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Avec cette comédie en culottes courtes, sans téléphones portables ni réseaux sociaux, Julien Rappeneau signe un film irrésistible, très drôle et enlevé, fidèle à l’œuvre de Goscinny et Sempé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Audrey Lamy donne à ce portrait de femme en voie d’émancipation une vigueur convaincante, sans tomber dans un exposé sur la théorie du genre, aux accents revanchards. Un féminisme souriant, où il est question de charge mentale : s’y reconnaîtront bien des mamans de notre temps.
C’est parfois un peu laborieux (le début est lent, la fin, plus enlevée), mais, à condition d’être client, on peut être conquis. Les enfants, dans la salle où nous l’avons vu, étaient ravis.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On aime bien les seconds rôles : Jean-Pierre Darroussin en directeur d’école amateur de jeux de mots ; Grégory Gadebois en surveillant harcelé par un voleur de sifflets ; François Morel en voisin pénible. Et on applaudit le jeune Ilan Debrabant, originaire d’Aniche (Douaisis), à son aise dans le rôle du personnage créé par Goscinny et Sempé.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Des gamins, une carte, une chasse, un trésor : entre réalité et fantaisie, le divertissement est plaisant, emmené par une bande de petits acteurs avec un côté boy-scout, conduite par Nicolas, incarné pour sa troisième apparition sur grand écran, par Ilan Debrabant.
Cette comédie vintage, cultivant une certaine ringardise, souffre d’un scénario bancal et peu crédible. Avec un montage dynamique et des gags persifleurs, elle propose toutefois un divertissement sympathique et intemporel.
Le manque de vitalité menace ce film qui fait le pari de la gentillesse et de la douceur. Cette tonalité aussi séduisante qu’exposée à la platitude ne convainc pas toujours. Elle offre cependant de jolis moments et même une dernière partie émouvante, qui parle de l’amitié d’une manière à la fois mélancolique et lumineuse, souriante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si le couple Rouve-Lamy donne un coup de jeune bienvenu aux parents, et Grégory Gabebois incarne un Bouillon joyeusement flippant, les mésaventures des sacripants ne sont pas vraiment palpitantes.
Une malice qu’on retrouve chez ses interprètes adultes (dont, en seconds rôles, Gadebois, Arditi, Uchan…) qui s’amusent comme des gamins. Cela ne suffit pas à faire exploser le cadre rigide de la franchise mais ça l’assouplit un peu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
Drôle et piquant.
Femme Actuelle
Drôle, tendre et doucement nostalgique.
Le Figaro
Bref, Rappeneau trousse un excellent divertissement primesautier, rythmé, et émouvant. De loin, le meilleur des trois films. Chouette !
Le Parisien
Avec cette comédie en culottes courtes, sans téléphones portables ni réseaux sociaux, Julien Rappeneau signe un film irrésistible, très drôle et enlevé, fidèle à l’œuvre de Goscinny et Sempé.
Ouest France
Un film familial agréable tombant à pic à l'approche des vacances.
Voici
Une comédie familiale très chouette.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Audrey Lamy donne à ce portrait de femme en voie d’émancipation une vigueur convaincante, sans tomber dans un exposé sur la théorie du genre, aux accents revanchards. Un féminisme souriant, où il est question de charge mentale : s’y reconnaîtront bien des mamans de notre temps.
L'Obs
C’est parfois un peu laborieux (le début est lent, la fin, plus enlevée), mais, à condition d’être client, on peut être conquis. Les enfants, dans la salle où nous l’avons vu, étaient ravis.
La Voix du Nord
On aime bien les seconds rôles : Jean-Pierre Darroussin en directeur d’école amateur de jeux de mots ; Grégory Gadebois en surveillant harcelé par un voleur de sifflets ; François Morel en voisin pénible. Et on applaudit le jeune Ilan Debrabant, originaire d’Aniche (Douaisis), à son aise dans le rôle du personnage créé par Goscinny et Sempé.
Le Dauphiné Libéré
Des gamins, une carte, une chasse, un trésor : entre réalité et fantaisie, le divertissement est plaisant, emmené par une bande de petits acteurs avec un côté boy-scout, conduite par Nicolas, incarné pour sa troisième apparition sur grand écran, par Ilan Debrabant.
Les Echos
Julien Rappeneau s'inspire du personnage créé par Sempé et Goscinny pour un nouveau film destiné au public familial. Résultat honorable.
Les Fiches du Cinéma
Cette comédie vintage, cultivant une certaine ringardise, souffre d’un scénario bancal et peu crédible. Avec un montage dynamique et des gags persifleurs, elle propose toutefois un divertissement sympathique et intemporel.
Télé Loisirs
Bien que prévisible, cette aventure célèbre les amitiés d'enfance avec beaucoup de tendresse.
Télérama
Le manque de vitalité menace ce film qui fait le pari de la gentillesse et de la douceur. Cette tonalité aussi séduisante qu’exposée à la platitude ne convainc pas toujours. Elle offre cependant de jolis moments et même une dernière partie émouvante, qui parle de l’amitié d’une manière à la fois mélancolique et lumineuse, souriante.
Le Journal du Dimanche
Si le couple Rouve-Lamy donne un coup de jeune bienvenu aux parents, et Grégory Gabebois incarne un Bouillon joyeusement flippant, les mésaventures des sacripants ne sont pas vraiment palpitantes.
Première
Une malice qu’on retrouve chez ses interprètes adultes (dont, en seconds rôles, Gadebois, Arditi, Uchan…) qui s’amusent comme des gamins. Cela ne suffit pas à faire exploser le cadre rigide de la franchise mais ça l’assouplit un peu.
Sud Ouest
Après Laurent Tirard, Julien Rappeneau s’attaque au petit Nicolas. Une comédie pour enfants adaptée des histoires de Goscinny et Sempé.
Télé 7 Jours
Faute de rythme, la récréation n’a pas le niveau de fun espéré.
Culturopoing.com
Comment peut-on faire un tel film en 2021, aussi rétrograde dans l’imaginaire, aussi pauvre en inspiration et réactionnaire quant aux idées avancées ?
Le Monde
Pour autant, l'esprit est le même, qui consiste à illustrer de façon primaire les aventures du héros créé par Sempé et Goscinny.