Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
35 critiques presse
CNews
par La rédaction
Dans un somptueux noir et blanc, Jacques Audiard use d'une mise en scène mouvante et fluide, presque chorégraphique, qui sublime les petits riens du quotidien, les gestes, les regards, les hésitations, les désirs, les frustrations, les maladresses, les états d'âmes de ses personnages qu'il filme avec générosité, sans les juger ni les bousculer.
La critique complète est disponible sur le site CNews
L'Humanité
par Sophie Joubert
Interprétées par de jeunes acteurs presque inconnus, tous excellents, les Olympiades donnent une impression de légèreté, de fluidité qui tient aussi au montage serré et à des dialogues affûtés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Impossible de ne pas se laisser surprendre par l’étonnante modernité de cette peinture contemporaine des sentiments.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Dans le film d’Audiard, tourné en noir et blanc, leur graphisme - sur les boucles hypnotiques de Rone, petit génie de la musique électronique - devient l’écrin sublime d’une ronde amoureuse entre quatre jeunes adultes en quête d’eux-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Tourné dans un somptueux noir et blanc, ce film à la fois ludique et émouvant sur les sentiments et attirances à géométrie variable, séduit grâce à son invention esthétique qui sublime aussi bien les situations ordinaires que les nombreuses séquences sensuelles, filmées avec une intensité brûlante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est beau et émouvant.
Positif
par Adrien Gombeaud
Les Olympiades réjouit, enchante, bouleverse. Audiard dresse le tableau d'un quartier parisien, d'une époque et d'une génération, mais creuse aussi des thèmes récurrents dans son œuvre.
Voici
par La Rédaction
Une valse sentimentale contemporaine tendre et vivifiante, dans un noir et blanc somptueux.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Quand Jacques Audiard s’attaque à un genre nouveau, la comédie, non seulement il atteint son objectif avec grâce et délicatesse, mais en plus il grandit le cinéma d’amour.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Des interprètes charismatiques nourrissent ce récit solaire tourné dans le 13e arrondissement de Paris.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Bombarda
Naviguant entre vivacité et désordre, le réalisateur interroge les nouvelles conventions de la vie amoureuse. Un film vif, interrogatif et instructif.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
À travers les parcours croisés de ses personnages, le film tisse un réseau de connections et d'échos superbement ouvragé, humain, vivant, à la fois réaliste/actuel et follement sentimental (...). On passe aux Olympiades un moment exquis.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un ballet tantôt drôle, tantôt grave, parfois cru et souvent cruel.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Au côté de Noémie Merlant, les débutants Lucie Zhang et Makita Samba crèvent l'écran, magnifiés par une mise en scène toujours fluide et élégante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On s'amuse de cette valse des sentiments, élégante dans son noir et blanc et sa mise en scène fluide, qui se veut le reflet d'une nouvelle génération qui exige tout sans rien donner.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Retour gagnant pour Jacques Audiard et ses Olympiades, conte moderne sur une jeunesse un brin déboussolée.
Marianne
par Olivier De Bruyn
Avec ces protagonistes issus de diverses origines (incarnés par Noémie Merlant et deux belles révélations, Lucie Zhang et Makita Samba), Jacques Audiard, dans un somptueux noir et blanc, dresse le portrait doux-amer d’une certaine jeunesse française.
Rolling Stone
par La Rédaction
Une cartographie non seulement du 13e arrondissement de Paris, mais aussi de la vie sexuelle de ses personnages. Beaucoup de dialogues : coécrit avec Céline Sciamma et Léa Mysius, le scénario ne manque pas d’humour ni de piquant.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ce qui frappe immédiatement dans le film est ce défi paisible d’un cinéma nourri de visages nouveaux, d’acteurs peu connus et dont le décor, cette ville en mouvement, est un pur espace romanesque saisi en noir et blanc.
Télé 2 semaines
par Émilie Leoni
Très actuel, ce film tiré des comics d’Adrian Tomine séduit par sa musique enivrante et son ton juste.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
D’une sensualité enivrante, ce chassé-croisé, filmé en noir et blanc, éblouit par son mélange d’acuité et de drôlerie, et par ses acteurs époustouflants de naturel.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Au milieu de barres d'immeubles impersonnelles filmées en noir et blanc, Jacques Audiard dépeint avec tendresse les désillusions de la vie d'adulte.
Télérama
par Jacques Morice
Une comédie voluptueuse doublée d’un conte moral, à l’esprit Nouvelle Vague.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Simon Riaux
À vouloir prendre la température des trentenaires parisiens en les hybridant avec plusieurs bandes-dessinées américaines, avec la participation au scénario de deux des plus intéressantes cinéastes hexagonales, Audiard expérimente et tâtonne, mais réussit rarement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
« Les Olympiades » a quelque chose d’énergisant. Il capte une manière d’être, de se chercher, de se mouvoir. Oppose à la mélancolie désabusée la quête de la sensualité et l’érotisme des corps. Aussi modeste soit-il, et d’ailleurs revendiqué comme tel, le geste a de la gueule.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Le noir et blanc et le décor très graphique de ce quartier de Paris lui donne un caractère universel, naviguant entre souvenirs de la nouvelle vague et hypermodernité. Dommage que la volonté d’y concentrer toutes les thématiques qui agitent la société d’aujourd’hui donne à cette chronique générationnelle une fonction par trop programmatique.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Clarisse Fabre
Le film, qui capte l'air du temps, révèle de brillants acteurs.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Une rom-com au noir et blanc rutilant, qui se voudrait odyssée du cœur et des corps (étirée en longueur) mais peine à s’affranchir d’une photogénie et d’une narration de série télé.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
On peut totalement passer à côté mais quand il vous atteint, vous oubliez instantanément ses défauts, ses approximations, ses tics de réalisation un peu appuyés pour ne retenir que ces coeurs et ces corps qui vous manquent dès le mot de fin apparu à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
La France des Olympiades est comme on dit « hors sol » – expression fourre-tout se prêtant aux pires clichés. De fait, le film ne manque pas de collectionner, sans craindre le radotage lénifiant, les situations pointant l’incommunicabilité dont souffre la génération de l’amour en haut débit.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Un objet paradoxal, à la fois intemporel et soucieux de refléter (maladroitement) son époque, ancré dans un territoire et pourtant toujours légèrement hors-sol.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Tous les thèmes de l’époque brassés dans le grand mixeur d’une tour du XIIIe arrondissement, et nappés d’un luxueux noir et blanc. En faisant dans le joli, le sympa et le contemporain à tout prix, Jacques Audiard se perd complètement de vue.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Sandra Onana
Si l’on se sent finalement peu concerné par l’issue des idylles des Olympiades, c’est qu’elles ressemblent bien trop aux prétextes d’un projet de mise en scène et de positionnement fabriqués, où les intentions positives affichées comptent finalement plus que les expériences traversées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Frédéric Mercier
À vouloir trop embraser de sujets avec une certaine légèreté badine, aucun ne semble jamais traité, d’autant que le film regorge de clichés que l’on croirait sortis d’un autre temps.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Ultra-volontariste dans ce désir d’être en tout synchrone, le film peine à dépasser la simple accumulation des signes de l’époque. Et on glisse sur sa surface comme comme on swipe sur un écran tactile.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CNews
Dans un somptueux noir et blanc, Jacques Audiard use d'une mise en scène mouvante et fluide, presque chorégraphique, qui sublime les petits riens du quotidien, les gestes, les regards, les hésitations, les désirs, les frustrations, les maladresses, les états d'âmes de ses personnages qu'il filme avec générosité, sans les juger ni les bousculer.
L'Humanité
Interprétées par de jeunes acteurs presque inconnus, tous excellents, les Olympiades donnent une impression de légèreté, de fluidité qui tient aussi au montage serré et à des dialogues affûtés.
La Voix du Nord
Impossible de ne pas se laisser surprendre par l’étonnante modernité de cette peinture contemporaine des sentiments.
Le Parisien
Dans le film d’Audiard, tourné en noir et blanc, leur graphisme - sur les boucles hypnotiques de Rone, petit génie de la musique électronique - devient l’écrin sublime d’une ronde amoureuse entre quatre jeunes adultes en quête d’eux-mêmes.
Les Echos
Tourné dans un somptueux noir et blanc, ce film à la fois ludique et émouvant sur les sentiments et attirances à géométrie variable, séduit grâce à son invention esthétique qui sublime aussi bien les situations ordinaires que les nombreuses séquences sensuelles, filmées avec une intensité brûlante.
Ouest France
C'est beau et émouvant.
Positif
Les Olympiades réjouit, enchante, bouleverse. Audiard dresse le tableau d'un quartier parisien, d'une époque et d'une génération, mais creuse aussi des thèmes récurrents dans son œuvre.
Voici
Une valse sentimentale contemporaine tendre et vivifiante, dans un noir et blanc somptueux.
aVoir-aLire.com
Quand Jacques Audiard s’attaque à un genre nouveau, la comédie, non seulement il atteint son objectif avec grâce et délicatesse, mais en plus il grandit le cinéma d’amour.
20 Minutes
Des interprètes charismatiques nourrissent ce récit solaire tourné dans le 13e arrondissement de Paris.
Bande à part
Naviguant entre vivacité et désordre, le réalisateur interroge les nouvelles conventions de la vie amoureuse. Un film vif, interrogatif et instructif.
Culturopoing.com
À travers les parcours croisés de ses personnages, le film tisse un réseau de connections et d'échos superbement ouvragé, humain, vivant, à la fois réaliste/actuel et follement sentimental (...). On passe aux Olympiades un moment exquis.
Femme Actuelle
Un ballet tantôt drôle, tantôt grave, parfois cru et souvent cruel.
Le Figaro
Au côté de Noémie Merlant, les débutants Lucie Zhang et Makita Samba crèvent l'écran, magnifiés par une mise en scène toujours fluide et élégante.
Le Journal du Dimanche
On s'amuse de cette valse des sentiments, élégante dans son noir et blanc et sa mise en scène fluide, qui se veut le reflet d'une nouvelle génération qui exige tout sans rien donner.
Le Point
Retour gagnant pour Jacques Audiard et ses Olympiades, conte moderne sur une jeunesse un brin déboussolée.
Marianne
Avec ces protagonistes issus de diverses origines (incarnés par Noémie Merlant et deux belles révélations, Lucie Zhang et Makita Samba), Jacques Audiard, dans un somptueux noir et blanc, dresse le portrait doux-amer d’une certaine jeunesse française.
Rolling Stone
Une cartographie non seulement du 13e arrondissement de Paris, mais aussi de la vie sexuelle de ses personnages. Beaucoup de dialogues : coécrit avec Céline Sciamma et Léa Mysius, le scénario ne manque pas d’humour ni de piquant.
Sud Ouest
Ce qui frappe immédiatement dans le film est ce défi paisible d’un cinéma nourri de visages nouveaux, d’acteurs peu connus et dont le décor, cette ville en mouvement, est un pur espace romanesque saisi en noir et blanc.
Télé 2 semaines
Très actuel, ce film tiré des comics d’Adrian Tomine séduit par sa musique enivrante et son ton juste.
Télé 7 Jours
D’une sensualité enivrante, ce chassé-croisé, filmé en noir et blanc, éblouit par son mélange d’acuité et de drôlerie, et par ses acteurs époustouflants de naturel.
Télé Loisirs
Au milieu de barres d'immeubles impersonnelles filmées en noir et blanc, Jacques Audiard dépeint avec tendresse les désillusions de la vie d'adulte.
Télérama
Une comédie voluptueuse doublée d’un conte moral, à l’esprit Nouvelle Vague.
Ecran Large
À vouloir prendre la température des trentenaires parisiens en les hybridant avec plusieurs bandes-dessinées américaines, avec la participation au scénario de deux des plus intéressantes cinéastes hexagonales, Audiard expérimente et tâtonne, mais réussit rarement.
L'Obs
« Les Olympiades » a quelque chose d’énergisant. Il capte une manière d’être, de se chercher, de se mouvoir. Oppose à la mélancolie désabusée la quête de la sensualité et l’érotisme des corps. Aussi modeste soit-il, et d’ailleurs revendiqué comme tel, le geste a de la gueule.
La Croix
Le noir et blanc et le décor très graphique de ce quartier de Paris lui donne un caractère universel, naviguant entre souvenirs de la nouvelle vague et hypermodernité. Dommage que la volonté d’y concentrer toutes les thématiques qui agitent la société d’aujourd’hui donne à cette chronique générationnelle une fonction par trop programmatique.
Le Monde
Le film, qui capte l'air du temps, révèle de brillants acteurs.
Paris Match
Une rom-com au noir et blanc rutilant, qui se voudrait odyssée du cœur et des corps (étirée en longueur) mais peine à s’affranchir d’une photogénie et d’une narration de série télé.
Première
On peut totalement passer à côté mais quand il vous atteint, vous oubliez instantanément ses défauts, ses approximations, ses tics de réalisation un peu appuyés pour ne retenir que ces coeurs et ces corps qui vous manquent dès le mot de fin apparu à l'écran.
Cahiers du Cinéma
La France des Olympiades est comme on dit « hors sol » – expression fourre-tout se prêtant aux pires clichés. De fait, le film ne manque pas de collectionner, sans craindre le radotage lénifiant, les situations pointant l’incommunicabilité dont souffre la génération de l’amour en haut débit.
Critikat.com
Un objet paradoxal, à la fois intemporel et soucieux de refléter (maladroitement) son époque, ancré dans un territoire et pourtant toujours légèrement hors-sol.
Les Fiches du Cinéma
Tous les thèmes de l’époque brassés dans le grand mixeur d’une tour du XIIIe arrondissement, et nappés d’un luxueux noir et blanc. En faisant dans le joli, le sympa et le contemporain à tout prix, Jacques Audiard se perd complètement de vue.
Libération
Si l’on se sent finalement peu concerné par l’issue des idylles des Olympiades, c’est qu’elles ressemblent bien trop aux prétextes d’un projet de mise en scène et de positionnement fabriqués, où les intentions positives affichées comptent finalement plus que les expériences traversées.
Transfuge
À vouloir trop embraser de sujets avec une certaine légèreté badine, aucun ne semble jamais traité, d’autant que le film regorge de clichés que l’on croirait sortis d’un autre temps.
Les Inrockuptibles
Ultra-volontariste dans ce désir d’être en tout synchrone, le film peine à dépasser la simple accumulation des signes de l’époque. Et on glisse sur sa surface comme comme on swipe sur un écran tactile.