Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Un récit élégiaque et inspiré sur la jeunesse rurale, magnifié par une somptueuse photographie et un souffle fantastique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jérémie Oro
Le cinéaste argentin Maximiliano Schonfeld signe un geste mystique sur la recherche de soi et la vénération comme exutoire du deuil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O’Neill
Les images variées, de portraits de vieux, de vues du cimetière de bagnoles, d’échanges sur les fantômes, de la piste sur laquelle « il n’y a pas d’amitié qui tient » font étonnamment bon ménage.
Culturopoing.com
par Jean-Michel Pignol
Drame psychologique, récit fantastique, parabole religieuse, le film de Maximiliano Schonfeld échappe sciemment à la notion de genre pour éviter le confort d’une lecture à sens unique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par F. F.
L’intelligence du récit (et de la mise en scène) renoue avec la tradition du doppelgänger chez les romantiques allemands (E.T.A. Hoffmann ou Jean Paul) et donne au film une tonalité sombre, hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Bap.T.
(...) le réalisateur argentin aborde les thèmes du deuil et de l’identité à travers la figure du double. Son approche naturaliste flirte avec le fantastique à mesure que progresse le récit. Habilement réalisé et mené malgré des redondances, il séduit par sa finesse et la justesse des comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce drame qui parle d’enfermement dans l’amour et le deuil, au risque de la répétition mortifère, devient alors une expérience de cinéma envoûtante et poétique, en prise avec le pouvoir des fantômes, jusque dans la griserie d’une course automobile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par V. Ca.
Las, le propos entraîne progressivement Jesus Lopez sur un versant surnaturel dont l’effet semble superflu. Voire redondant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par François Léger
Un film emprunt de mysticisme et de pulsions qui travaille subtilement le son et le hors-champ, mais qui manque de radicalité pour pleinement se déployer dans l’émotion.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce récit d’un dédoublement de personnalité, séduisant sur le papier, a des qualités mais n’échappe pas aux poncifs, malgré la sincérité des intentions.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
Un récit élégiaque et inspiré sur la jeunesse rurale, magnifié par une somptueuse photographie et un souffle fantastique.
Les Inrockuptibles
Le cinéaste argentin Maximiliano Schonfeld signe un geste mystique sur la recherche de soi et la vénération comme exutoire du deuil.
Positif
Les images variées, de portraits de vieux, de vues du cimetière de bagnoles, d’échanges sur les fantômes, de la piste sur laquelle « il n’y a pas d’amitié qui tient » font étonnamment bon ménage.
Culturopoing.com
Drame psychologique, récit fantastique, parabole religieuse, le film de Maximiliano Schonfeld échappe sciemment à la notion de genre pour éviter le confort d’une lecture à sens unique.
L'Obs
L’intelligence du récit (et de la mise en scène) renoue avec la tradition du doppelgänger chez les romantiques allemands (E.T.A. Hoffmann ou Jean Paul) et donne au film une tonalité sombre, hors du commun.
Le Journal du Dimanche
(...) le réalisateur argentin aborde les thèmes du deuil et de l’identité à travers la figure du double. Son approche naturaliste flirte avec le fantastique à mesure que progresse le récit. Habilement réalisé et mené malgré des redondances, il séduit par sa finesse et la justesse des comédiens.
Télérama
Ce drame qui parle d’enfermement dans l’amour et le deuil, au risque de la répétition mortifère, devient alors une expérience de cinéma envoûtante et poétique, en prise avec le pouvoir des fantômes, jusque dans la griserie d’une course automobile.
Le Monde
Las, le propos entraîne progressivement Jesus Lopez sur un versant surnaturel dont l’effet semble superflu. Voire redondant.
Première
Un film emprunt de mysticisme et de pulsions qui travaille subtilement le son et le hors-champ, mais qui manque de radicalité pour pleinement se déployer dans l’émotion.
aVoir-aLire.com
Ce récit d’un dédoublement de personnalité, séduisant sur le papier, a des qualités mais n’échappe pas aux poncifs, malgré la sincérité des intentions.