Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Différence et répétition : Goldmember est une malicieuse comédie deleuzienne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Brazil
par Benoit Cousin
Ajoutez à cela un pré-générique d'anthologie et la prestation épatante de Beyoncé Knowles en Foxxy Cléopatra (...) et vous devriez passer un agréable moment, malgré un scénario-prétexte qui accumule les sketches plus qu'il ne construit une véritable intrigue (...). Une conclusion de saga néanmoins satisfaisante.
Cahiers du Cinéma
par Erwan Higuinen
Dans la famille toujours plus nombreuses du cinéma-karaoké, voici le film-déhanchement le plus brillament séducteur.
Cine Libre
par Romain Le Vern
Toujours plus con et plus fort en matière de déconnade et de pastiches tous azimuts, Mike Myers n´a pas fait les choses à moitié. Tant mieux : son troisième Austin Powers, dans lequel il incarne encore une fois une multitude de personnages, est une comédie euphorisante qui fait rire à tous les degrés. Et bien.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Cinopsis.com
par Benjamin d'Aoust
Bien sûr le manque de structure scénaristique rendra votre siège un peu rugueux par instant. Bien sûr, certaines farces à tiroir vous passeront sous le nez ou au dessus de l'épaule. (...) Il n'empêche, celle-ci pourrait bien un jour être considérée comme une "pièce maîtresse", un chef d'oeuvre... comique et absurde. L'humour "con" n'est jamais aussi bon que quand il est pratiqué par des professionnels et Mike Myers en est un à plus d'un titre.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Bref, aussi politiquement incorrect que possible et mettant un bémol heureux à sa scatologie habituelle, ce troisième volet truffé de pastiches (comme celui du Silence des agneaux) est sans doute le meilleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaroscope
par G. D.
Mises en images par un Jay Roach de plus en plus inspiré, ses élucubrations frisent la perfection. Au lieu de sombrer dans le maxi-mou on touce le maxi-tout.
Le Parisien
par Alain Grasset
(...) ce troisième épisode des aventures d'Austin Powers est un régal pour ceux qui aiment la franche rigolade.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Au premier, deuxième ou énième degré, le James Bond d'opérette fait mouche. Il suffit de se lâcher !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Et si jamais on restait indifférent à la surcharge pondérale de cette énorme farce, entraîné dans la salle par des adolescents ou des enfants soucieux de renouveler leurs blagues pour la prochaine récréation, on pourrait méditer sur le sous-texte de cet étrange scénario, sur cet amas de père et de fils, qui s'aiment et se haïssent avec presque autant de violence que les gangsters des récents Sentiers de la perdition.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Alex Masson
On regrettera pourtant l'aspect fourre-tout de ce qui semble être la boîte à souvenirs de Myers.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Benjamin Braddock
Mais passées ces quinze premières minutes, les choses se gâtent. Le manque d'originalité est flagrant : on a l'impression d'assister à un best-of des deux premiers opus.
Mad Movies
par Stéphane Moïssakis
Si certains gags font particulièrement mouches (...), on aurait finalment aimé que le script s'attarde sur la parodie en elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Ouirock.com
par Pascale Lagahe
Mais cela ne suffit pas à faire de ce troisième volet (et on l'espère le dernier) une comédie hilarante et palpitante. L'ennui est vite de mise et les répliques vaseuses (...) finissent par devenir très agaçantes.
Première
par Christian Jauberty
Heureusement il y a des gags à profusion (...) dont certains sont indéniablement percutants. Pas assez toutefois pour oublier que ce qui avait commencé avec un petit film original et culotté est devenu une lourde machine à fabriquer des dollars et de l'autosatisfaction.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Reste un générique hilarant qui nous fait d'autant plus regretter la suite des événements.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Claire Vassé
On aime ou on déteste, mais la première scène pourrait bien devenir d'anthologie.
Libération
par Bruno Bayon
Drôle de corps désormais soufflé, à l'image rose rosbif d'un Woody Allen Elton-Johnisé, Austin Myers a beau déployer tout son talent de simili-follasse sur platform-boots à moumoute, le spectateur se tirailler les zygomatiques selon la méthode Coué chère à Alain ("C'est du bonheur si tu veux, que le corbeau t'annonce"), en vain.. "000, permis de tuer" d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
Différence et répétition : Goldmember est une malicieuse comédie deleuzienne.
Brazil
Ajoutez à cela un pré-générique d'anthologie et la prestation épatante de Beyoncé Knowles en Foxxy Cléopatra (...) et vous devriez passer un agréable moment, malgré un scénario-prétexte qui accumule les sketches plus qu'il ne construit une véritable intrigue (...). Une conclusion de saga néanmoins satisfaisante.
Cahiers du Cinéma
Dans la famille toujours plus nombreuses du cinéma-karaoké, voici le film-déhanchement le plus brillament séducteur.
Cine Libre
Toujours plus con et plus fort en matière de déconnade et de pastiches tous azimuts, Mike Myers n´a pas fait les choses à moitié. Tant mieux : son troisième Austin Powers, dans lequel il incarne encore une fois une multitude de personnages, est une comédie euphorisante qui fait rire à tous les degrés. Et bien.
Cinopsis.com
Bien sûr le manque de structure scénaristique rendra votre siège un peu rugueux par instant. Bien sûr, certaines farces à tiroir vous passeront sous le nez ou au dessus de l'épaule. (...) Il n'empêche, celle-ci pourrait bien un jour être considérée comme une "pièce maîtresse", un chef d'oeuvre... comique et absurde. L'humour "con" n'est jamais aussi bon que quand il est pratiqué par des professionnels et Mike Myers en est un à plus d'un titre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Bref, aussi politiquement incorrect que possible et mettant un bémol heureux à sa scatologie habituelle, ce troisième volet truffé de pastiches (comme celui du Silence des agneaux) est sans doute le meilleur.
Le Figaroscope
Mises en images par un Jay Roach de plus en plus inspiré, ses élucubrations frisent la perfection. Au lieu de sombrer dans le maxi-mou on touce le maxi-tout.
Le Parisien
(...) ce troisième épisode des aventures d'Austin Powers est un régal pour ceux qui aiment la franche rigolade.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Au premier, deuxième ou énième degré, le James Bond d'opérette fait mouche. Il suffit de se lâcher !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Et si jamais on restait indifférent à la surcharge pondérale de cette énorme farce, entraîné dans la salle par des adolescents ou des enfants soucieux de renouveler leurs blagues pour la prochaine récréation, on pourrait méditer sur le sous-texte de cet étrange scénario, sur cet amas de père et de fils, qui s'aiment et se haïssent avec presque autant de violence que les gangsters des récents Sentiers de la perdition.
Les Inrockuptibles
On regrettera pourtant l'aspect fourre-tout de ce qui semble être la boîte à souvenirs de Myers.
MCinéma.com
Mais passées ces quinze premières minutes, les choses se gâtent. Le manque d'originalité est flagrant : on a l'impression d'assister à un best-of des deux premiers opus.
Mad Movies
Si certains gags font particulièrement mouches (...), on aurait finalment aimé que le script s'attarde sur la parodie en elle-même.
Ouirock.com
Mais cela ne suffit pas à faire de ce troisième volet (et on l'espère le dernier) une comédie hilarante et palpitante. L'ennui est vite de mise et les répliques vaseuses (...) finissent par devenir très agaçantes.
Première
Heureusement il y a des gags à profusion (...) dont certains sont indéniablement percutants. Pas assez toutefois pour oublier que ce qui avait commencé avec un petit film original et culotté est devenu une lourde machine à fabriquer des dollars et de l'autosatisfaction.
TéléCinéObs
Reste un générique hilarant qui nous fait d'autant plus regretter la suite des événements.
Zurban
On aime ou on déteste, mais la première scène pourrait bien devenir d'anthologie.
Libération
Drôle de corps désormais soufflé, à l'image rose rosbif d'un Woody Allen Elton-Johnisé, Austin Myers a beau déployer tout son talent de simili-follasse sur platform-boots à moumoute, le spectateur se tirailler les zygomatiques selon la méthode Coué chère à Alain ("C'est du bonheur si tu veux, que le corbeau t'annonce"), en vain.. "000, permis de tuer" d'ennui.