Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Pierre Barbancey
Du cinéma jeune, frais et pourtant grave.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Guillaume Ange
"Nous, étudiants !" résonne comme un manifeste, celui de la jeunesse d’un pays dont l’Histoire a trop peu croisé celle du cinéma. Par le biais de son film, Rafiki Fariala vient combler ce manque et transmettre au monde la parole de ses compatriotes de Bangui.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Geneix
Rafiki Fariala sait qu’un documentaire à la rencontre de l’imprévu invente son système d’expression. Sa voix rappelle combien filmer peut être, dans le même geste, joie, nécessité et prise de responsabilité.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Le quotidien est embrassé par un regard amical qui, en investissant des scènes intimes et en accompagnant par-delà l’étape du diplôme ses trois complices, Benjamin Aaron et Nestor, laisse la vie se confondre avec son sujet.
L'Obs
par F. F.
Tourné sur une durée de trois ans, le film est drôle, tragique, imaginatif et, surtout, ultrafauché. Le film force l’admiration par sa volonté d’en découdre avec un destin contraire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
Rafiki Fariala filme ses proches avec lesquels il a partagé son quotidien, pendant près de trois ans. Cette complicité d’un petit cercle confère une spontanéité, voire une certaine légèreté de situation, le spectateur se retrouvant plongé au milieu d’une jeunesse qui vit, aime et doute.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Marion Michel
Certaines scènes sont magnifiques, d’autres maladroites, mais ce qu’il reste finalement, c’est le témoignage ardent d’une jeunesse de la République centrafricaine qui lutte pour renverser l’ordre établi.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Il faut reconnaître que le long-métrage souffre d’une certaine hésitation dans l’écriture, générant un brouillage dans les messages que le réalisateur souhaite transmettre. La dimension assez contemplative de la vie estudiantine est remarquablement filmée (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
L’idée de raconter son pays par le prisme de sa jeunesse et de ses rêves venant se fracasser sur l’absence de tout ascenseur social est excellente. Sa manière de parler tout à la fois du poids des traditions, de la crise économique, du rapport hommes- femmes ne manque pas de pertinence. Mais la courte durée du film l’empêche de creuser les choses et donne un résultat trop confus.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Du cinéma jeune, frais et pourtant grave.
Les Fiches du Cinéma
"Nous, étudiants !" résonne comme un manifeste, celui de la jeunesse d’un pays dont l’Histoire a trop peu croisé celle du cinéma. Par le biais de son film, Rafiki Fariala vient combler ce manque et transmettre au monde la parole de ses compatriotes de Bangui.
Positif
Rafiki Fariala sait qu’un documentaire à la rencontre de l’imprévu invente son système d’expression. Sa voix rappelle combien filmer peut être, dans le même geste, joie, nécessité et prise de responsabilité.
Cahiers du Cinéma
Le quotidien est embrassé par un regard amical qui, en investissant des scènes intimes et en accompagnant par-delà l’étape du diplôme ses trois complices, Benjamin Aaron et Nestor, laisse la vie se confondre avec son sujet.
L'Obs
Tourné sur une durée de trois ans, le film est drôle, tragique, imaginatif et, surtout, ultrafauché. Le film force l’admiration par sa volonté d’en découdre avec un destin contraire.
Le Monde
Rafiki Fariala filme ses proches avec lesquels il a partagé son quotidien, pendant près de trois ans. Cette complicité d’un petit cercle confère une spontanéité, voire une certaine légèreté de situation, le spectateur se retrouvant plongé au milieu d’une jeunesse qui vit, aime et doute.
Télérama
Certaines scènes sont magnifiques, d’autres maladroites, mais ce qu’il reste finalement, c’est le témoignage ardent d’une jeunesse de la République centrafricaine qui lutte pour renverser l’ordre établi.
aVoir-aLire.com
Il faut reconnaître que le long-métrage souffre d’une certaine hésitation dans l’écriture, générant un brouillage dans les messages que le réalisateur souhaite transmettre. La dimension assez contemplative de la vie estudiantine est remarquablement filmée (...).
Première
L’idée de raconter son pays par le prisme de sa jeunesse et de ses rêves venant se fracasser sur l’absence de tout ascenseur social est excellente. Sa manière de parler tout à la fois du poids des traditions, de la crise économique, du rapport hommes- femmes ne manque pas de pertinence. Mais la courte durée du film l’empêche de creuser les choses et donne un résultat trop confus.