Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Avalon s'avère être le premier film à épouser idéalement dans sa forme et sa pensée les enjeux soulevés par le thème de la virtualité et l'apparition d'un nouveau type de réalité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Novaplanet.com
par Alex Masson
Cumulé aux prouesses techniques actuelles, Avalon devient un film unique, quelque part entre la froideur plastique et martiale de Matrix et le spleen de Kieslowski, matrice d'un cinéma conférant à l'univers du jeu vidéo une glaçante mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Mais, loin d'être une somme d'abstractions théoriques, Avalon est un film qui parvient à être émouvant. (...) Ainsi, la dernière partie du film, en dépit d'une musique un peu lourde, est la plus touchante du film. Le sort de cette femme, forte et tellement fragile à la fois, nous concerne directement.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
L'inclusion progressive du spectateur dans le film, qui devient un participant du jeu, (...) constitue une volonté de créer un jeu vidéo, d'essence labyrinthique, exploité de manière métaphysique, où le spectateur s'enfonce de plus en plus loin dans des strates narratives en oubliant d'où il vient. En cela, Avalon constitue la tentative la plus aboutie de transposer au cinéma l'esprit du jeu vidéo, la seule qui respecte véritablement, tout au long de son récit, l'interactivité propre au jeu vidéo.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
Mais c'est aussi cela qui fascine : l'absence d'écart entre ce qui, autrefois, relevait de l'animation chez Oshii et le regard qu'il porte, aujourd'hui, sur des vivants. Un tel bloc d'inhumanité fait penser qu'une étape historique vient d'être franchie par ce film : notre monde ne compte plus, il va falloir s'y faire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Oshii réussit son pari de re-création de la réalité (...). Neutres au possible, les acteurs entretiennent également le doute quant à leur réalité mais perdent beaucoup en humanité et en émotion. Le manque d'incarnation du film est à la fois sa qualité et sa limite.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Avalon (...) est vraiment un drôle d'objet, furieusement hybride. Parce qu'il mélange la vie aux jeux vidéos, évidemment, mais aussi les prises de vues réelles aux créations numériques, l'inspiration manga à la chair d'acteurs occidentaux bien vivants, l'archaïque au futuriste. Et peut-être plus encore le spectaculaire à autre chose - poésie, méditation, voire davantage si affinités.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Sébastien Chauvin
Ici l'humanité s'est perdue en route, mais quelque chose comme les vestiges du vivant et de ses habitudes perdure. Oshii, c'est son talent singulier, avance à la manière d'un maître de marionnettes qui, coûte que coûte, entretiendrait le rêve de l'homme devant une invisible assemblée.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Aden
par Philippe Piazzo
Pas facile de s'intéresser vraiment à un récit qui, de par les interrogations qu'il soulève, implique des bases pour la réflexion. Ici, elles se dérobent sans cesse. Le cinéaste est en fait principalement occupé à créer un univers visuel et sonore original et inédit. (...) Les images inspirent ainsi une esthétique de la langueur. N'appartenant à aucun monde référencé, elles accentuent l'indétermination des personnages. Avalon est clairement un film sur l'égarement. Mais à en exploiter uniquement l'esthétique, il perd de sa portée.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Chemin
Avalon démontre, par l'incongru, la difficulté à transposer en cinéma le dispositif du jeu interactif. (...) Car Avalon véhicule mais ne transporte pas.
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) opaque film japonais. (...) les personnages parlent presque en code, ce qui pourrait être drôle si le film était moins long. Cela dit, le travail sur l'image, en noir et blanc sombre et diffus, les effets visuels très particuliers, font tout de même de ce film une intéressante curiosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Avec ce film d'une ambition et d'une témérité un peu folles, le cinéaste ne réussit pourtant qu'à moitié son pari. Avalon est en effet mois séduisant visuellement que son précédent Ghost in the Shell. (...) pour les spectateurs non-initiés, ou ceux trop férus de cybernétique, Avalon pourrait être dur à avaler.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Malheureusement, le film lasse très vite et n'arrive pas à créer un véritable univers fascinant et troublant. Le rythme ne fonctionne pas, et on ne s'intéresse pas véritablement au récit qui s'emmêle très vite. AVALON ne vaut que pour ses performances techniques.
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
Difficile de s'enthousiasmer pour un objet aussi inanimé. On se contentera d'admirer la prouesse technologique.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Stéphane Brisset
Si l'esthétique d'Avalon parvient à nous bluffer en permanence, il n'est pas de même pour son scénario, aussi passionnant qu'une brochure bancaire, et de son interprétation désincarnée.
Chronic'art.com
Avalon s'avère être le premier film à épouser idéalement dans sa forme et sa pensée les enjeux soulevés par le thème de la virtualité et l'apparition d'un nouveau type de réalité.
Novaplanet.com
Cumulé aux prouesses techniques actuelles, Avalon devient un film unique, quelque part entre la froideur plastique et martiale de Matrix et le spleen de Kieslowski, matrice d'un cinéma conférant à l'univers du jeu vidéo une glaçante mélancolie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Fluctuat.net
Mais, loin d'être une somme d'abstractions théoriques, Avalon est un film qui parvient à être émouvant. (...) Ainsi, la dernière partie du film, en dépit d'une musique un peu lourde, est la plus touchante du film. Le sort de cette femme, forte et tellement fragile à la fois, nous concerne directement.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
L'inclusion progressive du spectateur dans le film, qui devient un participant du jeu, (...) constitue une volonté de créer un jeu vidéo, d'essence labyrinthique, exploité de manière métaphysique, où le spectateur s'enfonce de plus en plus loin dans des strates narratives en oubliant d'où il vient. En cela, Avalon constitue la tentative la plus aboutie de transposer au cinéma l'esprit du jeu vidéo, la seule qui respecte véritablement, tout au long de son récit, l'interactivité propre au jeu vidéo.
Libération
Mais c'est aussi cela qui fascine : l'absence d'écart entre ce qui, autrefois, relevait de l'animation chez Oshii et le regard qu'il porte, aujourd'hui, sur des vivants. Un tel bloc d'inhumanité fait penser qu'une étape historique vient d'être franchie par ce film : notre monde ne compte plus, il va falloir s'y faire.
Première
Oshii réussit son pari de re-création de la réalité (...). Neutres au possible, les acteurs entretiennent également le doute quant à leur réalité mais perdent beaucoup en humanité et en émotion. Le manque d'incarnation du film est à la fois sa qualité et sa limite.
Télérama
Avalon (...) est vraiment un drôle d'objet, furieusement hybride. Parce qu'il mélange la vie aux jeux vidéos, évidemment, mais aussi les prises de vues réelles aux créations numériques, l'inspiration manga à la chair d'acteurs occidentaux bien vivants, l'archaïque au futuriste. Et peut-être plus encore le spectaculaire à autre chose - poésie, méditation, voire davantage si affinités.
Urbuz
Ici l'humanité s'est perdue en route, mais quelque chose comme les vestiges du vivant et de ses habitudes perdure. Oshii, c'est son talent singulier, avance à la manière d'un maître de marionnettes qui, coûte que coûte, entretiendrait le rêve de l'homme devant une invisible assemblée.
Aden
Pas facile de s'intéresser vraiment à un récit qui, de par les interrogations qu'il soulève, implique des bases pour la réflexion. Ici, elles se dérobent sans cesse. Le cinéaste est en fait principalement occupé à créer un univers visuel et sonore original et inédit. (...) Les images inspirent ainsi une esthétique de la langueur. N'appartenant à aucun monde référencé, elles accentuent l'indétermination des personnages. Avalon est clairement un film sur l'égarement. Mais à en exploiter uniquement l'esthétique, il perd de sa portée.
Cahiers du Cinéma
Avalon démontre, par l'incongru, la difficulté à transposer en cinéma le dispositif du jeu interactif. (...) Car Avalon véhicule mais ne transporte pas.
L'Humanité
(...) opaque film japonais. (...) les personnages parlent presque en code, ce qui pourrait être drôle si le film était moins long. Cela dit, le travail sur l'image, en noir et blanc sombre et diffus, les effets visuels très particuliers, font tout de même de ce film une intéressante curiosité.
Les Inrockuptibles
Avec ce film d'une ambition et d'une témérité un peu folles, le cinéaste ne réussit pourtant qu'à moitié son pari. Avalon est en effet mois séduisant visuellement que son précédent Ghost in the Shell. (...) pour les spectateurs non-initiés, ou ceux trop férus de cybernétique, Avalon pourrait être dur à avaler.
MCinéma.com
Malheureusement, le film lasse très vite et n'arrive pas à créer un véritable univers fascinant et troublant. Le rythme ne fonctionne pas, et on ne s'intéresse pas véritablement au récit qui s'emmêle très vite. AVALON ne vaut que pour ses performances techniques.
TéléCinéObs
Difficile de s'enthousiasmer pour un objet aussi inanimé. On se contentera d'admirer la prouesse technologique.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Si l'esthétique d'Avalon parvient à nous bluffer en permanence, il n'est pas de même pour son scénario, aussi passionnant qu'une brochure bancaire, et de son interprétation désincarnée.