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    Les Olympiades
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    Sébastien B.
    Sébastien B.

    19 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2023
    Dans un beau noir et blanc, Jacques Audiard (auteur du sublime « Un Prophète » et du magnifique « Frères Sisters ») propose de scruter la modernité des comportements amoureux d’une certaine jeunesse urbaine. Porté par une mise en scène soignée et une interprétation très convaincante (Noémie Merlant est décidément une des plus grandes actrices françaises), le film ne parvient pas toujours à rester sur un chemin narratif emballant (la faute sans doute à sa volonté d’agglomérer trois récits indépendants adaptés de nouvelles d’Adrian Tomine). Reste qu’avec la fougue d’un jeune cinéaste (voire d’un premier film) Audiard soigne une réalisation de qualité offrant de belles scènes voluptueuses et intimistes. La musique parfaite de Rone et quelques bonnes trouvailles scénaristiques (l’apparition d’Amber Sweet par exemple) finissent de rendre cette chronique agréable. Intéressant et émouvant par moments, amusant et troublant parfois, mal ficelé et un peu ennuyeux quelques fois, si cet opus ne finira pas sur le podium de la filmographie d’Audiard, il porte tout de même un joli dossard dans le cinéma d’auteur national.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    187 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 novembre 2021
    Tout comme « Julie (en 12 chapitres) » sorti à la même époque, « Les Olympiades » traite de thèmes chers aux jeunes adultes de notre temps : les nouvelles relations amoureuses guidées par l’instantanéité de Tinder où chacun positionne son curseur personnel, selon ses envies et priorités, sur la matrice à deux axes ‘nombre de rencontres’ & ‘profondeur des relations’. Jacques Audiard, comme toujours, apporte à ce film beaucoup d’audace et un traitement original. Néanmoins, l’histoire m’a moins touché que celles de ses précédents films. Mais ce qui caractérise le plus ce film, c’est la qualité de son casting : de très belles découvertes !
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Depuis « Regarde les hommes tomber », nous étions en droit de nous demander si le nom du célèbre réalisateur et dialoguiste, Michel, s’isolerait sur une étagère, avec le seul souvenir de son héritage, souvent aérien, parfois vulgaire. Jacques Audiard a prouvé par bien des manières, qu’il avait une fibre littéraire, qu’il met au profit de ses long-métrages. Il semble en vouloir de plus en plus et ce plus justifie la diversité des genres qu’il touche, en réaction au précédent. Lui, qui a décortiqué les motifs de cinéma américain pour se les réapproprier, comme chez Scorsese avec « Le Prophète » ou le western dans « Dheepan » et « Les Frères Sisters », il rebondit avec un délice, qui suscite autant de curiosité. Lorsqu’il annonce l’adaptation libre de certaines nouvelles d’Adrian Tomine et qu’il concentrerait son attention sur le 13ème arrondissement de Paris, c’est sans doute pour repartir sur de nouvelles bases.

    Cela se ressent sur son équipe remaniée, en co-écriture, notamment du script, avec Céline Sciamma (Naissance des pieuvres, Tomboy, Portrait de la jeune fille en feu, Petite Maman) et Léa Mysius (Ava). Ce besoin d’un regarde neuf, change le ton de ce nouveau récit, empreint de mœurs, d’amitié et de désirs chez les trentenaires d’aujourd’hui, à l’ère du numérique. Ce sera le film le moins crasseux de la filmographie du cinéaste et pourtant, il la noirceur y tient une place singulière. L’esthétique frappe, dans un noir et blanc qui redécore un quartier que l’on voit finalement peu sur les écrans de ces dernières années. Le symbolisme des lieux donne le cachet à un certain brassage culturel et social, dont ils ne seront finalement pas le sujet. Ce n’est donc pas le titre ni le lieu indiqué qui permettront d’évaluer la pertinence de cette œuvre, mais bien ses personnages, dépassés et déterminés à embrasser cet amour, qu’ils envient tout autant qu’ils le redoutent.

    C’est ici qu’Audiard se sent chez lui, c’est ici qu’il sublime ses âmes errantes, en correspondance et en attente d’un élan. L’appel du compositeur Rone ne fait que réconforter cette ambiance électrisante, révélant Lucie Zhang, dans le rôle d’une Émilie égocentrique et sans cesse étourdie par ses sentiments. Camille (Makita Samba) est un électron libre dans ses relations éphémère. Nora (Noémie Merlant) redécouvre la jeunesse et les tendresses d’une caresse. Amber Sweet (Jehnny Beth) fait tomber la caméra et un masque artificiel. Autant de portraits oniriques au premier abord, mais qui flirtent avec l’éternelle mélancolie et solitude qui s’emparent de ces personnes, à l’issue d’une dépendance sensorielle et humaine. C’est en cela que le cinéma d’Audiard se bonifie, mais il faudra un peu plus de temps avant d’atteindre la maturité souhaitée. Le cru de certains dialogues surexpose des intentions, que l’on aurait pu aborder avec plus de subtilités, sachant un virilisme sabordé et un regard féminin indéniablement renouvelé.

    Le réalisateur pourrait amplement se satisfaire d’un style qui lui convienne, au nom de sa cinéphilie, mais également au nom de ses sentiments. Pourtant, il ne s’arrête pas à une influence d’Eric Rohmer (Ma nuit chez Maud), ou d’un détour chez Woody Allen et tant d’autres, pour se démarquer une nouvelle fois. Le changement, c’est le mot d’ordre qu’exploite Audiard, avec une adresse chaleureuse. Et quand bien même, il se contente de frôler sa cible, il y aura toujours du bon à en tirer. Si « Les Olympiades » ne trouve pas unanimement son public, ce dernier pourrait se laisser piéger dans de futurs projets, qui auront muri, dans une fournaise de frustrations et de désirs.
    Math719
    Math719

    191 abonnés 711 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Deux histoires qui s'entremêlent, le récit de cette nouvelle génération qui commence quelque chose sans finir complètement. Qui consomme sexuellement avec passion sans lendemain, ni se poser la question à quoi sa mène; et le sexe est beaucoup présent. J'ai du mal à savoir si j'ai aimer ou plutôt mal à savoir si j'ai aimer le travail d'Audiard, je reste perplexe mais j'avoue qu'il y a du beau dans le noir et blanc, et la beauté du film est sans doute le montrer au grand jour la beauté et la stupidité de cette jeunesse qui ne sait pas ce qu'elle veut !
    chas
    chas

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Parti pour regarder de loin comment vivent les jeunes d’aujourd’hui, je me suis intéressé petit à petit à leurs histoires commencées dans le genre : « je baise d’abord et après je vois ».
    Les marivaudages entre prof s’éloignant de sa classe et télé conseillère se jouent en colocation dans un Paris des barres d’immeubles d’un 13° arrondissement.
    Sous le noir et blanc dépaysant, la violence des rapports par écrans interposés passe à la complicité, et la désinvolture s’efface derrière les attachements ancestraux.
    Le réalisateur est bien servi par des acteurs nouveaux Noémie Merlant, Lucie Zhang, Makita Samba qui dynamisent cette comédie croisant comme souvent désirs et sentiments.
    https://blog-de-guy.blogspot.com/2021/03/les-freres-sisters-jacques-audiard.html
    En ce qui concerne leur sélection à Cannes, on aurait pu dire : « l’important est de participer ».
    Roger D
    Roger D

    80 abonnés 896 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 novembre 2021
    "Les Olympiades" l'histoire de Emilie, Nora et Camille. Rencontrent entre sentiments/passion/ amants / amie / amour ou chaque rencontre déclenche son lot d'évènements...
    Alors si vous n'avez pas vu le bande annonces, le titre n'évoquent aucunement le côté sportif (quoique vu les certaines scènes cela s'en rapproche!^^) mais juste le lieu de rencontre d'un quartier de Paris. Ensuite l'histoire de ces trois personnages qui sont un peu perdu et qui profitent de la vie comme ils peuvent, avec leur lot d'espoir et d'illusions qui les emmènent à faire des choix qui ne n'avaient même pas penser. C'est cash, cela montre la nouvelle réalité de la vie ou on est capable de briser l'autre, de se briser soi même mais avec cette capacité à tout de même avancer, d'espérer mieux ou autrement. La façon d'emmener la rencontre des trois est pas mal faite...certains diront le destin, d'autres la coïncidence...c'est bien joué, sans fioriture ni trop d'exagération et les duos fonctionnent super bien.
    Le fait que ce soit tourné en noir et blanc donne ce petit plus je trouve dans ce genre de film. Ce qui est sur c'est que sans le ciné je n'aurais jamais vu ce film chez moi 😉
    NOTE : 7/10
    Fabien N.
    Fabien N.

    7 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2021
    Jacques Audiard sait filmer, incontestablement, et il le prouve une fois de plus avec "les Olympiades". Le film contient quelques vrais moments de grâce, et le propos ne manque pas d'intérêt.
    Mais qu'on est loin, pourtant, de "De battre mon cœur s'est arrêté" ou d' Un prophète" qui prenait aux tripes du premier au dernier plan! "Les Olympiades" est loin de toujours parvenir à élever la banalité de son point de départ, la vie sentimentale et sexuelle de jeunes adultes de ce quartier, à l'universel et au sublime.
    Sans rancune
    Sans rancune

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Un bon film, avec des personnages très attachants. J'ai apprécié cette séance, et le sujet de la sexualité chez les jeunes est, je trouve, approfondis. Ce film est un témoin de notre époque.
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 janvier 2022
    C’est peu dire que l’on n’attendait pas Jacques Audiard avec une œuvre comme celle-ci. Habitué des drames intenses voire des tragédies (les sublimes « Sur mes lèvres » ou « De rouille et d’os »), il nous avait néanmoins surpris il y a trois ans avec son très beau western naturaliste « Les frères Sisters ». Et le voilà, sélectionné à Cannes cette année, avec une chronique en noir et blanc sur la jeunesse d’aujourd’hui. Et dire qu’elle est sacrément en accord avec son temps serait un euphémisme. Il croque les jeunes (la tranche qui couvre la fin de vingtaine et le début de trentaine) avec une acuité et une objectivité qui confinent à la perfection. « Les Olympiades », sous ses allures superficielles, ausculte cette catégorie d’âge avec beaucoup de perspicacité, de simplicité et de sincérité.



    Son noir et blanc donne un certain cachet au film même s’il faut avouer que cela n’apporte pas de réelle valeur ajoutée au long-métrage. Petite facétie ostentatoire sans réelle utilité donc mais qui le rend plus singulier. Audiard choisit également de filmer un quartier de Paris rarement montré au cinéma, en l’occurrence le XIIIème arrondissement, et il magnifie son côté anodin en en faisant presque un personnage à part entière. Toujours sur l’aspect formel, la bande originale est un plaisir pour les oreilles, une sorte d’electro chill que ne renierait pas Air ou Worakls et lui donne un aspect évanescent du meilleur effet. Et si on peut encenser une autre chose, c’est bien le naturel incroyable du quatuor de jeunes acteurs que le cinéaste a enrôlé. Si Noémie Merlant est de plus en plus présente et impressionnante dans le paysage cinématographique français (le flamboyant « Portrait de la jeune fille en feu » mais aussi sa composition impressionnante de transgenre dans « A good man »), les trois autres jeunes acteurs, quasiment inconnus, forment avec elle un ensemble de casting empli de fraîcheur.



    « Les Olympiades » fait presque Nouvelle Vague réactualisée et le film n’a pas son pareil pour nous parler des choses simples et à priori insignifiantes de la vie comme les faisaient les artistes de cette mouvance phare du cinéma français d’antan. Et toutes ces petites choses de fond comme formelles le rendent finalement bien plus rare et original qu’il n’y paraît. Ici on nous parle de l’insatisfaction amoureuse, des barrières sexuelles abolies, de la puissance et la bêtise des réseaux sociaux mais aussi des hésitations professionnelles. De la vie courante en somme. Un peu comme le récent film norvégien « Julie (en 12 chapitres) », cette œuvre en forme de récréation légère pour Audiard développe beaucoup de charme avec humilité et sincérité en dépit de ses quelques affects et prises de risques formelles. Un joli moment en apesanteur qui fait du bien et dont on ressort avec le sourire. Qu’Audiard continue à s’essayer à d’autres genres (pourquoi pas le film d’horreur à la Ari Aster), il ne cesse de nous surprendre.



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    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 065 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 octobre 2023
    Jacques Audiard revisite la carte du tendre, et filme la jeunesse version 2020 à travers 3 personnages et des récits qui font penser à des nouvelles. Montage fluide, images soignées avec un très beau noir et blanc pour des histoires de sexe et/ ou de sentiments. Les scènes de sexe y sont filmés sans fausse pudeur, ni voyeurisme. Une génération désenchantée qui fuit les attaches mais recherche les plaisirs. La frénésie du quotidien parisien est bien rendue est les 3 comédiens sont confondants de naturel, avec peut-etre mention au personnage de Lucie Zhang, particulièrement bien écrit. Un film à la fois dur et tendre, avec un final particulièrement beau
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    191 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2021
    Parenthèse dans sa filmographie, Jacques Audiard signe un film plus intimiste sur la sexualité de jeunes trentenaires en 2020. Loin des gangsters et des flingues, Audiard essaie de nous captiver autour de ces trois protagonistes dont on peut souligner la justesse du jeu des trois acteurs principaux. Le noir et blanc est bien choisi, même s'il souligne un peu trop le cote intimiste du propos. Ensuite, le tout reste un peu vide malheureusement. Même si on arrive à être un semblant captivé, il n'en reste pas moins un film reprenant les codes de la nouvelle vague et par moment c'est un peu lassant. Mais avec le seoir-faire d'Audiard, ça passe mieux. Loin d'être un chef d'oeuvre, le film se regarde facilement. Mais restera-t-il dans les "Must to see" d'Audiard ... ?
    bobmorane63
    bobmorane63

    197 abonnés 1 980 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2021
    Un exercice de style qu'a voulu faire le cinéaste Jacques Audiard dont j'ai un avis partagé !!
    Le réalisateur a co-écrit le scénario avec Céline Sciamma et Léa Mysius dont j'ai apprécié leurs travaux d'écriture et de mise en scène par le passé donc je me dis pourquoi pas. "Les Olympiades" est une oeuvre qui parle de sexualités , de relations amoureuses, du quotidien, tout cela en noir et blanc. La qualité de ce long métrage, ce sont les trois interprètes principaux, Lucie Hang, Makita Sambo et Noémie Merlant, trois révélations talentueux trés bien filmé par Jacques Audiard et mon petit doigt me dit qu'ils ne vont pas en rester là question projet cinéma. La première partie m'a plutot bien plu avec les aventures sexuelles et relationnelles entre deux co-locataires, elle enchainant les boulots et lui professeur puis agent immobilier qui va avoir une autre relation dans la seconde partie, qui m'a moins plus, avec une femme reprenant un temps ses études , correspondant avec une call-girl sur le net, une femme assez étrange dont le récit m'a moins plu, bizarre exactement. Bref, c'est rare d'avoir une réserve pour les films de Jacques Audiard mais si il n'y avait pas quelques prouesses techniques de réalisation, sur le papier, on se croirait un peu dans un téléfilm de M6 qui passent la nuit sur le cable. Petite déception.
    Philippe C
    Philippe C

    101 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2024
    Un film plutôt cru qui nous fait suivre un morceau de vie de 4 jeunes adultes et dont l'épicentre est le quartier des Olympiades à Paris. Hésitations professionnelles, indécision sentimentale et volatilité sexuelle, sur fond d'études ratées, de colocation, de structures familiales disloquées, d'immigration et intégration réussies constituent la matière d'un récit qui n'a en fait pas d'autres ressorts. Témoignage donc plus qu'intrigue ou comédie romantique.
    Les principales qualités du film sont les caractère spontané et réaliste du jeu de jeunes acteurs épatants et les superbes cadrages des images presqu'exclusivement en noir et blanc
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2021
    En traitant des hésitations sentimentales et amoureuses de la jeune génération, dans la filmographie de Jacques Audiard, ce film a de quoi surprendre. Dans ce projet, il n’est que le réalisateur. C’est peu et c’est beaucoup quand on connait les qualités artistiques du bonhomme ; son noir et blanc et ses cadrages sont hyper esthétiques. Le versant scénario est dévolu au duo Sciamma-Mysus ; on sent qu’elles ont eu les coudées franches. On a l’impression d’être dans un film de Sciamma tourné par Audiard et c’est troublant comme si la poule continuait à courir alors qu’elle serait séparée de sa tête. On sort de ce film avec un sentiment partagé, trop écrit, trop stylisé, trop fabriqué. Même si le scénario se tient, les intrigues qui lient les personnages sont parfois à l’emporte-pièce ; il faut, une forme d’injonction, que ces quatre histoires individuelles finissent coute que coute par cohabiter.
    Au bout du compte deux talents réunis ne produisent qu’un Sciamma et/ou un Audiard mineur. Des qualités mais décevant, l’alchimie ne prend pas.
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    Guillaume
    Guillaume

    114 abonnés 1 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Audiard, passé maître dans la sublimation de l'image, d'un esthétisme porté aux nues, arrive pourtant toujours à émouvoir le plus blasé des publics. Une référence.
    Malgré la qualité de ses interprètes, "Les Olympiades" pêche par sa carence scénaristique. Les premières minutes sont amusantes, puis peu à peu l'histoire file vers un parfum entêtant d'eau de rose.
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