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(...) il y a un désir de film, follement ambitieux, et dont on devine qu'il tient d'autant plus à coeur à sa jeune réalisatrice qu'il est inspiré par l'histoire de sa propre famille. Et un film déséquilibré, où sont loin de s'accomplir tous les espoirs dont il était porteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pour cette évocation de l'Algérie coloniale des années 1900, Amalia Escriva additionne, a priori, les atouts (...) Manque, hélas, la seule chose qui ne dépende pas seulement des intentions : l'incarnation, le souffle, la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) la tentation de paraître intelligent semble avoir été trop grande, et comme la réalisatrice n'est pas Orson Welles et ne manie pas avec autant de brio les paradoxes temporels de son récit, ce portrait croisé de trois femmes à partir d'une seule devient vite abscons et languissant
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
(...) il y a un désir de film, follement ambitieux, et dont on devine qu'il tient d'autant plus à coeur à sa jeune réalisatrice qu'il est inspiré par l'histoire de sa propre famille. Et un film déséquilibré, où sont loin de s'accomplir tous les espoirs dont il était porteur.
Le Parisien
Intelligent, souvent touchant, ce film est malheureusement trop long et ennuyeux.
Première
(...) si certains plans fixes sur les comédiens sont très élégamment composés, les méandres du récit épuisent rapidement les résistances.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Pour cette évocation de l'Algérie coloniale des années 1900, Amalia Escriva additionne, a priori, les atouts (...) Manque, hélas, la seule chose qui ne dépende pas seulement des intentions : l'incarnation, le souffle, la vie.
Aden
(...) la tentation de paraître intelligent semble avoir été trop grande, et comme la réalisatrice n'est pas Orson Welles et ne manie pas avec autant de brio les paradoxes temporels de son récit, ce portrait croisé de trois femmes à partir d'une seule devient vite abscons et languissant
L'Obs
Le montage à rebours, inutile, complique encore une intrigue psychologique passablement tordue.
Les Inrockuptibles
(...) un film qui aurait besoin d'éclats, de dérapages de lâcher prise, d'une grosse faute de goût, pour vraiment vivre.
MCinéma.com
Tant de talents gâchés fait peine à voir.
Zurban
Un film austère que le choix d'un scénario "à rebours" (...) affaiblit un peu.