Mon compte
    Mémoires d'une geisha
    Note moyenne
    3,9
    10702 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mémoires d'une geisha ?

    563 critiques spectateurs

    5
    220 critiques
    4
    157 critiques
    3
    65 critiques
    2
    69 critiques
    1
    34 critiques
    0
    18 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ferdinand75
    ferdinand75

    547 abonnés 3 866 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2014
    Une mise en scène bien fade pour l' adaptation d'un roman à succès. Le livre avait une certaine élégance. Mais l'adaptation est trop classique , On s'ennuie beaucoup même si l'image est soignée, cela ne suffit pas. Un scénario pas assez étoffé.
    Flex07
    Flex07

    86 abonnés 1 705 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 septembre 2007
    Film long et terriblement ennuyeux en dépit de ses jolis décors et de ses douces musiques.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2012
    Les premiers plans du film, véritables estampes japonaises, nous montrent une village sous la pluie. Deux visages enfantins épient la discussion entre deux adultes : le père de Chiyo vient de la vendre ainsi que sa soeur pour devenir servantes dans une maison de geisha.

    Séparée de sa soeur dès son arrivée à Tokyo, Chiyo va faire le dur apprentissage de ce monde de femmes. D'abord promise au rôle de geisha, elle est rabaissée au rang d'esclave à la suite des manigances de la cruelle Hatsumomo. Seul rayon de soleil, la rencontre avec un homme d'affaires qui, ému par ses larmes, lui offre une glace et lui donne son mouchoir.

    Repérée par Mameha, la rivale d'Hatsumomo, elle est formée à l'art complexe de la geisha, définie comme une oeuvre d'art vivante, maîtrisant la danse, la musique et la conversation. Propulsée par celle qui se fait appeler sa grande soeur, elle gravit rapidement tous les échelons de ce monde si codifié, enjeu de la lutte entre les différentes femmes qui l'ont formée, et du désir de nombreux hommes, mais malheureusement pas de celui qui lui avait offert ce mouchoir.

    La critique s'est déchaînée contre la vision hollywoodienne du Japon que présente ce film. Certes, le scénario est tiré d'un livre américain. Certes, les principales actrices sont chinoises et parlent en anglais -parfois un peu phonétiquement. Certes, la vision du Japon est dans la tradition américaine, à mi-chemin entre condescendance et fascination, dans la lignée de "Shogun" ou de "Kill Bill"... Certes, on est plus prêt de "Madame Butterfly" que d'Ozu ou de Mizoguchi. Mais cela a-t-il empêché l'opéra de Puccini d'être un chef-d'oeuvre ?

    Alors là, s'il ne s'agit pas de chef-d'oeuvre, nous sommes quand même en présence d'un bel exemple de maîtrise cinématographique. De son expérience de chorégraphe, Rob Marshall a su tirer un indiscutable savoir-faire pour tout ce qui nous est donné à voir : décors, costumes, accessoires ; et la geisha est aussi une danseuse, que ce soit dans la chorégraphie des éventails, ou même dans le moindre de ses gestes, et le réalisateur de "Chicago" excelle dans ces scènes-là.

    Film de 2 h 20, "Mémoires d'une geisha" évite l'ennui, grâce à une mise en scène efficace, et une intrigue qui nous fait progressivement découvrir les jeux complexes de pouvoir et d'argent qui se jouent au-delà de règles séculaires. La guerre et la défaite japonaise marquent une rupture bienvenue dans le récit, et, soi-dit en passant, esquissent assez subtilement les effets de la présence américaine qui détourne en l'avilissant l'art de la geisha. Pour la première fois, un film hollywoodien destiné au grand public américain (en lice pour six oscars, mais essentiellement "techniques") repose sur une distribution entièrement asiatique. On a reproché à Gong Li de surjouer, mais n'est-ce pas justement dans la nature de son personnage, avide de paraître ?

    Une nouvelle fois (après "2046" et "Le secret des poignards volants", notamment), Zhang Ziyi montre l'étendue de son talent, en étant capable de passer d'un personnage enfantin à celui d'une femme en lutte pour maîtriser son destin, et jouant de l'ambiguité de ses relations avec Michelle Yeoh. Divertissement agréable, ce film n'est donc pas un témoignage précis sur l'histoire récente du Japon. Mais rien ne nous empêche alors de voir ou de revoir "Les musiciens de Gion", de Mizoguchi, ou "Zaitochi" de Takeshi Kitano.

    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    zhurricane
    zhurricane

    82 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 septembre 2018
    Ce film est totalement creux, soporifique et manque totalement de passion. Et oui il ne suffit pas de faire de belles images pour faire un bon film, ou alors c'est moi qui suis totalement à côté.
    adicte
    adicte

    58 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2013
    Le roman dont il est adapté est un peu le bouquin que l'on lirait l'été sur une plage, sans trop réfléchir, mais l'univers décrit est néanmoins fascinant. Le film est moins bien que le livre, moins dense mais plutôt réussi. Il est un peu trop académique à mon goût et les personnages sont un poil trop lisses, à part le personnage de Gong Li qui, elle, s'en sort avec le rôle le plus caractériel. Les scènes clés ont été préservées et les acteurs s'en sortent pas mal. Même se le tout manque de profondeur, je le conseille pour l'histoire assez originale et pour l'esthétique qui reste très belle.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 juin 2018
    En étant à fond pour la culture de l’Asie de l’Est, j’ai regardé un splendide visuel et musical du Japon, l’incohérence de ces actrices d’origine chinoise pour joués des japonaises, je ne peux y penser à la grande influence de la culture des Tang sur cette civilisation, dont les Geishas. L’inconvénient de la réalisation est de décrire ces dames de compagnie dans les salons de thé du vieux Japon assimilé à la prostitution dans l’exotisme des occidentaux, le scénario est adapté d’un roman d’Arthur Golden qui s’est basé sur les mémoires de l’une d’entre elle. Les belles actrices costumées et délicates sont à retenir, Michelle Yeoh, Zhang Ziyi, Gong Li tient un rôle cliché, la vilaine jalouse qui ne peut pas blairer la jeune et jolie arrivante, une rivale dans ce monde impitoyable pour la course au charme de beauté qui fait tourné la tête des hommes.
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 février 2023
    Je ne l avais pas revu depuis la salle de cinéma. Rien à dire sur la réalisation de Rob Marshall réussie et très élégante. Le plus intéressant est l apprentissage de cette jeune fille et la compétition dans ce milieu si particulier. Une perte de rythme dans la deuxième partie du film mais le tout fait un bon film .
    Anonyme M
    Anonyme M

    61 abonnés 1 655 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 janvier 2022
    incroyable film. plein japon d'il y a au moins 200 ans, le film raconte parfaitement le mode de vie d'époque ainci que ces nombreuses tradition. ont suit alors une petite fille voué a devennir une geisha (sorte de jolie fille japonnaise servante). le film devient alors rapidement un doccumentaire grandeur nature avec des acteur et actrices de tallent, des tennues et coiffures d'époque magnifique, les maisons d'époque. une incroyable histoire prennante.
    GodMonsters
    GodMonsters

    1 295 abonnés 2 645 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mai 2012
    Une bonne surprise ! 'Mémoires d'une geisha' est un film prenant, avec un bon dénouement, de superbes décors, un casting convaincant, et une bonne réalisation, ect ! C'est surtout visuellement que j'ai apprécié. Dommage qu'il soit un peu long en raison d'un manque de rythme (il y a quelques longueurs), et que quelques clichés viennent handicaper le long-métrage... néanmoins, ça reste une bonne surprise. A voir au moins une fois !
    Sylvain P
    Sylvain P

    335 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 août 2010
    Guimauve et peu véridique mais très beau visuellement, sont les adjectifs qui peuvent le mieux décrire cette longue fresque non dénuée de charme mais vraiment trop hollywoodienne.
    Ricco92
    Ricco92

    223 abonnés 2 148 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 août 2013
    Un beau livre d'image et rien de plus. Mémoires d'une geisha possède de belles images et permet de montrer au public occidental certains aspects de la vie que pouvait avoir une geisha. Mais à aucun moment, nous avons l'impression de réellement être imprégné de l'ambiance japonaise. On a l'impression que les personnages se comportent plus comme des occidentaux que comme des japonais : on ressent que c'est un film fait par des occidentaux et non par des japonais. Au passage, il est surprenant (quand on sait combien les chinois et les japonais se haïssent) que les trois actrices principales soient chinoises et non japonaises (mais elles sont connues en occident contrairement aux actrices japonaises). Cette absence d'implication du spectateur créer un peu d'ennui chez le spectateur. Peut-être serait-il intéressant de voir une adaptation de ce même roman réalisée cette fois par une équipe entièrement japonaise ?
    elisa2102
    elisa2102

    139 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2011
    "Mémoires d'une Geisha" est sans conteste un chef d'oeuvre, qui nous emmène dans un autre monde, une autre civilisation, et qui nous montre une autre culture. La mise en scène est parfaite, les actrices excellentes dans leur rôle respectif, surtout Zhang Ziyi qui joue "Sayuri". Pas mal d'émotion, j'ai mis un peu de temps à rentrer dans le film mais une fois que c'est fait, on profite pleinement des images et de l'histoire. A découvrir !
    Jérôme H
    Jérôme H

    169 abonnés 2 295 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 juin 2008
    Un film à fleur de peau qui se contente uniquement de suivre la vie dévoué et planifié de cette femme de part son parcours et ses interrogation. Aucun jugement n'est porté et cela pour le bien du spectateur qui ainsi porter son propre avis sur la condition de cette jeune fille.
    Les images et l'actrices sont très belle mais le récit un peu trop long.
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 septembre 2014
    Le roman de l'écrivain américain contemporain Arthur Golden à propos d'une geisha japonaise des années 1930 avait déjà tout du non-sens artistique. Comment un homme pourrait-il saisir les errements intimes d'une femme avec précision quand ces errements sont si liés à un rapport à la chair qu'un homme ne connaîtra jamais, a fortiori quand cette femme vient d'une époque et d'une culture étrangère à la sienne ? D'ailleurs, si on pourrait rétorquer que "Geisha" fut écrit à partir du témoignage d'une réelle geiko, celle-ci préféra réécrire ses mémoires pour sanctionner les infidélités de Golden vis à vis de la réalité de sa profession. Voilà qui en dit long sur l'incohérence du projet, ou plutôt sur sa vocation purement occidentale, les lecteurs américains l'ayant d'ailleurs consacré en best-seller. Nécessairement, devait donc suivre une adaptation, mais même le nom du grand Spielberg, qui s'intéressa au sujet avant de laisser la réalisation à son ami Rob Marshall, ne pouvait totalement rallumer la flamme. Le pire est que le film creuse encore la tombe déjà bien déblayée par le roman en castant trois actrices chinoises dans les rôles principaux, ce qui lui vaudra la censure pure et simple en Chine et un boy-cott général dans les salles nippones. Heureusement, je ne connais pas suffisamment les cultures orientales pour en avoir été dégoûté, et les trois noms choisis ont la chance de désigner trois actrices talentueuses et d'une sensualité débordante (Gong Li, Michelle Yeoh, et surtout Zhang Ziyi, ensorcelante). Malheureusement, on sent malgré tout le côté bâtard de cette oeuvre qui manque de pureté véritable, d'aisance et de précision au moment de décanter la substance émotionnelle du sujet. Certes, l'amour est un sentiment universel, mais alors pourquoi choisir pour son étude un sujet si ancré dans un mode de vie spécifique ? Ou plutôt, pourquoi ne pas laisser le faire ceux qui ont en main toutes les données de l'algorithme, toutes les pièces du puzzle, toute la sensibilité d'esprit dessinée pour s'approprier le propos ? Voilà ce que je regrette quelque peu, ne pas avoir vu un réalisateur japonais s'emparer de ce thème. D'autant plus que le cinéma américain, en constante recherche d'ampleur, ne semble pas miscible de façon évidente avec la retenue et l'étiquette propre aux cultures sino-japonaises. Certes, ça marchait dans Le dernier samouraï, encore aujourd'hui mon film préféré (oui oui !) mais surtout parce que la raison d'être du film de Zwick se trouvait justement être la découverte de l'univers des samouraïs par un occidental. Ici, on aurait au moins pu espérer que le sens du romanesque d'Hollywood compense cette balle tirée dans le pied. C'est le cas, mais pas totalement, car le souffle si bien développé par le cinéma d'outre-atlantique ne peut prendre à cent pour cent sur cette histoire un peu lisse, dont on sent que les thèmes, pas vraiment maîtrisés, ne peuvent être creusés davantage. Bien sûr, la beauté plastique de Memoirs of a Geisha ne laisse pas place au doute (trois oscars à la clé, quand même !), mais l'achèvement photographique du produit manque lui aussi d'une vraie raison d'être, d'une substance sur laquelle se poser. Les rues de Kyoto, rendues plaisantes, oniriques, ne semblent pourtant que servir d'accroche aux yeux du spectateur occidental. Si je ne nuançais pas mon constat, je vous dirais ceci : Memoirs of a geisha est un joli tableau ; soulevez-le et il n'y a rien. Mais monsieur Rob Marshall, ceci n'est pas de la peinture, c'est du cinéma. Un peu creux, pas assez brut, trop poli et trop mensonger, Memoirs of a geisha manque aussi de mystère. Mais il reste, en dépit de ces nombreux reproches, un divertissement qui jouit de la maîtrise d'une industrie rodée comme pas deux, ainsi que du talent de ses actrices et quelques grammes de beauté évanescente. Des mémoires quand même pas tout à fait mémorables (cette conclusion non plus, je sais).
    Alexis D.
    Alexis D.

    105 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2020
    "Mémoires d'une geisha" (2005) est une adaptation tout simplement éblouissante du best-seller d'Arthur Golden. C'est une plongée fascinante et intemporelle dans le Japon des années 30, celui où les geisha ensorcelaient les hommes les plus puissants de la planète avec leurs nombreux dons. D'une élégance rare, d'une beauté renversante et d'une distinction discrète, les geisha étaient prisonnières de leur condition. Elles pouvaient séduire, mais pas aimer. Et le mystère qui se cachaient derrière leurs yeux expressifs restait entier... Le film de Rob Marshall cède certes au cahier des charges hollywoodien (ton mélodramatique appuyé et vision occidentale), mais il possède un tel pouvoir pour subjuguer et transporter ailleurs qu'on n'en a que faire. Marshall compose des images incroyables dans l'aboutissement de leur esthétique : un cerisier en été, des kimonos de soie qui volent, des visages peinturlurés, la cérémonie du thé... Tout est d'une perfection absolue, apaisante. On y suit le parcours bouleversant de la petite Chiyo, enlevée à ses parents, et qui finira par devenir Sayuri, la geisha la plus convoitée de Kyoto, non sans aimer en secret un homme qu'elle ne peut atteindre. Rob Marshall arrive à faire à la fois un film hollywoodien et un film asiatique, c'est en cela un véritable exploit et la marque d'un très grand réalisateur. Comme le cinéma asiatique sait très bien le faire, il met en valeur et sublime les actrices. Hormis le toujours parfait Ken Watanabe, ce sont trois fabuleuses et sublimes actrices asiatiques, parmi les plus grandes et les plus belles qui sont sublimées dans ce chef d'œuvre inspiré par une histoire vraie : Michelle Yeoh, véritable rayon de lumière et protectrice, Gong Li en Geisha jalouse, méchante, vengeresse, et toujours sublimement belle et bien sûr Zhang Ziyi, rayon de lumière charismatique, talentueuse, forte et fragile, à la beauté si subtile. Le film est sublime et ne serait rien sans ce qui lui a valu 3 Oscars, la photo, les costumes et les décors dans une fabuleuse et féérique reconstitution d'époque, esthétiquement formidable et envoûtante. Les puristes trouveront ce film trop hollywoodien. J'ai été fasciné, happé par cette beauté omniprésente, cette ambiance si réaliste et ciselée par une recherche esthétique permanente. Un très grand film, une grande émotion et un écrin pour les actrices. Un véritable chef d'œuvre, grandiose et sublime
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top