Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Philippe Lacôte, auteur de documentaires (« les Routes de l’esclavage »), en tire une ode à plusieurs voix, originale et superbe, comme un mystère du Moyen Age, version Mama Africa.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Parallèlement à cette prise d’ampleur de la parole de Roman, le récit gagne en puissance et témoigne de plus en plus de sa capacité à rendre son souffle à la vie asséchée des détenus.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmé au plus près des hommes dans un ballet des corps virtuose, ce second long métrage de Philippe Lacôte, nouvelle voie prometteuse du cinéma africain, relève autant de la performance théâtrale que du réalisme documentaire. Une réussite.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Impressionnant dans sa reconstitution de la prison, intriguant dans sa manière de basculer par moments dans le fantastique à travers l’histoire que conte le jeune prisonnier, « la Nuit des rois » pêche par moments à cause de ce mélange des genres, qui peut égarer le spectateur en route.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mais il manque à ce mariage de l’allégorie politique et de l’envolée poétique un centre de gravité clair. On reste indifférent au sort de Roman comme à ceux des conspirateurs.
La mise en scène d’une puissance foudroyante et le scénario formidablement structuré, provoquent le vertige. Ici la tragédie classique rencontre le fantastique, le récit biblique, le documentaire...
La critique complète est disponible sur le site Première
Une direction d’acteurs hésitante et une mise en scène en apesanteur (plans à l’épaule ou au steadycam qui semblent ne jamais vraiment savoir où commencer ni finir) ne lui permettent aucune véritable précision quant à la topographie du lieu et des systèmes de pouvoir, tandis que le récit déroulé par Roman, régulièrement entrecoupé de séquences illustratives, ne trouve pas de force propre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Si La nuit des rois est avant tout l’occasion de rendre hommage au chant et aux danses ivoiriens, la confusion du scénario et de la mise en scène nuit à la teneur du récit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Un méga-récit pourtant très ramassé, où le réalisme magique ouest-africain rappelle la puissance de l’imagine. Bluffant.
L'Obs
Philippe Lacôte, auteur de documentaires (« les Routes de l’esclavage »), en tire une ode à plusieurs voix, originale et superbe, comme un mystère du Moyen Age, version Mama Africa.
Le Journal du Dimanche
On se laisse porter, ou pas, par le lyrisme extravagant et le ballet fascinant de cette fresque carcérale unique.
Télérama
Entre réalisme cru et fantastique, la magie opère.
Cahiers du Cinéma
Mettant à nu l'espace carcéral comme théâtre permanent, La Nuit des rois touche dans ces excès à une forme de folie pure, inquiétante et sombre.
Critikat.com
Parallèlement à cette prise d’ampleur de la parole de Roman, le récit gagne en puissance et témoigne de plus en plus de sa capacité à rendre son souffle à la vie asséchée des détenus.
La Croix
Filmé au plus près des hommes dans un ballet des corps virtuose, ce second long métrage de Philippe Lacôte, nouvelle voie prometteuse du cinéma africain, relève autant de la performance théâtrale que du réalisme documentaire. Une réussite.
Le Monde
Le film surprend dans son esthétique de beauté délabrée, autant qu'il est inattendu dans son approche.
Le Parisien
Impressionnant dans sa reconstitution de la prison, intriguant dans sa manière de basculer par moments dans le fantastique à travers l’histoire que conte le jeune prisonnier, « la Nuit des rois » pêche par moments à cause de ce mélange des genres, qui peut égarer le spectateur en route.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation par Philippe Lacôte du mythe de Shéhérazade en milieu carcéral, quoiqu’énigmatique, captive par son originalité et sa maîtrise.
Positif
Mais il manque à ce mariage de l’allégorie politique et de l’envolée poétique un centre de gravité clair. On reste indifférent au sort de Roman comme à ceux des conspirateurs.
Première
La mise en scène d’une puissance foudroyante et le scénario formidablement structuré, provoquent le vertige. Ici la tragédie classique rencontre le fantastique, le récit biblique, le documentaire...
Libération
Une direction d’acteurs hésitante et une mise en scène en apesanteur (plans à l’épaule ou au steadycam qui semblent ne jamais vraiment savoir où commencer ni finir) ne lui permettent aucune véritable précision quant à la topographie du lieu et des systèmes de pouvoir, tandis que le récit déroulé par Roman, régulièrement entrecoupé de séquences illustratives, ne trouve pas de force propre.
aVoir-aLire.com
Si La nuit des rois est avant tout l’occasion de rendre hommage au chant et aux danses ivoiriens, la confusion du scénario et de la mise en scène nuit à la teneur du récit.