AlloCiné
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Votre avis sur Alors on danse ?
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Michèle Laroque réalise ici son troisième long-métrage après "Brillantissime" (2018) et "Chacun chez soi" (2021), et le moins que l'on puisse dire, c'est que le niveau ne décolle toujours pas !
On a la triste impression qu'elle ne sait jouer qu'un seul type de personnage, à savoir la femme bourgeoise un peu aigrie et mélancolique dont le couple n'est jamais simple !
Cette comédie fait penser à un pauvre téléfilm tourné à la va-vite : des comédiens paraissant s'ennuyer (malgré un casting solide), un scénario famélique, des situations peu intéressantes et aux ficelles souvent invraisemblables, et une atmosphère générale plus nostalgique qu'amusante.
Bref, n'en jetez plus, passez vite votre chemin !!
Site CINEMADOURG.free.fr
On a la triste impression qu'elle ne sait jouer qu'un seul type de personnage, à savoir la femme bourgeoise un peu aigrie et mélancolique dont le couple n'est jamais simple !
Cette comédie fait penser à un pauvre téléfilm tourné à la va-vite : des comédiens paraissant s'ennuyer (malgré un casting solide), un scénario famélique, des situations peu intéressantes et aux ficelles souvent invraisemblables, et une atmosphère générale plus nostalgique qu'amusante.
Bref, n'en jetez plus, passez vite votre chemin !!
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Une M.Laroque toujours à son avantage, vue par elle-même...et un scénario très démago., ce qui lui ressemble bien. Même Thierry Lhermitte a l'air de
s'y ennuyer...
s'y ennuyer...
troisième film, troisième bouse
et quand elle joue dans ses films et elle joue moins bien
même si vous n'avez rien à faire, ne regardez pas ses films, la vie est trop courte pour cela
et quand elle joue dans ses films et elle joue moins bien
même si vous n'avez rien à faire, ne regardez pas ses films, la vie est trop courte pour cela
Un mélange d'ennui et de gênance devant ce téléfilm qui a bien du mal à garder du rythme et de l'intérêt. On voit tout arriver de loin mais quand ça arrive on est quand même déçu parce que c'est moins bien que ce qu'on pensait. Le tout rempli de bonnes intentions... Bref, ça devait cartonner.
OMG ! Que dire ? J'en perds mes mots.... Un film raté où l'EGO de Michèle Laroque éclate dans toute sa splendeur. Mon Dieu, comme elle s'aime cette femme !
Quelqu'un osera peut-être, un jour, lui dire D'ARRËTER de réaliser des films.... avec l'argent des contribuables. Ca, ça fait mal !
Ce n'est pas drôle, c'est juste gênant, bref, pathétique !
Passez votre chemin... Vous allez gaspiller votre temps !
Quelqu'un osera peut-être, un jour, lui dire D'ARRËTER de réaliser des films.... avec l'argent des contribuables. Ca, ça fait mal !
Ce n'est pas drôle, c'est juste gênant, bref, pathétique !
Passez votre chemin... Vous allez gaspiller votre temps !
Vous pouvez passer votre chemin et Michelle Laroque arreter de faire des films. On sourit parfois mais on ne rit jamais. Dommage que le scénario soit si peu travaillé...
Fêtons le cinéma
Il est consternant de voir à quel point Michèle Laroque ne comprend pas qu’une comédie sociale exige un décentrement, une distance prise à l’égard du regardant au profit de ce qui est regardé. Ce qu’elle filme une heure et demie durant, c’est elle. En bourgeoise lassée. En femme malheureuse. En sœur fâchée. En danseuse. Un kaléidoscope d’identités toutes plus mal jouées les unes que les autres qui se saisissent des revendications sociétales comme d’une toile de fond sur laquelle déverser la guimauve de bons sentiments. L’idée d’investir la crise du modèle associatif, ébranlé par divers projets d’urbanisme et des difficultés de financement, par le biais d’une crise familiale entre deux sœurs appartenant chacune à un milieu différent avait pourtant de quoi fonctionner ; elle tourne au pugilat de répliques bêtement incisives que l’écriture et le montage rythment fort mal. Le drame social mute en concours de vacheries dans l’unique but d’arracher au spectateur laxiste un sourire.
Troisième long métrage, troisième échec. Si Barbet Schroeder dispose de sa Trilogie du Mal, passionnante au demeurant, Michèle Laroque tient là, à coup sûr, sa trilogie du nul.
Troisième long métrage, troisième échec. Si Barbet Schroeder dispose de sa Trilogie du Mal, passionnante au demeurant, Michèle Laroque tient là, à coup sûr, sa trilogie du nul.
vide , sans idées , médiocre , ennui total, néant total , pas drôle ;.. personne ne sauve le naufrage . Bref à fuir
Alors vraiment, je ne vois pas ou elle veut en venir... Film ennuyeux au possible, je m'attendais a autre chose
Passez votre chemin
Passez votre chemin
Le plus mauvais film qu'elle ait réalisé. Sans queue ni tête, sans aucune crédibilité et totalement surjoué. Heureusement que j'étais invité à l'avant première. Ne vaut vraiment pas la peine d'acheter un billet de cinéma.
J'ai passé un bon moment avec le film de Michèle Laroque, dont je n'avais pas été voir le précédent pourtant. Je dois reconnaitre que les chansons populaires et émovantes m'ont mis dans une ambiance de tendresse avec ces personnages.
Thierry Lhermitte est toujours aussi doux, et Patrick Timsit est étonnant en mari blessé.
Isabelle Nanty est à son habitude, drôle et généreuse.
Thierry Lhermitte est toujours aussi doux, et Patrick Timsit est étonnant en mari blessé.
Isabelle Nanty est à son habitude, drôle et généreuse.
Vu au ciné "ALORS ON DANSE" de et avec Michèle Laroque, comédie de moeurs qui part sur un malentendu: le titre et le slogan de l'affiche- "Une comédie qui va vous faire danser!"- ne correspondent pas vraiment à l'arrivée au contenu du film car hormis quelques brèves séquences de danse -peu réussies par ailleurs- l'ensemble ne nous donne pas vraiment envie de danser en sortant! Michèle Laroque se réalise en femme bourgeoise trompée par son mari, qui va se réfugier chez sa soeur (Isabelle Nanty)- révolutionnaire et au mode de vie totalement opposé- avec qui elle est fâchée depuis longtemps, tout en rêvant d’une nouvelle vie, faisant connaissance d'un restaurateur-plombier (Timsit) et de son ami huissier à la retraite (Lhermitte), avec lesquels les deux soeurs vont fréquenter un club de danse.Vu comme ça ça pouvait promettre une sympathique comédie mais l'ensemble manque cruellement de rythme et de saveur, la faute à un scénario trop léger et une mise en scène brouillonne qui se perd souvent, dommage car l'abattage communicatif d'Isabelle Nanty et la mélancolie de Patrick Timsit parviennent par instants à nous emporter.Le meilleur moment du film est le générique de fin avec les comédiens réunis autour de Maxime Le Forestier pour interpréter en karaoke son "San Francisco"...un peu tard donc...décevant...
Une comédie légère et on en a bien besoin par les temps qui courent. Un casting au combien sympathique, merci à Michèle Laroque pour ce bon moment
Une comédie douce-amère plutôt réussie, plus ambitieuse que prétentieuse comme un bouquet de tulipes aux couleurs bien choisies.
Pourquoi pas ?
Librement adaptée du film anglais de Finding Your Feet de Richard Loncraine, cette comédie romantique signée Michèle Laroque fait partie des films qu’on peut voir mais qui ne marqueront pas pour autant l’histoire du 7ème Art. Bien décidée à reprendre sa vie en main après avoir découvert les infidélités de son mari, Sandra se réfugie chez sa sœur Danie. A l’opposé l’une de l’autre, elles se retrouvent autour de leur passion commune : la danse. Avec les pieds nickelés de la chorégraphie Lucien et Roberto, des amis de sa sœur, Sandra trouve enfin la liberté et le grain de folie qui manquaient à sa vie. Une nouvelle vie commence : parce qu’on a tous le droit à une deuxième danse ! 87 minutes sympathiques, bien écrites et bien jouées. Rien de révolutionnaire pais ça se laisse voir.
Après ces deux 1ères tentatives derrière la caméra, Brillantissime et Chacun chez soi, je craignais au plus haut point le 3ème film de Michèle Laroque, pour laquelle, au demeurant, j’ai la plus grande sympathie. Incontestablement, elle s’en sort beaucoup mieux cette fois, et même avec une mention AB, car elle a évité la comédie débridée, pour apporter une touche bienvenue de sensibilité voire de gravité. Les personnages ne sont jamais caricaturaux et même plus complexes qu’il n’y paraît au premier abord. Un peu de lutte des classes, pas mal de nostalgie, de l’humour et des dialogues bienvenus, sans être un régal, on ne s’ennuie pas et tout se tient à peu près… sauf les scènes de danse qui frisent parfois le ridicule. Mais peut-être est-ce assumé…. Mais je n’en suis pas si sûr. Donc l’ensemble est convenu mais on peut s’attacher à ce portrait amer d’une femme en crise.
Avec son quatuor de choc, Isabelle Nanty, Michèle Laroque, Thierry Lhermitte et Patrick Timsit, notre réalisatrice jouait gagnant. En plus, le casting des seconds rôles est plus que soigné avec Antoine Duléry, Jeanne Balibar, Armelle, Virginia Anderson, Sofiane Chalal et Jean-Hugues Anglade… du lourd pour une comédie légère mais attachante malgré son manque de rythme… Et ça, pour une comédie, ce peut être rédhibitoire. Alors celle-ci ne s’en sort pas si mal.
Librement adaptée du film anglais de Finding Your Feet de Richard Loncraine, cette comédie romantique signée Michèle Laroque fait partie des films qu’on peut voir mais qui ne marqueront pas pour autant l’histoire du 7ème Art. Bien décidée à reprendre sa vie en main après avoir découvert les infidélités de son mari, Sandra se réfugie chez sa sœur Danie. A l’opposé l’une de l’autre, elles se retrouvent autour de leur passion commune : la danse. Avec les pieds nickelés de la chorégraphie Lucien et Roberto, des amis de sa sœur, Sandra trouve enfin la liberté et le grain de folie qui manquaient à sa vie. Une nouvelle vie commence : parce qu’on a tous le droit à une deuxième danse ! 87 minutes sympathiques, bien écrites et bien jouées. Rien de révolutionnaire pais ça se laisse voir.
Après ces deux 1ères tentatives derrière la caméra, Brillantissime et Chacun chez soi, je craignais au plus haut point le 3ème film de Michèle Laroque, pour laquelle, au demeurant, j’ai la plus grande sympathie. Incontestablement, elle s’en sort beaucoup mieux cette fois, et même avec une mention AB, car elle a évité la comédie débridée, pour apporter une touche bienvenue de sensibilité voire de gravité. Les personnages ne sont jamais caricaturaux et même plus complexes qu’il n’y paraît au premier abord. Un peu de lutte des classes, pas mal de nostalgie, de l’humour et des dialogues bienvenus, sans être un régal, on ne s’ennuie pas et tout se tient à peu près… sauf les scènes de danse qui frisent parfois le ridicule. Mais peut-être est-ce assumé…. Mais je n’en suis pas si sûr. Donc l’ensemble est convenu mais on peut s’attacher à ce portrait amer d’une femme en crise.
Avec son quatuor de choc, Isabelle Nanty, Michèle Laroque, Thierry Lhermitte et Patrick Timsit, notre réalisatrice jouait gagnant. En plus, le casting des seconds rôles est plus que soigné avec Antoine Duléry, Jeanne Balibar, Armelle, Virginia Anderson, Sofiane Chalal et Jean-Hugues Anglade… du lourd pour une comédie légère mais attachante malgré son manque de rythme… Et ça, pour une comédie, ce peut être rédhibitoire. Alors celle-ci ne s’en sort pas si mal.
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