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Vinz1
180 abonnés
2 435 critiques
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3,0
Publiée le 13 septembre 2021
Ici, l'ex espion de la CIA protégeant sa fille rencontre les parents de son futur gendre. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce couple est complétement différent du sien, ce qui amènera, encore une fois, de superbes scènes cocasses entre ces deux familles opposées car l'une est exubérante et libérée sexuellement alors que l'autre est plus timorée ! Les acteurs sont toujours aussi bons auxquels on ajoutera un jubilatoire Dustin Hoffman. Même si l'effet de surprise est moindre, on suit toujours avec plaisir les aventures des Byrnes et Focker !
Meet the Parents (2000) et Meet the Fockers (2004) fonctionnent en diptyque, tant les deux films de Jay Roach se répondent l’un à l’autre en épousant une structure inversée et en partageant une série de sketchs qui se rejouent à l’identique : le match de volley mute en match de baseball dans le jardin avec, à la clé, un même accident, un parent dispose de dons pour dévoiler les secrets et faire éclater la vérité, le voyage en avion commence mal puis devient idéal, etc. Ainsi, là où le premier opus adopte la froideur chirurgicale du beau-père Jack, disséquant sa lutte des classes par le biais du calvaire d’un étranger contraint de s’intégrer dans un cercle – en l’occurrence, ledit « cercle de confiance » –, le second épouse l’humanité débridée et chaleureuse de Bernie, sautant de scandale en scandale, multipliant les sujets tabous. Le premier rigidifie Gaylord, le second pose la question de sa dénaturation au contact des Byrnes, puisque le fils éprouve désormais une gêne à voir ses parents vivre librement au point qu’il essaie de les déguiser. Cette tendance au travestissement des siens s’observait déjà chez Pamela qui brossait le portrait d’une famille idéale pour mieux cacher à son petit-ami la paranoïa persécutrice d’un père, le talent et la richesse d’un ancien copain, le mépris et l’hypocrisie d’un milieu. Roach oppose deux modèles d’éducation et deux modes de vie en les séparant sur le plan symbolique – le chat dont il faut mériter l’affection versus le chien en rut, le serpent dans la cage versus le serpent déchaîné, l’entourage snob versus la famille nombreuse, l’éloge de la victoire versus le plaisir d’avoir simplement participé – et sur le plan géographique : Long Island dans l’État de New York pour les Byrnes, au cœur de la modernité, contre Miami, ses hectares et ses palmiers pour les Fockers. Se dessine alors une cartographie du cœur humain qui décalque l’ancrage topographique : la maison victorienne dans un quartier huppé renvoie à la rigueur militaire de Jack et aux règles d’apparence qui régissent son cercle ; le domaine tropical est à l’image de l’amour brûlant que porte Bernie à son entourage et à l’existence tout entière. Les deux acteurs qui les interprètent, à savoir Robert de Niro et Dustin Hoffmann, trouvent là des rôles en or qu’ils campent avec talent, drôlerie et authenticité. Voilà deux comédies alertes et intelligentes, mises en scène sans fulgurances ni partis pris artistiques notables, qui choisissent de tout miser sur leurs personnages ainsi que sur le décalage burlesque – dans la mesure où des sujets hauts sont traités avec lourdeurs voire vulgarités. Un diptyque réussi, porté par la partition et les chansons originales de Randy Newman.
Ben Stiller retrouve son rôle de Greg Focker (Furniker en VF) et ses difficultés à communiquer avec son beau-père. Il faut dire que ses parents excentriques (Dustin Hoffman et Barbara Streisand) ne vont pas aider à améliorer les relations intra-familiales. Les gags s'enchainent dans la continuité du premier, dans le même style parfois sans finesse parfois un peu absurdes. Assez divertissant mais un poil en dessous de son prédécesseur.
D’ordinaire, les suites ne sont pas des réussites, ici, il n’en est rien. Le comique repose en grande partie sur le duo Barbra Streisand Dustin Hoffman très drôles spoiler: en grand parents babas cool portés sur le sexe , en total contraste avec le personnage rigide de Jack interprété par De Niro, ce qui accentue la gêne déjà très présente chez le personnage principal de Greg et donne ainsi lieux à des situations bien plus marrantes que dans le premier film.
Après avoir à peu près convaincu son futur beau-père, il faut que le gendre putatif présente ses parents. Quand les parent sont des semi-hippies évidemment gauchistes incarnés par Dustin Hoffman et Bette Midler on se doute que la rencontre avec un beau-père ex de la CIA, traditionnaliste et surement de droite sera quelque chose. Ce film est plus basé sur la gêne que le précédent DeNiro rigoriste est souvent choqué par les comportements des parents Furniker. C'est réussi mais un peu moins drôle que le précédent.
Ce 2e volet qui met en scène les famille Focker et Burns cette fois ci Greg Focker présente ses parents à la ses beaux parents mais la cohabitation s'annonce différence vue leurs grosse différence de caractère ça sera très compliquer . De Niro toujours aussi crisper , Les parents Focker sont interprété de bonne manière (même si il sont loufoque un peux ) par les Excellent Dustin Hoffman et Baraba Streissand . Cette suite qui ne fait que très peu rire on trouve le film plus agréable mais sincère cette saga n'est pas très drôle pournhne saga comique peut être que le 3e films va relever le niveaux? a voir .
Une suite beaucoup moins réussie que le premier opus. L'effet de surprise n'étant plus là, on reste un peu moins emballé par l'humour et le scénario. On s'y ennuie un peu.
Souvent je suis déçu par la suite d’un bon film. Là, je voulais voir ce que donnait la suite d’un film pas terrible… Et bien, cela donne un film nul car trop c’est trop : trop de lourdeur dans les gags et de chutes prévisibles, trop de mauvais goût, trop de clichés dans les personnages, trop de baisses de rythme et surtout trop de vide dans le scénario. spoiler: Ce qui est paradoxal avec ce film c’est qu’il parle de sexe sans arrêt mais floute les tétons des seins dans une scène où ceux-ci doivent apparaître furtivement , se prétend anti-conformiste mais n’est en fait qu’un blockbuster hollywoodien aux scènes uniformément pré-fabriquées et à la morale pré-formatée. Préférez un vrai film indépendant américain ou d’auteur d’un autre pays que ce film qui se prétend être ce qu’il ne sera jamais.
Anne : Drôle et familial. Excellent Duqtin Hoffman. Arthur : C'etait bien, le mariage a fait flippé mais ça va. Thomas : Ne s'attendait pas à cette suite. Frederic : Suite sympa et familiale
J'ai apprécié ce film qui m'a fait beaucoup rire par moments. Les acteurs sont formidables et entretiennent une ambiance drôle et déjantée tout le long du film. Malheureusement selon moi, ce deuxième volet n'est pas à la hauteur du premier, je ne l'ai pas trouvé aussi hilarant et certains passages m'ont parus un peu longs. J'ai quand même passé un agréable moment.
Naturellement moins d'effets de surprises et les gags quelques peu répétitifs par rapport aux autres volets. On rigole tout de meme quelquefois. Dustin Hoffman apporte tout de meme un vent frais, avec son personnage déluré.
J'avais peur d'assister à une redite du premier opus, mais finalement l'arrivée de Barbra Streisand et Dustin Hoffman ajoute un vent de fraîcheur bienvenue : leur couple est totalement décalé en comparaison de Robert De Niro, toujours aussi renfermé avec sa tête de cochon. Même si la cohabitation est houleuse, tout ce fini bien et cette famille est un bel exemple.
La suite n'apporte pas grand chose au 2. Les parents du personnage principal sont évidemment en opposition de style avec le beau père : soixante huitards, à la sexualité décomplexé. Pour le reste, les gags sont plutôt lourds même si certains feront sourire.
Suite du très réussi "Mon beau père et moi", ce film reprend les mêmes protagonistes en ajoutant la famille de Ben Stiller. On pourra rire quelques fois devant ces parents complètement fous et passionné de sexe joué par les formidables Dustin Hoffman et Barbra Streisand. La rencontre entre une famille foldingue et une famille au code strict (Robert De Niro toujours merveilleux) sera volcanique. Mais la magie est moins efficace que le 1er film. Bref : heureusement que nous n'avons pas ce genre de famille ;)
L'arrivée des beaux-parents devait donner un coup de frais à cette comédie. Au final, cela l'alourdit ! Le père Focker est indigeste. Il s'agite trop au point de nous épuiser. On est en plein dans la surenchère ! Les gags ne fonctionnent pas. L'humour est typiquement américain, autant dire lourd et pas drôle ! Reste la Guigne ! L'ennui ne m'a jamais quitté du début à la fin. Alors est-ce le fait de passer d'un premier volet en VOSTFR à sa suite en VF ? En définitive, "Mon beau-père 2" est une suite banale, au style très US. On tend vers la série de films dont la qualité baisse à chaque fois... On n'est pas loin du nanar, Gay, sors du cercle de confiance !!!