Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une exigence de vérité et une intransigeance artistique qui donnent tout son prix à ce film implacable.
Positif
par Alain Masson
Depuis le milieu des années 2010, le cinéma d’Andreï Konchalovsky retrouve les sommets artistiques. Chers Camarades ! le confirme.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La première moitié du film frappe par l'architecture savante des plans qui enserre la montée progressive de la panique.
Critikat.com
par Bastien Gens
Chers Camarades !, à la mise en scène sèche et funèbre, se présente comme une nouvelle étape passionnante dans le travail réflexif que mène Konchalovsky sur la part démiurgique de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Hugo Jordan
Si le récit est tragique, il est toutefois traversé par un souffle humaniste qui laisse entrevoir quelques signes d’espoir. A l’image du splendide noir et blanc qui l’enveloppe : la noirceur persistante n’empêche jamais la lumière de venir irradier le cadre.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans un noir et blanc sublime, une violente désillusion politique.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Chers camarades ! aurait pu être taxé jadis « d’antisoviétisme primaire », mais en fait rien n’y est catégorique ni borné. D’où la réussite de cette œuvre historico-naturaliste d’une grande ampleur et complexité, où alternent scènes de foule et intimisme et où le facteur humain relativise constamment le propos historique (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Dans la lignée de « Z » ou de « l’Aveu », voici un cinéma de combat, puissant et nécessaire. La démocratie sans le peuple, voire contre le peuple, c’était ça. Et le rouge du drapeau, c’était le rouge du sang.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Dans un noir et blanc glacial et sublime, le cinéaste raconte l’horreur du massacre, en même temps que l’effondrement des idéaux.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
En 1962, l’armée soviétique tire sur des ouvriers manifestant contre la hausse des prix. Andreï Konchalovsky revient avec force sur ce massacre à travers le portrait d’une militante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le scénario du nouveau film d'Andreï Konchalovsky retrace ces évènements. Cependant, le réalisateur de « Michel-Ange » a l'intuition de ne pas adopter le point de vue trop évident d'un gréviste. De la boue de l'histoire, il façonne un superbe personnage : Lioudmila, fonctionnaire zélée, a voué sa vie au Parti.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
En 1962, l’armée russe tire sur des grévistes, et étouffe l’affaire, qui ne sera rendue publique qu’en 1992. Konchalovsky aborde ce passage de l’histoire soviétique avec tout le brio de sa mise en scène précise et anxiogène, dans un noir et blanc magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Transfuge
par Séverine Danflous
Dans Chers camarades !, Konchalovsky raconte avec brio un épisode sanglant et méconnu de l’histoire de l’Union Soviétique...
Télérama
par Jacques Morice
Un beau portrait de femme déchirée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Céline Rouden
Les cadres extrêmement soignés, le format carré, et le noir et blanc des films d’époque offrent un magnifique écrin formel à la reconstitution parfois pesante de ces jours sombres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Plutôt qu'écrire le récit simpliste d'un dessillement progressif, il saisit avec acuité le dilemme intime de son héroïne (remarquablement incarnée), qui navigue entre aveuglement politique et instinct maternel, pour souligner le terrifiant pouvoir de l'idéologie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Kontchalovski filme cette déroute (...) grâce à un magnifique travail, d'abord du noir et blanc, mais surtout du plan fixe, saisissant la situation comme une mosaïque de déréglements qui conduisent petit à petit au pire.
Libération
par Luc Chessel
En se penchant sur la tuerie d’ouvriers grévistes en 1962 par les autorités communistes en URSS, Andreï Konchalovsky reconstitue autant un pays a priori disparu qu’un académisme d’époque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Chers camarades ! se vit comme un suspense d’autant plus haletant que Konchalovsky prend le temps d’un récit dont l’héroïne sait qu’elle ne peut faire confiance à personne car elle serait la première à trahir quiconque lui demanderait de l’aide dans les mêmes circonstances. Vertigineux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
De Kontchalovsky, on ne peut nier un talent certain d’esthète, auquel ce nouvel opus n’échappe pas. D’une formidable précision, le soin apporté à l’image nous laisse toutefois perplexe.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
Une exigence de vérité et une intransigeance artistique qui donnent tout son prix à ce film implacable.
Positif
Depuis le milieu des années 2010, le cinéma d’Andreï Konchalovsky retrouve les sommets artistiques. Chers Camarades ! le confirme.
Cahiers du Cinéma
La première moitié du film frappe par l'architecture savante des plans qui enserre la montée progressive de la panique.
Critikat.com
Chers Camarades !, à la mise en scène sèche et funèbre, se présente comme une nouvelle étape passionnante dans le travail réflexif que mène Konchalovsky sur la part démiurgique de son cinéma.
Culturopoing.com
Si le récit est tragique, il est toutefois traversé par un souffle humaniste qui laisse entrevoir quelques signes d’espoir. A l’image du splendide noir et blanc qui l’enveloppe : la noirceur persistante n’empêche jamais la lumière de venir irradier le cadre.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans un noir et blanc sublime, une violente désillusion politique.
L'Humanité
Chers camarades ! aurait pu être taxé jadis « d’antisoviétisme primaire », mais en fait rien n’y est catégorique ni borné. D’où la réussite de cette œuvre historico-naturaliste d’une grande ampleur et complexité, où alternent scènes de foule et intimisme et où le facteur humain relativise constamment le propos historique (...).
L'Obs
Dans la lignée de « Z » ou de « l’Aveu », voici un cinéma de combat, puissant et nécessaire. La démocratie sans le peuple, voire contre le peuple, c’était ça. Et le rouge du drapeau, c’était le rouge du sang.
Le Dauphiné Libéré
Dans un noir et blanc glacial et sublime, le cinéaste raconte l’horreur du massacre, en même temps que l’effondrement des idéaux.
Le Figaro
En 1962, l’armée soviétique tire sur des ouvriers manifestant contre la hausse des prix. Andreï Konchalovsky revient avec force sur ce massacre à travers le portrait d’une militante.
Les Echos
Le scénario du nouveau film d'Andreï Konchalovsky retrace ces évènements. Cependant, le réalisateur de « Michel-Ange » a l'intuition de ne pas adopter le point de vue trop évident d'un gréviste. De la boue de l'histoire, il façonne un superbe personnage : Lioudmila, fonctionnaire zélée, a voué sa vie au Parti.
Les Fiches du Cinéma
En 1962, l’armée russe tire sur des grévistes, et étouffe l’affaire, qui ne sera rendue publique qu’en 1992. Konchalovsky aborde ce passage de l’histoire soviétique avec tout le brio de sa mise en scène précise et anxiogène, dans un noir et blanc magnifique.
Transfuge
Dans Chers camarades !, Konchalovsky raconte avec brio un épisode sanglant et méconnu de l’histoire de l’Union Soviétique...
Télérama
Un beau portrait de femme déchirée.
La Croix
Les cadres extrêmement soignés, le format carré, et le noir et blanc des films d’époque offrent un magnifique écrin formel à la reconstitution parfois pesante de ces jours sombres.
Le Journal du Dimanche
Plutôt qu'écrire le récit simpliste d'un dessillement progressif, il saisit avec acuité le dilemme intime de son héroïne (remarquablement incarnée), qui navigue entre aveuglement politique et instinct maternel, pour souligner le terrifiant pouvoir de l'idéologie.
Le Monde
Kontchalovski filme cette déroute (...) grâce à un magnifique travail, d'abord du noir et blanc, mais surtout du plan fixe, saisissant la situation comme une mosaïque de déréglements qui conduisent petit à petit au pire.
Libération
En se penchant sur la tuerie d’ouvriers grévistes en 1962 par les autorités communistes en URSS, Andreï Konchalovsky reconstitue autant un pays a priori disparu qu’un académisme d’époque.
Première
Chers camarades ! se vit comme un suspense d’autant plus haletant que Konchalovsky prend le temps d’un récit dont l’héroïne sait qu’elle ne peut faire confiance à personne car elle serait la première à trahir quiconque lui demanderait de l’aide dans les mêmes circonstances. Vertigineux.
Les Inrockuptibles
De Kontchalovsky, on ne peut nier un talent certain d’esthète, auquel ce nouvel opus n’échappe pas. D’une formidable précision, le soin apporté à l’image nous laisse toutefois perplexe.