Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Alzabert
Ce que veut l'héroïne de La Cage, c'est une liberté, qui la soustrairait aussi bien au regard des autres personnages qu'à celui du cinéaste et des spectateurs.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Caroline Ducey est grande et La Cage est une alternative bienvenue aux schémas dramatiques urbains. C'est une cage où l'on respire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Obejctif-Cinema.com
par Bernard Payen
La cage demande tout et ne demande rien au spectateur. Juste de se laisser porter. Par les espaces d'un western moderne et âpre, d'une géographie imaginaire où s'aventurerait une fille en cavale de soi, libérée enfin d'un lourd passé. C'est un film qu'il faut voir, sentir, aimer.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Ce trajet en pente douce est filmé dans l'effacement mutique par le cinéaste, qui ne cherche les points d'ancrage avec le réel que pour mieux les faire vaciller, clignoter (...). L'aridité silencieuse du film, son insistance (...), ne relève pas de la coquetterie auteurisante.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Guillaume Tion
Mais, lorsque le spectateur accepte de rentrer dans ce jeu silencieux, le film nous offre sa perle : une confrontation quasi-muette, étranglée, entre une meurtrière et le père de sa victime. Cette scène est d'une puissance rare. Le reste l'est malheureusement beaucoup moins.
Première
par Christophe Carrière
Préférer l'analyse à un parti pris hâtif est une bonne chose. Refuser à tout prix toute péripétie scénaristique et mise en scène attrayante en est une autre. Pas forcément moins bonne, mais sans aucun doute pénalisante en terme d'accessibilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Cette suspension du temps confère au film une poésie étrange et abstraite qui finit par s'éventer, faute d'un peu de concret.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Véronique Le Bris
Avec un pareil sujet, on pouvait s'attendre à un film percutant. Mais c'est à une longue litanie de silences et de plans fixes anodins qu'on assiste, dépité. A part deux rencontres touchantes, et surtout la confirmation du talent bien réel de Caroline Ducey, émouvante et présente dans un rôle exigeant mais dont il ne ressort pas grand-chose, rien, ni la manière quelconque de filmer les paysages, ni la pauvreté des dialogues, ne sauve ce premier long-métrage du réalisateur Alain Raoust.
Cine Libre
par Maureen Loiret
L'emprisonnement intérieur dont souffre Anne se traduit par un sentiment de déconnexion que des plans interminables et répétitifs (comme celui d'allumer et d'éteindre un interrupteur) rendent insupportable.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Mais avec La Cage, Alain Raoust semble déjà se citer lui-même, ses outils de mise en scène menacent de devenir un système. Cinéaste incontestablement doué et audacieux, il semble cette fois lui aussi pris au piège de cette "cage" aux sens multiples, métaphore si efficace qu'elle en devient dangereuse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Cahiers du Cinéma
Ce que veut l'héroïne de La Cage, c'est une liberté, qui la soustrairait aussi bien au regard des autres personnages qu'à celui du cinéaste et des spectateurs.
Les Inrockuptibles
Caroline Ducey est grande et La Cage est une alternative bienvenue aux schémas dramatiques urbains. C'est une cage où l'on respire.
Obejctif-Cinema.com
La cage demande tout et ne demande rien au spectateur. Juste de se laisser porter. Par les espaces d'un western moderne et âpre, d'une géographie imaginaire où s'aventurerait une fille en cavale de soi, libérée enfin d'un lourd passé. C'est un film qu'il faut voir, sentir, aimer.
Chronic'art.com
Ce trajet en pente douce est filmé dans l'effacement mutique par le cinéaste, qui ne cherche les points d'ancrage avec le réel que pour mieux les faire vaciller, clignoter (...). L'aridité silencieuse du film, son insistance (...), ne relève pas de la coquetterie auteurisante.
MCinéma.com
Mais, lorsque le spectateur accepte de rentrer dans ce jeu silencieux, le film nous offre sa perle : une confrontation quasi-muette, étranglée, entre une meurtrière et le père de sa victime. Cette scène est d'une puissance rare. Le reste l'est malheureusement beaucoup moins.
Première
Préférer l'analyse à un parti pris hâtif est une bonne chose. Refuser à tout prix toute péripétie scénaristique et mise en scène attrayante en est une autre. Pas forcément moins bonne, mais sans aucun doute pénalisante en terme d'accessibilité.
TéléCinéObs
Cette suspension du temps confère au film une poésie étrange et abstraite qui finit par s'éventer, faute d'un peu de concret.
Zurban
Avec un pareil sujet, on pouvait s'attendre à un film percutant. Mais c'est à une longue litanie de silences et de plans fixes anodins qu'on assiste, dépité. A part deux rencontres touchantes, et surtout la confirmation du talent bien réel de Caroline Ducey, émouvante et présente dans un rôle exigeant mais dont il ne ressort pas grand-chose, rien, ni la manière quelconque de filmer les paysages, ni la pauvreté des dialogues, ne sauve ce premier long-métrage du réalisateur Alain Raoust.
Cine Libre
L'emprisonnement intérieur dont souffre Anne se traduit par un sentiment de déconnexion que des plans interminables et répétitifs (comme celui d'allumer et d'éteindre un interrupteur) rendent insupportable.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Mais avec La Cage, Alain Raoust semble déjà se citer lui-même, ses outils de mise en scène menacent de devenir un système. Cinéaste incontestablement doué et audacieux, il semble cette fois lui aussi pris au piège de cette "cage" aux sens multiples, métaphore si efficace qu'elle en devient dangereuse.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com