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Pour l'honneur d'un fils est un téléfilm réalisé par Olivier Guignard et diffusé pour la première fois en 2022.
Malgré un scénario bien ficelé et plutôt bien amené, ce téléfilm est vraiment déplaisant pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la réalisation et la photographie sont vraiment navrantes, en particulier la lumière qui est mal gérée sur nombre de plans (trop surexposée). Ensuite, le rythme du film souffre d'un mauvais montage. Enfin, le jeu des acteurs qui sonne en faux, en particulier Stéphane Bern qui n'est pas du tout convaincant dans le rôle d'un militaire.
Un téléfilm fade et sans intérêt malgré un scénario intéressant.
Malgré un scénario bien ficelé et plutôt bien amené, ce téléfilm est vraiment déplaisant pour plusieurs raisons. Tout d'abord, la réalisation et la photographie sont vraiment navrantes, en particulier la lumière qui est mal gérée sur nombre de plans (trop surexposée). Ensuite, le rythme du film souffre d'un mauvais montage. Enfin, le jeu des acteurs qui sonne en faux, en particulier Stéphane Bern qui n'est pas du tout convaincant dans le rôle d'un militaire.
Un téléfilm fade et sans intérêt malgré un scénario intéressant.
Aie ... ce serait bien de payer de bons scénaristes parce ou les payer assez pour qu'ils aient le temps d'écrire de bons scénarios et arrêter par copinage de faire jouer des peoples à la place de vrais acteurs , parce que les Stéphane Bern, Line Renaud, Stéphane Plaza ... il faut vraiment arrêter !
Un téléfilm bien ficelé et un Stéphane Bern formidable comme d'habitude.
Enquête et plaisante et le dénouement surprenant
Enquête et plaisante et le dénouement surprenant
Bonjour.
Grosse déception au vu des bandes annonces et d'une distribution prometteuse.
Monsieur Bern est brillant dans ses émissions culturelles mais c'est un mauvais acteur. Il est beaucoup trop théâtral et emphatique. Il joue désespérément un rôle qui ne lui va pas du tout. Il récite et ne colle jamais à l'idée qu'on se fait d'un ancien pilote de chasse chargé de la formation des escadres de drones de l'Armée de l'Air.
Le film se veut réaliste mais le scénario est invraisemblable tout en étant totalement prévisible. Rien, mais alors là rien d'original si ce n'est la netteté des images de jeux vidéos des drones en action. On s'ennuie en espérant que ça va s'améliorer.
Bref, le genre de téléfilm qu'on regarde si vraiment il n'y a rien d'autre. Pourquoi ne pas revoir un docu historique ?
Grosse déception au vu des bandes annonces et d'une distribution prometteuse.
Monsieur Bern est brillant dans ses émissions culturelles mais c'est un mauvais acteur. Il est beaucoup trop théâtral et emphatique. Il joue désespérément un rôle qui ne lui va pas du tout. Il récite et ne colle jamais à l'idée qu'on se fait d'un ancien pilote de chasse chargé de la formation des escadres de drones de l'Armée de l'Air.
Le film se veut réaliste mais le scénario est invraisemblable tout en étant totalement prévisible. Rien, mais alors là rien d'original si ce n'est la netteté des images de jeux vidéos des drones en action. On s'ennuie en espérant que ça va s'améliorer.
Bref, le genre de téléfilm qu'on regarde si vraiment il n'y a rien d'autre. Pourquoi ne pas revoir un docu historique ?
Je n'en attendais pas grand chose, mais je suis déçue quand même...
Mal écrite, l'histoire souffre de grosses longueurs dans certaines scènes.
Les comédiennes font ce qu'elles peuvent avec ce qu'on leur a donné, et ne s'en tirent pas trop mal. Malheureusement, on ne peut pas dire la même chose pour les acteurs. Bruno Debrandt est sous-employé, et malgré toute l'affection que j'ai pour Stéphane Bern, il n'arrive pas à être crédible dans ce rôle.
Mal écrite, l'histoire souffre de grosses longueurs dans certaines scènes.
Les comédiennes font ce qu'elles peuvent avec ce qu'on leur a donné, et ne s'en tirent pas trop mal. Malheureusement, on ne peut pas dire la même chose pour les acteurs. Bruno Debrandt est sous-employé, et malgré toute l'affection que j'ai pour Stéphane Bern, il n'arrive pas à être crédible dans ce rôle.
Je m'attendais à un mauvais film, ma déception est a la hauteur de la nullité de Stephane Burne, immense. Brillant dans Secrets d'Histoire, notre figure nationale se prend ici les pieds dans le tapis dans un rôle trop grand pour lui. Trop d'ambition ? Ou une volonté de France 3 de remplir le bingo du navet par excellence : montage exécrable, musique de garage et un jeu d'acteur dans lequel Stalone passerait pour Molière. Heureusement nous pouvons associer dans notre malheur nos amis belges producteurs de ce téléfilm. Qu'on se rassure le commandant Leclerc est prêt pour de nouvelles aventures, véritable caméléon de la petite lucarne entre charismatique militaire, énigmatique enquêteur et sportif émérite, le regard de braise de Bern sera là pour égayer vos soirées au plus grand bonheur des spectateurs de France 3...
Monsieur Bern figurant au nombre des animateurs préférés des français, cette incursion en tant qu’acteur ne pouvait que susciter la curiosité…
Force est de constater que la prestation n’est pas tout à fait la hauteur : jeu d’acteur pour le moins approximatif s’agissant du pseudo « historien », musique incohérente (pourquoi une musique électro lors de la première scène, et un rythme martial lorsque l’enquêteur en herbe se rend dans une caravane ?), sans évoquer les errements du scénario.
Seul point à mettre au crédit de notre rebelle commandant : une maîtrise rarement observée du drone, brillamment téléguidé les mains dans le dos.
A la fin du supplice, on suggère au commandant d’embrasser une carrière de policier. Pour nous éviter de subir d’aussi brillants navets, nous ne pouvons que l’en dissuader.
Force est de constater que la prestation n’est pas tout à fait la hauteur : jeu d’acteur pour le moins approximatif s’agissant du pseudo « historien », musique incohérente (pourquoi une musique électro lors de la première scène, et un rythme martial lorsque l’enquêteur en herbe se rend dans une caravane ?), sans évoquer les errements du scénario.
Seul point à mettre au crédit de notre rebelle commandant : une maîtrise rarement observée du drone, brillamment téléguidé les mains dans le dos.
A la fin du supplice, on suggère au commandant d’embrasser une carrière de policier. Pour nous éviter de subir d’aussi brillants navets, nous ne pouvons que l’en dissuader.
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