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Drallic
6 abonnés
65 critiques
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2,0
Publiée le 30 novembre 2021
Clairement le plus mauvais film d'Audiard. Ce filme ne raconte rien d'intéressant. C'est surement le portrait d'une certaine jeunesse (fait pour un cinquantenaire...), mais malheureusement on n'a pas de prise sur les personnages qu'on a du mal à cerner. C'est bien ça qui pêche, car on ne comprend pas vraiment la psychologie des personnages, ce qu'ils cherchent, leurs souffrances, etc. Car il n'y a rien d'autre que des personnages dans ce film. Bref : passez votre chemin, il n'y a rien à voir.
Il était une fois le sexe passé et les sentiments naissent. C'est beau une ville en noir et blanc ! Les acteurs sont impeccables. Audiard nous surprend à chaque nouveau film.
L'action dans un quartier de Paris peu filmé, le choix du noir&blanc le mélange des genres, des corps pour un film loin des clichés habituels sur les trentenaires. Monsieur Audiard connaît son métier, merci à lui.
Un film qui sonne juste et qui restitue bien l'époque dans laquelle nous vivons. Le noir et blanc est parfaitement en harmonie avec le quartier et le sujet.
Un bon moment. Une histoire sympa, des personnages attachants, de l'humour, de bons acteurs, un bon réalisateur. Mon seul bémol ; une avalanche de scènes de sexe pas toujours indispensables. Mais ça reste quand même bien.
j'ai hésité avec 3,5 car l'image est très belle, le cadre, les acteurs excellents mais en y réfléchissant bien, le scénario reste simple et banal. L'avantage principal est de voir d'autres têtes et d'autres couleurs pour les acteurs Je ne sais pas si c'est la fin un peu convenue et gentillette peu en ligne avec ce que l'on sait des personnages. Mais si on est un peu fleur bleue, on sera ravi!
Somptueux noir et blanc, vraiment ? Esthétisme des sentiments contemporains ? Je ne suis pas sûr qu'on aie regardé le même film. Noir et blanc banal-ah les tours du 13eme filmées contre le ciel, bravo.. Sentiments contemporains ? Disons plutôt la vision d'un vieux (de mon âge) qui sous couvert de morale, montre d'esthétique scènes de culs plan plan, avec des fantasmé bien masculins, noir sur blanche, et je te colle la Nana contre un mur et elle jouit, par derrière c encore mieux... Nul et non avenu. Au revoir Audiard, je t'aimais bien avant...
De Jacques Audiard (2021). Film assez hypnotique avec en premier lieu un noir et blanc magnifiquant la photographie du film. Le choix du noir et blanc pour filmer un quartier très bétonné s'avère excellent. Connaissant bien le quartier ! Le film au delà d'être esthétique est enthousiasmant dans sa conception et sa narration. Les destins et personnes différentes que le simple fait de vivre dans ce quartier de Paris vont faire se croisé est à la fois ludique et intéressant. Même si pas de véritable histoire, l'empilement de ces destins et vies rend le film passionnant. D'autant que très bien interprété par de jeunes et presque inconnus acteurs. Sous une musique techno assez délirante de Rome musicien . Avec Lucie Zhang, Makita Samba, Noémie Merlant
Des vies un peu dissolues, le sexe omniprésent, une image en noir et blanc. Je craignais une ambiance pesante et un climat difficile et c'est tout le contraire qui émane de ce film : humanité, gentillesse, compassion. Excellents acteurs. Bravo Jacky encore une réussite dans un style différent cette fois.
Pour moi le meilleur film de 2021. Je ne m'attendais pas à être autant touché par ce film, cette ambiance, ces acteurs. La BO de Rone et l'esthétique du noir et blanc renforcent la beauté du film. C'est moderne, drôle, intelligent. Un grand Audiard. Et un gros coup de coeur pour Noémie Merlant, magnifique.
Il ne faut jamais se baser sur des aprioris. Les Olympiades : Paris 13ème en est un parfait exemple. Alors qu’il semblait à priori correspondre au film d’auteur de bobos parisiens qui gangrène le cinéma français depuis une trentaine d’années, le long-métrage de Jacques Audiard réussit à charmer du début à la fin. Il arrive à rendre tout ses personnages attachants même quand ils ont des aspects qui pourraient être agaçants (Emilie peut être, par exemple, considérée par certains aspects comme étant assez égoïste et enfant-gâtée) grâce à une direction d’acteurs faisant ressortir le meilleur d’eux-mêmes. En effet, que ce soit une comédienne reconnue comme Noémie Merlant ou de nouveaux visages comme Lucie Zhang, Makita Bamba, Jehnny Beth, Océane Caïraty ou Camille Léon-Fucien, tous offrent des prestations d’un naturel désarmant et donnant l’envie de les suivre encore plus longtemps (on ne voit pas passer l’heure quarante-cinq que dure le film et on pourrait même avoir envie de la voir prolongée sur un format de série télévisée). Les Olympiades : Paris 13ème est donc une excellente surprise qui prouve que l’année 2021 est définitivement un très bon crû du cinéma français.
Très différent de ces films précédents, Jacques Audiard nous surprend agréablement avec ces histoires croisées de la génération Y Z très crédibles dans un noir et blanc sublime.
Bon, j'ai vu ce film hier, et déjà, je me rends compte que je n'en retiendrai pas grand chose.. L'intérêt majeur est pour moi la découverte de Makita Samba, que j'ai trouvé absolument captivant, avec une intelligence de jeu assez rare. (D'ailleurs les deux qui font son père et sa soeur sont très bien aussi, et font les meilleurs moments du film). Noémie Merlant est chouette aussi, et confirme le bien que j'avais pensé d'elle dans "Le Portrait de la jeune fille..". Pour le reste, bof bof. On ne croit pas trop au personnage d'Émilie (problème dû à la comédienne? je ne sais pas). Quant à l'intrigue, j'ai vraiment eu l'impression d'être coincée devant une espèce de série ado, à la sauce AB Productions-années 90 (avec beaucoup de scènes de c.. en plus, certes) Le noir et blanc est pas mal, mais manque peut-être un peu de contraste, et surtout, à quoi sert-il?? Sans doute à donner au film une profondeur que le scénario n'a pas, et à le faire passer pour autre chose qu'il n'est ? À savoir une bluette sentimentale pas très intéressante. Bref, ça manque d'humour -un peu-, de profondeur -beaucoup-, et ça ressemble à s'y méprendre à un film de fin d'études. On a en tous cas du mal à reconnaître le réalisateur d'Un Prophète..
plusieurs lectures possibles de ce film;;;;et même lectures contradictoires possibles tant Audiard nous laisse libre d'aller ou on veut , mais ....... d'entrée cette vision de la ville (superbes images ) tentaculaire ,puis tout doucement l,entrée dans les clapiers peut être là tout est dit et il se pourrait que ce film soit vraiment tres noir humanité a bout de souffle ;;;les personnages grapillent comme ils peuvent des instants de satisfactions ,de plaisir (sexe ) mais tout roule petit a petit vers des limites possibles suicidaires bref , l,avenir a venir confirme un passe deja tristement loufoque
Allez les bobos trentenaires c'est pour vous et c'est chiant ....l'un des plus mauvais jacques Audiard tout en convention woke; un docu d'étude de la Femis....