les CRS autant qu'eux chargent les manifestants.
    Elle relativise son propos dans une scène magnifique qui oppose, au détour de l'hôpital assiégé par les forces de l'ordre voulant arrêter des Gilets jaunes introduits à l'intérieur, l'un des leurs et un CRS qui lui indique comment s'esquiver.
    Film coup de poing, tourné à l'arrache avec une caméra très mobile, véritable scalpel en haute définition taillant à vif les chairs de l'hôpital saigné, et partant, celles de la France périphérique, celle des ronds-points.

    Sorti fin octobre 2021, la Fracture se lit à l'aune d'une autre fracture, non mentionnée, celle induite par le covid, CRS ultraperformant qui a eu raison, lui, des Gilets jaunes.
    Leandre H
    Leandre H

    8 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Ce film nous met face à la suffocation du milieu hospitalier français actuel avec rage et sensibilité. Véritable carrefour, des patients de tous les milieux sociaux attendent d'être pris en charge dans des urgences dépassées et en sous-effectif.
    Mais Corsini s'est attaché à mêler à cela la crise des gilets jaunes et les violences policières. Le véritable sujet du film devient alors le manque de considération ressenti par les plus précaires, par les soignants, et par une police qui est malheureusement presque sans nuance spoiler: (mention honorable à la scène de la fuite de Yann durant laquelle il rencontre un CRS au bout du rouleau... mais ça ne suffit pas à en dresser un portrait complexe)
    .

    Véritable théâtre, l'hôpital est le lieu des confrontations entre les patients, des crises de nerfs face à une attente interminable et de drames intimes. C'est efficace, c'est inattendu, mais on réussi à nous faire rire, et le comique fonctionne. Il met en exergue par contraste des séquences beaucoup plus émouvantes et tristement réelles ( spoiler: accouchement, mort, réanimation
    ).

    Le film est éminemment militant, mais garde une profonde sensibilité qui en fait un beau drame. Mais il oublie que la faute n'est pas que politique, elle est aussi culturelle (les rapports sociaux, etc), et le film semble manquer cet aspect, malgré un étalage de personnages et de situations parfois un peu poussées.

    La mise en scène est réaliste, le montage, efficace et rythmé. On est avec eux 2h durant, ça fonctionne. La réalisation n'est donc pas non plus exceptionnelle. Reste un interrogation, à la fin du visionnage ; et alors ? On est pris au dépourvu avec une conclusion évasive, mais émouvante. Le film cherche une fin poétique, qui semble presque en décalage avec tout son propos. Cela reste néanmoins un portrait efficace, symbolique, qui manque le coche de l'objectivité en refusant de s'attarder sur l'humanisation d'un CRS, mais notable pour sa démarche !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 octobre 2021
    Il ne suffit pas d'aligner les bonnes phrases pour faire un scénario, et les scènes choc pour faire une mise en scène. Sans colonne vertébrale, ce film est un naufrage.
    Brady20
    Brady20

    6 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 décembre 2021
    J'ai vraiment adoré l'humour décalé de ce film ! Et les acteurs sont vraiment formidables ! :) Tout ce a sous fond de conflit social ... très bien vu !
    carole B.
    carole B.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2021
    Une plongée dans la réalité......vous allez rire, car certains sujets sont évoqués avec beaucoup d'humour mais vous allez aussi pleurer....pleurer de voir dans quel monde nous vivons où beaucoup, et ils sont très nombreux, ne sont pas reconnus, sont mal payés et ne peuvent plus survenir à leurs besoins ....
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