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Humanity Patriot
1 abonné
21 critiques
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0,5
Publiée le 26 septembre 2022
Scenario inexistent, acteurs non diriges, incoherences.. S'il existait des notes negatives il aurait -2. Du tres tres mauvais "cinema" si on peut encore lui donner ce nom. Passez votre chemin. A eviter absolument!
Avec un sujet aussi poignant et la présence de jeunes comédiens censés procurer de la sincérité, comment peut-on rater un tel film ? C’est pourtant ce qu’a réussi haut la main Mona Achache avec son troisième long-métrage sorti en 2022. De cette histoire dans laquelle six enfants juifs sont cachés dans le château et le parc de Chambord pour éviter la déportation durant la Seconde Guerre mondiale, il n’y a rien à sauver. Camille Cottin ne semble pas concernée par son rôle (du fait d’un manque de direction d’acteurs ?). Les gamins jouent à Koh Lanta dans les cabanes sans développer d’émotions bouleversantes. Même les scènes oniriques avec la faune sauvage restent grotesques. Bref, un véritable naufrage qui fait presque honte à l’Histoire.
Avec son troisième long-métrage, Mona Achache rend hommage à ces enfants qui vivaient cachés sous l’Occupation à travers une histoire qu'elle a écrite grâce à sa grand-mère qui à elle-même était une enfant cachée. L'histoire fictive de "Cœurs vaillants" revient sur le périple de plusieurs enfants qui pour fuir la barbarie nazie sont trimbalés d'une cachette à une autre jusqu'à ce qu'ils trouvent refuge dans une cabane dans les bois. Si les enfants, qui prennent parfois un peu trop les choses à la légère, sont prévenus qu'il ne s'agit pas d'un jeu, cette histoire racontée à leur hauteur manque cruellement de dramaturgie. On oublie malheureusement très rapidement le contexte ainsi que le danger qui les entoure. On suit finalement qu'un groupe d'enfants qui vivent seuls dans les bois et qui tentent de survivre du mieux qu'ils peuvent. Si cette « colonie de vacances » prend par moment des airs d'un camp de survie avec des moments plus tendus, l'ensemble est trop léger et peine à susciter de l'intérêt. Je ne me suis jamais senti concerné par le sort de ces petits, et ce malgré le contexte de l'histoire. Le sujet est intéressant, mais le film beaucoup moins...
Tous les ingrédients semblaient réunis : des enfants juifs arrachés à leurs parents victimes de la rafle du Vel d’Hiv ; une femme dévouée spoiler: qui les aide à passer en zone libre ; le château somptueux de Chambord et sa forêt pour cadre ; et des allemands. Aussi étrange que cela puisse paraître, j’ai sombré dans l’ennui. Un comble !
Ça partait bien avec ces enfants recroquevillés dans des caisses exigües, lesquelles étaient déposées dans un camion. Ça partait bien avec cette caméra qui nous permettait de voir ce qu’entrevoyaient les enfants enfermés dans leur caisse. A travers les quelques interstices des caisses, on devinait leur point de départ, Paris, puis les paysages qui défilaient et enfin la destination : le château de Chambord. Chambord un des refuges pour entreposer les oeuvres d’art retirées du Louvres afin d’échapper à leur spoliation.
Puis, peu à peu le récit s’enlise rapidement dans une vase mouvante (pour reprendre une séquence du film) qui m’aspire dans les profondeurs de l’ennui. Et de l’oubli.
Camille Cottin dans le rôle de Rose n’existe pratiquement pas, elle ne fait que fumer pour traduire une éventuelle inquiétude ; la cigarette étant le surligneur, sait-on jamais si le spectateur n’avait pas compris combien Rose angoissait ! Quant à l’envoyée de Goering (Anne-Lise Heimburger) chargée de voler quelques « collections juives », elle ne sert à rien. Pour une fois que l’exécuteur des basses oeuvres est une femme… La réalisatrice ne lui a pas rendu service tant son rôle est risible et inconsistant. Enfin, les enfants… Entendu, je comprends qu’ils restent avant tout des enfants, la réalisatrice voulait apporter de la légèreté à travers leur insouciance alors qu’ils devraient être déboussolés, apeurés. D’où quelques bêtises qui pour certains spectateurs (comme moi !) passent pour de l’invraisemblance. Une invraisemblance répétée qui écorne la crédibilité du récit. A mon sens, la réalisatrice avait un beau sujet mais elle est complètement passée à côté ; ses personnages ne dégagent aucune émotion, son récit et très superficiel pour ne pas dire artificiel par moments…
Bon déjà la présence de Camille Cottin aaaaaah je peux pas la piffrer...j'ai vu pas mal de ses films et persos je trouvent qu'elle joue mal mais bon heureusement ce n'est pas le personnage principal car ici ce sont les enfants et l'histoire me plaisait. Donc on relate la dernière parti du voyage de ces gosses qui doivent sauver leur peau des nazis. On ce concentre donc sur sur les dernier kilomètres de leur liberté avec son lot de stress avec les nazis qui gravitent autour d'eux. La tension dramatique est présente surtout le fait que ce sont des gosses avec ce qui font leur charme car malgré cette environnement hostile certains passages donnent le sourire mais d'autres forcément beaucoup moins... Ils ont pas trop poussé certaines émotions qui les agitent ou en tous cas sans exagérer les situations et c'est un plus. Après je me répète le film vaut pour les enfants dans ce folie car après les personnages adultes ont été écris à minima, histoire d'en mettre je trouve. NOTE : 6.5/10
3 pour le jeu des enfants, la musique et les cadrages dans la nature. Le chateau étant peu présent. L’allemande est ridicule . La tabagie de Camille Cottin incomprehensible. L’échappée finale ahurissante. Cependant il se degage quelque chose d’inexplicablement fascinant.
Le coeur vaillant de Rose Valland, employée du musée, assure l'intendance ; grâce à ses connaissances en art, elle dresse la liste des œuvres volées et informe la Résistance des allées et venues des nazis. "Elle va prendre des risques, parce que, ces notes, elle va les mettre sur elle, raconte Emmanuelle Polack, historienne. Elle prend sa bicyclette, rentre chez elle, et, le soir, recopie de sa plus belle plume ces informations". En 1944, la France libérée est en liesse. Rose Valland, elle, devient capitaine dans l'armée française et part en Allemagne pour retrouver les tableaux. Sur 100 000 œuvres, 60 000 sont récupérées. Elle a caché sa connaissance de la langue allemande pour ne pas éveiller les soupçons. Une rose porte son nom au Musée Dauphinos de Grenoble.
bof bof bof...Les gosses jouent bien, surtout les 2 plus petits et notamment le garçon, mais zéro émotions, cliché et paumé... Un téléfilm et encore y'a mieux sur le sujet.
Film vraiment intéréssant avec une base enrichissante mais je trouve qu'il manquait légérement d'action et plus de détails sur cette période . J'aurai également aimé que la fin soit moins flou , plus précise ! Mais sinon très mignon et cela permet d'en connaitre un peu sur la situation des juifs cachés .