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    Les Olympiades
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    Gregory S
    Gregory S

    18 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2022
    Magnifiquement filmé, acteurs inconnus au moment du tournage mais très promoteurs notamment la charmante actrice principale. Néanmoins c'est un peu vain, il n'y a pas vraiment d'histoire,con ne sait pas exactement ce qu'Audiard veut nous montrer si ce n'est l'amour au temps des réseaux sociaux mais ça reste en surface.
    Sans rancune
    Sans rancune

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 octobre 2021
    Un bon film, avec des personnages très attachants. J'ai apprécié cette séance, et le sujet de la sexualité chez les jeunes est, je trouve, approfondis. Ce film est un témoin de notre époque.
    AZZZO
    AZZZO

    275 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 août 2022
    Indéniablement, "Les Olympiades" est un film plaisant, bien rythmé, bien interprété, avec la formidable bande-son de Rone. Pour autant, ce film confirme que Jacques Audiard a renoncé au cinéma, au vrai, celui qui happe le spectateur et lui fait oublier la caméra. Oublié l'extraordinaire "Un prophète". Depuis plusieurs années, l'artiste installé, multi-récompensé, téléramaïsé, se complait dans un cinéma qui privilégie l'esthétique, la forme au détriment du fond. Le noir et blanc, les ombres et lumières, les ralentis et les contre-plongées ne servent pas le récit, leur seul rôle est de rappeler combien Audiard est un grand réalisateur. Pour preuve, ce thème de la quête amoureuse, entre frivolité sexuelle et désir d'amour, a également été traité par Abdellatif Kéchiche dans "Mektoub my love" ; la différence est saisissante : quand l'un montre sa caméra à tout bout de champ, l'autre se fait oublier, laisse parler ses personnages, et donne un réalisme à son récit dont on est bien loin chez Audiard. Quel dommage que son égo soit aussi important que son talent.
    laurent joulin
    laurent joulin

    43 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2021
    Un film sur des vies simples aux sentiments compliqués qui se cherchent dans un quartier aux ensembles multiples impersonnels . Un regard sensible , avec une cettaine complaisance , compréhension sans jugement juste une vue en noir et blanc sublimant les êtres tels qu ils sont tout simplement avec leur qualités et leur contradictions C est beau .
    GéDéon
    GéDéon

    62 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2023
    Le neuvième long-métrage de Jacques Audiard, sorti en 2021, s’intéresse aux tourments amoureux des trentenaires. Composé de trois histoires successives, le film propose une réflexion sur la jeunesse contemporaine marquée par sa diversité. Certes, la réalisation bénéficie d’une belle photographie valorisée par un noir et blanc délicat. L’interprétation sans faille des principaux acteurs (dont l’étoile montante Noémie Merlant) garantit un grand réalisme dans l’expression des sentiments. Mais, il faut bien le reconnaître, l’ensemble ronronne et ne parvient jamais vraiment à décoller en raison d’un manque de consistance. Bref, une chronique attachante malgré son absence de caractère.
    emma emma
    emma emma

    29 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 novembre 2021
    Bon, j'ai vu ce film hier, et déjà, je me rends compte que je n'en retiendrai pas grand chose.. L'intérêt majeur est pour moi la découverte de Makita Samba, que j'ai trouvé absolument captivant, avec une intelligence de jeu assez rare. (D'ailleurs les deux qui font son père et sa soeur sont très bien aussi, et font les meilleurs moments du film). Noémie Merlant est chouette aussi, et confirme le bien que j'avais pensé d'elle dans "Le Portrait de la jeune fille..". Pour le reste, bof bof. On ne croit pas trop au personnage d'Émilie (problème dû à la comédienne? je ne sais pas). Quant à l'intrigue, j'ai vraiment eu l'impression d'être coincée devant une espèce de série ado, à la sauce AB Productions-années 90 (avec beaucoup de scènes de c.. en plus, certes) Le noir et blanc est pas mal, mais manque peut-être un peu de contraste, et surtout, à quoi sert-il?? Sans doute à donner au film une profondeur que le scénario n'a pas, et à le faire passer pour autre chose qu'il n'est ? À savoir une bluette sentimentale pas très intéressante. Bref, ça manque d'humour -un peu-, de profondeur -beaucoup-, et ça ressemble à s'y méprendre à un film de fin d'études. On a en tous cas du mal à reconnaître le réalisateur d'Un Prophète..
    Nicolas N.
    Nicolas N.

    18 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mars 2022
    J'ai vraiment trouvé ce film pas terrible en faite... Le noir et blanc me plait moyen dans ce genre de film 2021-2022. Je n'ai pas compris le concept du film non plus... On voit des jeunes, du sexe mais encore...
    Vraiment pas terrible pour ma part j'ai quand meme mis 2/5 pour le rôle que joue Lucie Zang
    SB88
    SB88

    15 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mai 2024
    3 nouvelles avec une continuité sur un film. C'est plutôt sympa et joué de façon naturelle. Trop de scènes de sexe lassantes et bruyantes (oh hé, dans la vraie vie si une femme fait du bruit c'est qu'elle n'aime pas...mais le réalisateur ne veut pas le savoir et préfère les clichés X)
    Le noir et blanc n'est pas gênant mais vouloir absolument un noir, une asiatique, une lesbienne, c'est du forcing..!
    Pour un réalisateur très âgé, je trouve qu'il y a encore l'envie de bien faire et d'être un peu inventif. C'est dans son temps.
    3,6/5
    Mélany T
    Mélany T

    29 abonnés 492 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2022
    Joli film mais il est dommage qu'il y ait 3 histoires ce qui ne permet pas un approfondissement de chacune. L'histoire de Noémie Merlant est très belle. Le personnage masculin est cependant basique et la nudité féminine gratuite problématique.
    Ceiner M
    Ceiner M

    25 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2021
    j'ai hésité avec 3,5 car l'image est très belle, le cadre, les acteurs excellents mais en y réfléchissant bien, le scénario reste simple et banal. L'avantage principal est de voir d'autres têtes et d'autres couleurs pour les acteurs Je ne sais pas si c'est la fin un peu convenue et gentillette peu en ligne avec ce que l'on sait des personnages. Mais si on est un peu fleur bleue, on sera ravi!
    Jeromeagier2
    Jeromeagier2

    4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    C est un très bon film tout en simplicité car tout se passe dans l attachement qu on éprouve pour les personnages qui sont brillamment interprétés.C est frais, rafraîchissant et le film est un beau reflet de notre société. Le noir et blanc sublime l ensemble.
    Kiberen
    Kiberen

    17 abonnés 91 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 novembre 2021
    Jacques Audiard est clairement un réalisateur qui ne laisse pas indifférent, à chacun de ses films. Pour ma part, je me révèle souvent perplexe face à son travail, en restant très distant émotionnellement lorsque je regarde ses films, pour constater plus tard qu'il y a toujours au moins une scène qui me reste en tête pendant des années. Le constat s'annonce le même pour "Les Olympiades"

    Dans cette histoire d'une jeunesse recherchant à trouver une stabilité professionnelle, familiale, émotionnelle et sexuelle, Jacques Audiard a su très bien s'entourer, notamment avec Céline Sciamma qui participe au scénario et le formidable Rone qui compose la musique. Même chose niveau casting : si Noémie Merlant à déjà largement prouvé son talent par le passé, Makita Samba et surtout Lucie Zhang explosent littéralement tout, s'appropriant avec talent la première grosse partie du film.

    Le premier grand aspect qui marche immédiatement dans "Les Olympiades", c'est sa plastique. Millimétré et parfaitement accomplie avec un accomplissement dans l'exécution du noir et blanc, le film est visuellement sublime, vraiment rien à dire de ce côté-là. Que ce soit de nuit où de jour, en intérieur ou en extérieur, quand les personnages sont habillés ou nus corps contre corps, le film est toujours incroyablement beau, à tel point que cela en devient vertigineux. Si les caméras épaulent de Audiard sont toujours aussi efficaces, il faut relever le travail des mouvements amples et étudiés, traversant parfois les environnements avec une précision chirurgicale, et une utilisation tout en justesse du Split screen, probablement pour reproduire l'aspect roman graphique du matériau d'origine.

    Donc oui, dans la forme, les performances et les apparences, on est sur une pure réussite. Mais dès qu'on se penche sur le fond, le script et comment il est appliqué, c'est là que le film laisse entrevoir ses plus grosses faiblesses. Avec sa construction en trois-quatre chapitres un peu bâtarde et ses trop nombreux sous-scénarios (deuil familial, harcèlement, difficulté de l'emploi, pression familiale), le film peine à se concentrer correctement sur ses personnages. Leur temps de présence est d'ailleurs assez déséquilibré : si Camille est constamment présent, Émilie disparaît un peu après la première partie du film et ne revient que pour faire avancer son arc scénaristique avant le troisième acte. Nora grappille alors tout le temps d'écran, mais le lien qu'elle fonde avec Amber (Jehnny Beth) est trop épistolaire et rare pour être assez solide dans la finalité. On sent cependant l'écriture de Sciamma, dans les dialogues féminins comme dans sa capacité a structuré le récit de quotidiens déconstruits. Sûrement pour retranscrire l'impossibilité d'une jeunesse à se construire correctement tout en célébrant la variété des scénarios qui compose leurs vies, le film fini beaucoup trop par souffrir en terme de structure et de rythme, et le troisième acte est assez grossier tant il défonce le lent rythme du film à la voiture bélier pour conclure tout les arcs scénaristiques mit en place depuis 1h30.

    Mon plus gros souci avec "Les Olympiades", c'est qu'il veut avoir du cœur, et que son script en est rempli, mais que l'application froide et chirurgicale de l'image, des dialogues et des situations lui fait défaut. À la fois composé de l'aspect fragile d'un premier film et du perfectionnement d'un réalisateur accompli, le film se déséquilibre autant que mon rapport à ses émotions. Il est encore plus difficile de l'apprécier quand il sort à peine quelques semaines après "Julie en 12 Chapitres" de Joachim Trier qui avait sublimé l'exercice de faire un film sur une jeunesse actuelle en quête de son identité et de son équilibre. À côté, Audiard peine à mes yeux à offrir une expérience similaire, et même une folle jeunesse qu'on montre repousser ses limites dès qu'ils sont nus ne rend pas le film moins classique, voir moins scolaire. Sans jouer à mettre en place un versus, mais il suffit de comparer la représentation de la nudité masculine entre les deux films : chez Audiard, on ne l'affronte pas et on met en place un rapport de force où les femmes sont nues en full frontal, mais l'homme a le droit à son caleçon. Chez Trier, on montre un homme seul au milieu de sa cuisine, avec juste un t-shirt, le sexe pendouillant dans le vide, suite à une scène forte, et on ressent un propos, on ressent que le nu à quelque chose de plus a raconté que les hésitations du cœur.

    Parfaitement accompli jusqu'à en devenir glacial, insistant trop sur ses émotions millimétrées, "Les Olympiades" à gardé ses distances avec moi, encore une fois avec Audiard. Dans quelques années, cependant, j'y repenserai encore quand certaines scènes tourneront dans ma tête, sûrement la scène du restaurant où un personnage fantasme pouvoir s'absenter une heure pour voir un plan cul avant de revenir en dansant sous un tonnerre d'applaudissements, mais le conflit restera. Maintenant, il n'y a plus qu'à attendre le prochain Audiard, voir si le schéma se répète encore.
    Clément R
    Clément R

    14 abonnés 321 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2022
    Bonne réalisation de Jacques Audiard qui est radicalement éloignée de son précédent film "les frères sisters". La couleur laisse place au noir et blanc. L'action laisse place à la valse des sentiments, aux chamboulements amoureux et à des histoires sentimentales contemporaines.
    Bien filmé, olympiades offre très belles interprétations de jeunes acteurs peu connu.
    Pierre Kuzor
    Pierre Kuzor

    85 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2021
    Ai vu le dernier film de Jacques Audiard, « Les Olympiades ». Dans un écrin noir et blanc somptueux, trois joyaux extraordinaires de vérité et d’intensité, Lucie Zhang, Makita Samba (dont c’est pour tous les deux les premiers pas devant une caméra) et Noémie Merlant brillent de leur immense talent. Le scénario et les dialogues ciselés, très écrits, souvent drôles et parfois touchants, du metteur en scène, Céline Sciamma et Léa Mysius sont inspirés par le roman graphique d’Adrian Tamine. La mise en scène étudiée et discrète est un vrai travail d’orfèvre comme souvent avec Audiard. La caméra du réalisateur épouse le velouté des peaux des comédiens avec sensualité, et le rocailleux du béton des tours du XIIIème arrondissement de Paris avec respect. La musique tonique de Rone habille de sons électroniques ce récit sur la jeunesse actuelle qui ne va pas bien du tout et qui se perd dans cet avenir à l’horizon bouché par des probèmatiques aussi massives que les immeubles titanesques et impersonnels de ce quartier parisien. Emilie, Camille et Nora ont fait des études, sont cultivés mais sont totalement désabusés n’arrivant pas à s’intégrer dans la société. Une petite trentaine et déjà plus aucun rêve, revenus de tout, ils vivent au jour le jour enfermés dans leurs vies et leur quartier sans beaucoup d’humanité derrière leurs écrans tactiles et ceux tout aussi exhibitionnistes que sont les vitres de leurs appartements sans âme. Le film en 3 parties inégales, commence très fort avec le couple Emilie et Camille qui sont co-locataires dans une tour emblématique des « Olympiades » dans le quartier asiatique de Paris sud. Puis nous découvrons Nora, agent immobilière qui reprend ses études à la Fac de Tobiac et qui se fait rapidement harceler sur les réseaux sociaux. La troisième partie verra le trio se rencontrer. Ce film d’une grande douceur formelle dépeint avec précision la violence et le cynisme de notre début de siècle où il est plus accessible de baiser avec le premier venu que de s’adresser la parole, où il est plus facile de communiquer avec des faux amis inconnus sur les réseaux sociaux que de faire connaissance dans sa propre cité, où l’on réalise en pleine jeunesse que l’on est déjà enfermé dans un système et condamné à un métier pourtant choisi, qui nous a déçu et qui ne répond plus à son idéal au bout de quelques mois de pratique, où il est plus « courageux » de payer un quidam pour aller visiter sa grand-mère atteinte d’Alzheimer qui de toutes les façons ne vous reconnaitra pas… Alors, je dois reconnaitre qu’Audiard n’évite pas quelques maniérismes, quelques invraisemblances et une fin à laquelle personne ne peut croire, mais le magnétisme des comédiens, la précision et le rythme de leur jeu, la beauté de la photographie de Paul Guillaume, nous font pardonner les quelques défauts. Ce long métrage nous vaut un des plus beaux coups de foudre du cinéma français. Il y a 25 ans Kassovitz signait un drame en noir et blanc dans une cité de la banlieue parisienne sur une jeunesse exclue et cela s’appelait « La haine ». Audiard signe ici une très belle comédie romantique de même facture qui pourrait s’intituler « Aime » mais ce beau film minéral et animal s’appelle « Les Olympiades"
    Sébastien B.
    Sébastien B.

    12 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2023
    Dans un beau noir et blanc, Jacques Audiard (auteur du sublime « Un Prophète » et du magnifique « Frères Sisters ») propose de scruter la modernité des comportements amoureux d’une certaine jeunesse urbaine. Porté par une mise en scène soignée et une interprétation très convaincante (Noémie Merlant est décidément une des plus grandes actrices françaises), le film ne parvient pas toujours à rester sur un chemin narratif emballant (la faute sans doute à sa volonté d’agglomérer trois récits indépendants adaptés de nouvelles d’Adrian Tomine). Reste qu’avec la fougue d’un jeune cinéaste (voire d’un premier film) Audiard soigne une réalisation de qualité offrant de belles scènes voluptueuses et intimistes. La musique parfaite de Rone et quelques bonnes trouvailles scénaristiques (l’apparition d’Amber Sweet par exemple) finissent de rendre cette chronique agréable. Intéressant et émouvant par moments, amusant et troublant parfois, mal ficelé et un peu ennuyeux quelques fois, si cet opus ne finira pas sur le podium de la filmographie d’Audiard, il porte tout de même un joli dossard dans le cinéma d’auteur national.
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