Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si l’ensemble échappe au ridicule, c’est grâce à sa performance brillante mettant en avant le côté écorché vif d’un personnage profondément attendrissant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
De telles propositions, maîtres même dans leurs excès, qui offrent leur coeur au risque qu'on le brise, sont rares. Chérissons-les tant qu'elles existent encore.
Le Parisien
par Catherine Balle
Ponctué de quelques chansons et de danses magnifiques, « Cyrano » est un film virevoltant, porté par un Dinklage habité et des décors et costumes somptueux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
La pièce de Rostand revisitée en comédie musicale a droit à sa version cinéma : la mise en scène et l’investissement des acteurs transcendent des chansons un peu sages.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Public
par Sarah Lévy-Laithier
Cette interprétation libre de la pièce de Edmond Rostand est rafraîchissante et permet une nouvelle lecture de l'oeuvre.
Voici
par Daniel Blois
Une vraie belle adaptation, généreuse, romantique et dénuée de cynisme.
Culturopoing.com
par Thibault Vicq
Malgré ses défauts, le film touche par son flamboyant premier degré, son ode à l’amour absolu, lié à la littérature, avec cette base musicale qui ne cherche pas à aller au-delà de l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par La rédaction
Cyrano est baigné d'une force expérimentale qui semble compenser pour le manque de courage de la concurrence, quitte à parfois se planter. Mais entre sa musique entêtante, ses chorégraphies inspirées et son final tétanisant au coeur de la guerre, on préfère forcément voir le verre à moitié plein.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Albane Harmange
Si les chansons de The National tiennent la route, Peter Dinklage peine à convaincre en Cyrano.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
L’univers visuel outrancier abrite une comédie musicale et une relecture audacieuse et volontiers inclusive du classique.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
A l’intérieur d’univers parfaitement ouvragés, il y a toujours un moment où l’élégance d’un mouvement de caméra arrache le film à son académisme de principe.
Positif
par Lorenzo Codelli
Tout est si beau, trop beau, qu’on se demande : pourquoi filmer à nouveau une histoire si célèbre sans avoir quoi que ce soit de nouveau à dire ?
Cahiers du Cinéma
par Lucile Commeaux
La séquence d’ouverture, virtuose, déploie comme on ouvre une boîte gigogne décors et costumes multicolores, faisant éclore la scène canonique où Cyrano fait montre de sa verve et de son agilité à l’épée. Mais la suite se perd en infligeant des danses et des chansons importées d’une comédie musicale dont le film est l’adaptation au spectateur déjà étourdi par le faste des artifices théâtraux.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Nulle jouissance du texte ici, d'autant plus que, sans l’apport des alexandrins saillants, l’imagerie de ce drame romantique s’enlise dans le grotesque et la mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Frédéric Strauss
De temps en temps, l’étrange mayonnaise prend. Mais, transformé en comédie romantique de luxe, ce Cyrano se banalise grandement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par François Forestier
Joe Wright, réalisateur honorable des « Heures sombres », s’est reconverti dans le kitsch-pompier-gnangnan.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Joe Wright met en scène sans imagination les faits et gestes de son Cyrano dans une adaptation de comédie musicale et signe un film pompier qui ne convaincra ni les puristes ni les amateurs d'ovnis.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film peut s’attirer une certaine sympathie facile par le kitsch de sa direction artistique, mais cède au fond à ce qui demeure souvent le problème des adaptations hollywoodiennes de classiques de la littérature française : un excès de sucre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Cédric Page
Derrière la caméra, Joe Wright déploie ce goût du baroque ostentatoire et tourbillonnant qui animait déjà son Anna Karenine, mais ne parvient pas à trouver le bon équilibre entre ses désirs de romantisme fiévreux, de fantaisie historique primesautière et d’opéra pop et postmoderne.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Si l’ensemble échappe au ridicule, c’est grâce à sa performance brillante mettant en avant le côté écorché vif d’un personnage profondément attendrissant.
CinemaTeaser
De telles propositions, maîtres même dans leurs excès, qui offrent leur coeur au risque qu'on le brise, sont rares. Chérissons-les tant qu'elles existent encore.
Le Parisien
Ponctué de quelques chansons et de danses magnifiques, « Cyrano » est un film virevoltant, porté par un Dinklage habité et des décors et costumes somptueux.
Les Fiches du Cinéma
La pièce de Rostand revisitée en comédie musicale a droit à sa version cinéma : la mise en scène et l’investissement des acteurs transcendent des chansons un peu sages.
Public
Cette interprétation libre de la pièce de Edmond Rostand est rafraîchissante et permet une nouvelle lecture de l'oeuvre.
Voici
Une vraie belle adaptation, généreuse, romantique et dénuée de cynisme.
Culturopoing.com
Malgré ses défauts, le film touche par son flamboyant premier degré, son ode à l’amour absolu, lié à la littérature, avec cette base musicale qui ne cherche pas à aller au-delà de l’écran.
Ecran Large
Cyrano est baigné d'une force expérimentale qui semble compenser pour le manque de courage de la concurrence, quitte à parfois se planter. Mais entre sa musique entêtante, ses chorégraphies inspirées et son final tétanisant au coeur de la guerre, on préfère forcément voir le verre à moitié plein.
Le Figaro
Si les chansons de The National tiennent la route, Peter Dinklage peine à convaincre en Cyrano.
Le Journal du Dimanche
L’univers visuel outrancier abrite une comédie musicale et une relecture audacieuse et volontiers inclusive du classique.
Le Monde
A l’intérieur d’univers parfaitement ouvragés, il y a toujours un moment où l’élégance d’un mouvement de caméra arrache le film à son académisme de principe.
Positif
Tout est si beau, trop beau, qu’on se demande : pourquoi filmer à nouveau une histoire si célèbre sans avoir quoi que ce soit de nouveau à dire ?
Cahiers du Cinéma
La séquence d’ouverture, virtuose, déploie comme on ouvre une boîte gigogne décors et costumes multicolores, faisant éclore la scène canonique où Cyrano fait montre de sa verve et de son agilité à l’épée. Mais la suite se perd en infligeant des danses et des chansons importées d’une comédie musicale dont le film est l’adaptation au spectateur déjà étourdi par le faste des artifices théâtraux.
Critikat.com
Nulle jouissance du texte ici, d'autant plus que, sans l’apport des alexandrins saillants, l’imagerie de ce drame romantique s’enlise dans le grotesque et la mièvrerie.
Télérama
De temps en temps, l’étrange mayonnaise prend. Mais, transformé en comédie romantique de luxe, ce Cyrano se banalise grandement.
L'Obs
Joe Wright, réalisateur honorable des « Heures sombres », s’est reconverti dans le kitsch-pompier-gnangnan.
Les Echos
Joe Wright met en scène sans imagination les faits et gestes de son Cyrano dans une adaptation de comédie musicale et signe un film pompier qui ne convaincra ni les puristes ni les amateurs d'ovnis.
Les Inrockuptibles
Le film peut s’attirer une certaine sympathie facile par le kitsch de sa direction artistique, mais cède au fond à ce qui demeure souvent le problème des adaptations hollywoodiennes de classiques de la littérature française : un excès de sucre.
Première
Derrière la caméra, Joe Wright déploie ce goût du baroque ostentatoire et tourbillonnant qui animait déjà son Anna Karenine, mais ne parvient pas à trouver le bon équilibre entre ses désirs de romantisme fiévreux, de fantaisie historique primesautière et d’opéra pop et postmoderne.