Mon beau-père, mes parents et moi : Critique presse
Mon beau-père, mes parents et moi
Note moyenne
3,1
24 titres de presse
Paris Match
Zurban
Le Figaroscope
Première
Score
Chronic'art.com
Ciné Live
France Soir
L'Express
Le Figaro
Le Point
Les Inrockuptibles
MCinéma.com
Ouest France
Positif
Studio Magazine
TéléCinéObs
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Cinéastes
Elle
Le Monde
Rolling Stone
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Paris Match
par Christine Haas
Une nouvelle série de gags à gog, aussi bêtes et réjouissants que dans le premier volet. (...) Et, si Jay Roach décline à outrance les figures du mauvais goût, c'est pour mieux évoquer toutes les questions taboues. Il est désormais le roi de la comédie sociale et décalée.
Zurban
par Véronique Le Bris
Gags en cascade et sans limite, rythme soutenu... Les scénaristes Jim Herzfeld et John Hamburg ont réussi la prouesse de faire vivre leurs personnages tout en se renouvelant et surtout en intégrant deux nouveaux venus au caractère bien trempé. Le quatuor Stiller-DeNiro-Hoffman-Streisand est aussi inédit qu'enthousiasmant et impose Jay Roach (...) en tête des réalisateurs de comédie.
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Bien sûr, les jeux de mot, les gags sont un peu limite. Mais, grâce à la présence de ces deux-là [Streisand-Hoffman], le film devient follement joyeux.
Première
par Christophe Narbonne
Il y a un effet sample inévitable (...) Situations répétées, certes, mais refignolées, améliorées, comme si Jay Roach visait la perfection comique ultime. Il n'est pas loin d'y parvenir, ce deuxième volet égalant, voire dépassant, l'original en bêtise. (...) Roach ose tout (...), tout comme ses comédiens, la confrontation De Niro-Hoffman retenant évidemment l'attention. On n'est pas déçu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Score
par Marco Ramius
Après une entrée en matière poussive qui laisse présager le pire, le film décolle dès l'entrée en scène de Dustin Hoffman et Barbra Streisand, véritables électrons libres et survoltés (...). Pas une date cinématographique, mais un sacré bon moment.
La critique complète est disponible sur le site Score
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
Un peu comme Shrek 2, autre imperturbable carton Dreamworks, ce produit est tellement programmé pour gagner qu'il en perd sa condition de film. (...) Dustin Hoffman sauve les meubles en baba déjanté et nympho. C'est lui le grand gagnant de l'affaire (...) Complètement informe, le film déborde de tous les côtés, à des années lumières de l'hilarante ligne droite du premier.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Laurent Djian
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
France Soir
par Richard Gianorio
L'humour débile laisse perplexe mais les numéros de cabotinage endiablé du trio De Niro/Hoffman/Streisand enchantent.
L'Express
par Julien Welter
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Patrice Blouin
L'intérêt du film réside dans cette jonction difficile entre deux générations et deux types d'humour (...) Ce n'est ainsi pas un hasard si de nombreux films comiques récents mettent en scène des retrouvailles avec un père disparu (...). Encore faut-il que ces réunions familiales arrivent à s'entendre sur un timing commun. Un peu trop écrasé par le poids de son arbre généalogique, Mon Beau-père, mes parents et moi n'y parvient qu'en ses meilleurs moments.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
Le scénario n'a pas peur d'aller souvent trop loin dans la surenchère. Résultat : on rit beaucoup, mais on grince aussi souvent des dents. (...) Le film ne fait pas dans la finesse, mais la sauce prend si on accepte le postulat de départ. On peut donc rire de tout... sous réserve d'y mettre un peu du sien.
Ouest France
par La Rédaction
On peut être désolé de voir [de prestigieux comédiens] se vautrer dans une farce aux ingrédients réchauffés, et dont la prétendue provocation affichée débouche sur un final des plus politiquement corrects. (...) Mais faut-il se montrer plus royaliste que le roi et faire la fine bouche offusquée ? Au plus haut degré de l'auto-dérision, il n'est pas interdit de se laisser prendre, comme eux, au rire franc et débraillé d'une salle bien pleine.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Positif
par M. Ca.
Barbra Streisand et Dustin Hoffman forment un duo comique qui fonctionne plutôt bien, Hoffman, surtout, s'adonnant avec un plaisir non dissimulé à son péché mignon (...) qui est de tout tourner en dérision (humour juif oblige). En revanche, la plupart des gags sont d'une lourdeur à toute épreuve et les diverses complications de l'intrigue d'un manque d'intérêt constant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par François Forestier
La mise en scène de Jay Roach est purement fonctionnelle, les gags sont souvent assénés mais la combinaison fonctionne. Dustin Hoffman en ex-hippie juif libidineux est génial, et, surprise, Barbra Streisand est tout à fait rigolote. Rien de très original, mais beaucoup de bonne humeur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Moins facile, le film aurait été plus drôle, mais on rit souvent de son "hénaurmité".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Le scénario se déroule sans forcer, puisque les quiproquos s'enchaînent sagement sur le mode zizi-pipi-caca dans ce qui tient du vaudeville bon teint, et les têtes d'affiche cabotinent. Très vite, Mon beau-père, mes parents et moi apparaît pour ce qu'il est : un film de casting judicieusement ficelé pour remplir les salles, sans ambitions parasites.
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Dans le premier, Ben Stiller se laissait persécuter par un beau-père tyrannique et sadique (...). Dans le second, échange standard, c'est le beau-père qui se retrouve persécuté par les parents de Stiller. Statu quo, match nul, film nul (...). La farce tourne à la fable moralisatrice (...).
Cinéastes
par Matthieu Santelli
Un spectacle bien désolant qui emporte dans son naufrage ses formidables et attachants comédiens.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Elle
par Elisabeth Quin
On fait de la politique sans le savoir, car cette suite de Mon Beau-père et moi illustre la fracture idéologique américaine entre conservateurs et libéraux. Robert De Niro, ex de la CIA, psychorigide à souhait, symbolise les premiers. Dustin Hoffman et Barbra Streisand, les seconds. (...) Ce sont des parents aimants dont leur fils a honte, remarque le film. D'ailleurs, ce jeune Gaylord Focker est-il vraiment un homme ? Il est infirmier... ironise le même film, décidément hypocrite.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film de Jay Roach est victime d'un singulier manque d'énergie, les situations y sont laborieuses, l'humour sans surprise, le rythme lymphatique. Tout se traîne jusqu'à une conclusion rassurante et d'un conformisme pesant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Rolling Stone
par La rédaction
Malgré la présence de Dustin Hoffman, on est déçu par ce film poussif et flirtant avec le pipi-caca.
Paris Match
Une nouvelle série de gags à gog, aussi bêtes et réjouissants que dans le premier volet. (...) Et, si Jay Roach décline à outrance les figures du mauvais goût, c'est pour mieux évoquer toutes les questions taboues. Il est désormais le roi de la comédie sociale et décalée.
Zurban
Gags en cascade et sans limite, rythme soutenu... Les scénaristes Jim Herzfeld et John Hamburg ont réussi la prouesse de faire vivre leurs personnages tout en se renouvelant et surtout en intégrant deux nouveaux venus au caractère bien trempé. Le quatuor Stiller-DeNiro-Hoffman-Streisand est aussi inédit qu'enthousiasmant et impose Jay Roach (...) en tête des réalisateurs de comédie.
Le Figaroscope
Bien sûr, les jeux de mot, les gags sont un peu limite. Mais, grâce à la présence de ces deux-là [Streisand-Hoffman], le film devient follement joyeux.
Première
Il y a un effet sample inévitable (...) Situations répétées, certes, mais refignolées, améliorées, comme si Jay Roach visait la perfection comique ultime. Il n'est pas loin d'y parvenir, ce deuxième volet égalant, voire dépassant, l'original en bêtise. (...) Roach ose tout (...), tout comme ses comédiens, la confrontation De Niro-Hoffman retenant évidemment l'attention. On n'est pas déçu.
Score
Après une entrée en matière poussive qui laisse présager le pire, le film décolle dès l'entrée en scène de Dustin Hoffman et Barbra Streisand, véritables électrons libres et survoltés (...). Pas une date cinématographique, mais un sacré bon moment.
Chronic'art.com
Un peu comme Shrek 2, autre imperturbable carton Dreamworks, ce produit est tellement programmé pour gagner qu'il en perd sa condition de film. (...) Dustin Hoffman sauve les meubles en baba déjanté et nympho. C'est lui le grand gagnant de l'affaire (...) Complètement informe, le film déborde de tous les côtés, à des années lumières de l'hilarante ligne droite du premier.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
France Soir
L'humour débile laisse perplexe mais les numéros de cabotinage endiablé du trio De Niro/Hoffman/Streisand enchantent.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
L'intérêt du film réside dans cette jonction difficile entre deux générations et deux types d'humour (...) Ce n'est ainsi pas un hasard si de nombreux films comiques récents mettent en scène des retrouvailles avec un père disparu (...). Encore faut-il que ces réunions familiales arrivent à s'entendre sur un timing commun. Un peu trop écrasé par le poids de son arbre généalogique, Mon Beau-père, mes parents et moi n'y parvient qu'en ses meilleurs moments.
MCinéma.com
Le scénario n'a pas peur d'aller souvent trop loin dans la surenchère. Résultat : on rit beaucoup, mais on grince aussi souvent des dents. (...) Le film ne fait pas dans la finesse, mais la sauce prend si on accepte le postulat de départ. On peut donc rire de tout... sous réserve d'y mettre un peu du sien.
Ouest France
On peut être désolé de voir [de prestigieux comédiens] se vautrer dans une farce aux ingrédients réchauffés, et dont la prétendue provocation affichée débouche sur un final des plus politiquement corrects. (...) Mais faut-il se montrer plus royaliste que le roi et faire la fine bouche offusquée ? Au plus haut degré de l'auto-dérision, il n'est pas interdit de se laisser prendre, comme eux, au rire franc et débraillé d'une salle bien pleine.
Positif
Barbra Streisand et Dustin Hoffman forment un duo comique qui fonctionne plutôt bien, Hoffman, surtout, s'adonnant avec un plaisir non dissimulé à son péché mignon (...) qui est de tout tourner en dérision (humour juif oblige). En revanche, la plupart des gags sont d'une lourdeur à toute épreuve et les diverses complications de l'intrigue d'un manque d'intérêt constant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
La mise en scène de Jay Roach est purement fonctionnelle, les gags sont souvent assénés mais la combinaison fonctionne. Dustin Hoffman en ex-hippie juif libidineux est génial, et, surprise, Barbra Streisand est tout à fait rigolote. Rien de très original, mais beaucoup de bonne humeur.
Télérama
Moins facile, le film aurait été plus drôle, mais on rit souvent de son "hénaurmité".
aVoir-aLire.com
Le scénario se déroule sans forcer, puisque les quiproquos s'enchaînent sagement sur le mode zizi-pipi-caca dans ce qui tient du vaudeville bon teint, et les têtes d'affiche cabotinent. Très vite, Mon beau-père, mes parents et moi apparaît pour ce qu'il est : un film de casting judicieusement ficelé pour remplir les salles, sans ambitions parasites.
Cahiers du Cinéma
Dans le premier, Ben Stiller se laissait persécuter par un beau-père tyrannique et sadique (...). Dans le second, échange standard, c'est le beau-père qui se retrouve persécuté par les parents de Stiller. Statu quo, match nul, film nul (...). La farce tourne à la fable moralisatrice (...).
Cinéastes
Un spectacle bien désolant qui emporte dans son naufrage ses formidables et attachants comédiens.
Elle
On fait de la politique sans le savoir, car cette suite de Mon Beau-père et moi illustre la fracture idéologique américaine entre conservateurs et libéraux. Robert De Niro, ex de la CIA, psychorigide à souhait, symbolise les premiers. Dustin Hoffman et Barbra Streisand, les seconds. (...) Ce sont des parents aimants dont leur fils a honte, remarque le film. D'ailleurs, ce jeune Gaylord Focker est-il vraiment un homme ? Il est infirmier... ironise le même film, décidément hypocrite.
Le Monde
Le film de Jay Roach est victime d'un singulier manque d'énergie, les situations y sont laborieuses, l'humour sans surprise, le rythme lymphatique. Tout se traîne jusqu'à une conclusion rassurante et d'un conformisme pesant.
Rolling Stone
Malgré la présence de Dustin Hoffman, on est déçu par ce film poussif et flirtant avec le pipi-caca.