Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Cette romance n’a de consistance que parce qu’elle devient sous nos yeux émerveillés une fable, revenue d’un passé immémorial qui nous constitue autant qu’il nous dépasse et nous subjugue.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Michel Oriot
Un premier film très maîtrisé.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une parabole combinant réalisme social et fantasmagorie féministe, dans une mise en scène rugueuse, sensuelle et envoûtante. Une découverte.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Cl. F.
De ce matériau documentaire, Elena Lopez Riera tisse une fable magnétique illuminée par la présence d’une jeune comédienne, non-professionnelle, Luna Pamies (Ana).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
[Un] film intrigant et attachant, carrefour où se rencontrent la fiction et la réalité [...], les mythes et la vérité, la magie et l’ordinaire, une cinéaste et son intimité (le film se passe autour d’Orihuela, où Elena López Riera a grandi).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Transfuge
par Serge Kaganski
Tout ce que filme Riera semble simple, évident, déjà vu et rebattu (des jeunes qui glandent et s’ennuient dans un bled pendant l’été), et pourtant, tout vibre, tout palpite, tout est incarné, tout est vraiment regardé comme si c’était la première fois, infusé par un féminisme aussi subtil qu’émouvant.
Télérama
par Caroline Besse
Les récits s’entremêlent comme les courants chauds et froids d’une rivière, pour glisser doucement vers une vague fantastique. Sur laquelle on surfe volontiers.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
López Riera a la riche idée de renforcer la part documentaire du projet en quelques plans qui alimentent la fiction sans s’y dissoudre. (...) En osant ces excursions, qui rompent le train-train du récit initiatique aux accents féministes, Elena López Riera trouve le moyen de faire respirer son conte.
L'Humanité
par Vincent Ostria
El Agua reste avant tout une chronique populaire plutôt bien vue et bien filmée sur la stagnation provinciale et les dilemmes de la jeunesse ouvrière dans une région sans histoire et plutôt isolée des grands courants touristiques. Mais la manière un peu trop allusive d’associer légende aquatique et féminité, tout en faisant vaguement allusion à la sorcellerie (sujet dans l’air du temps), ne convainc pas toujours.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
La réalisatrice parvient à marier les sujets et les genres (chronique adolescente, conte fantastique, récit initiatique) sans rendre l’ensemble indigeste. L’enveloppant d’une atmosphère étrange et envoutante, elle peut aussi compter sur le charisme et le charme d’une jeune actrice pleine de promesses.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Mais le film a le mérite de s’attaquer de front à des superstitions destructrices, et de mettre en lumière de beaux personnages féminins oppressés par le poids de mythes issus du passé, joliment incarnés par deux formidables comédiennes : Barbara Lennie et la jeune Luna Pamies.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Thierry Chèze
Elena López Riera embrasse cette figure mythique dans un mélange parfait de réalisme et de mysticisme en nous plongeant dans la tête de sa jeune héroïne, perdue entre ce qu’elle voit, ce qu’elle ressent, ce qu’elle rêve et ce qu’elle cauchemarde. Pour un résultat envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage sincère et attachant, qui mêle avec habileté légendes rurales et docu-fiction.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Présenté l’année dernière à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, ce premier film d’une réalisatrice espagnole séduit par son atmosphère, mais lasse à trop s’étirer dans l’attente et l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Le réalisme magique qui imprègne El Agua aurait pu être séduisant ; hélas, le film se perd dans sa forme brouillonne et laborieuse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Cette romance n’a de consistance que parce qu’elle devient sous nos yeux émerveillés une fable, revenue d’un passé immémorial qui nous constitue autant qu’il nous dépasse et nous subjugue.
Ouest France
Un premier film très maîtrisé.
L'Obs
Une parabole combinant réalisme social et fantasmagorie féministe, dans une mise en scène rugueuse, sensuelle et envoûtante. Une découverte.
Le Monde
De ce matériau documentaire, Elena Lopez Riera tisse une fable magnétique illuminée par la présence d’une jeune comédienne, non-professionnelle, Luna Pamies (Ana).
Libération
[Un] film intrigant et attachant, carrefour où se rencontrent la fiction et la réalité [...], les mythes et la vérité, la magie et l’ordinaire, une cinéaste et son intimité (le film se passe autour d’Orihuela, où Elena López Riera a grandi).
Transfuge
Tout ce que filme Riera semble simple, évident, déjà vu et rebattu (des jeunes qui glandent et s’ennuient dans un bled pendant l’été), et pourtant, tout vibre, tout palpite, tout est incarné, tout est vraiment regardé comme si c’était la première fois, infusé par un féminisme aussi subtil qu’émouvant.
Télérama
Les récits s’entremêlent comme les courants chauds et froids d’une rivière, pour glisser doucement vers une vague fantastique. Sur laquelle on surfe volontiers.
Cahiers du Cinéma
López Riera a la riche idée de renforcer la part documentaire du projet en quelques plans qui alimentent la fiction sans s’y dissoudre. (...) En osant ces excursions, qui rompent le train-train du récit initiatique aux accents féministes, Elena López Riera trouve le moyen de faire respirer son conte.
L'Humanité
El Agua reste avant tout une chronique populaire plutôt bien vue et bien filmée sur la stagnation provinciale et les dilemmes de la jeunesse ouvrière dans une région sans histoire et plutôt isolée des grands courants touristiques. Mais la manière un peu trop allusive d’associer légende aquatique et féminité, tout en faisant vaguement allusion à la sorcellerie (sujet dans l’air du temps), ne convainc pas toujours.
Le Journal du Dimanche
La réalisatrice parvient à marier les sujets et les genres (chronique adolescente, conte fantastique, récit initiatique) sans rendre l’ensemble indigeste. L’enveloppant d’une atmosphère étrange et envoutante, elle peut aussi compter sur le charisme et le charme d’une jeune actrice pleine de promesses.
Le Parisien
Mais le film a le mérite de s’attaquer de front à des superstitions destructrices, et de mettre en lumière de beaux personnages féminins oppressés par le poids de mythes issus du passé, joliment incarnés par deux formidables comédiennes : Barbara Lennie et la jeune Luna Pamies.
Première
Elena López Riera embrasse cette figure mythique dans un mélange parfait de réalisme et de mysticisme en nous plongeant dans la tête de sa jeune héroïne, perdue entre ce qu’elle voit, ce qu’elle ressent, ce qu’elle rêve et ce qu’elle cauchemarde. Pour un résultat envoûtant.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage sincère et attachant, qui mêle avec habileté légendes rurales et docu-fiction.
La Croix
Présenté l’année dernière à la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, ce premier film d’une réalisatrice espagnole séduit par son atmosphère, mais lasse à trop s’étirer dans l’attente et l’ennui.
Les Fiches du Cinéma
Le réalisme magique qui imprègne El Agua aurait pu être séduisant ; hélas, le film se perd dans sa forme brouillonne et laborieuse.