Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
CNews
par La rédaction
Une série de portraits qui apporte de l’espoir.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Ce film, qui fait entendre des langues multiples et des mots accidentés, est servi par une mise en scène alternant plans-séquences et brusque découpage. Les premiers évoquent l’utopie d’une réconciliation, les seconds rappellent l’existence de frontières politiques et sociales infranchissables. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Il n’est question ici que d’amours impossibles, de ruptures annoncées, de fractures incoercibles et de douleurs à vif. Sans jamais perdre sa lucidité humaniste et politique, Amos Gitaï voudrait encore croire, à travers l’utopie réaliste qu’incarne ce club, qu’un avenir commun est possible.
Transfuge
par Séverine Danflous
Le cinéaste cherche à saisir le fardeau de la vie, les luttes intestines, le conflit des générations ou la difficile réconciliation entre des peuples ennemis. Souvent les dialogues font mouche et captent un ineffable, parfois ils se révèlent un peu démonstratifs.
Télérama
par Frédéric Strauss
À la fois nonchalante et très écrite, cette fiction qui danse autant qu’elle fait sens peut décontenancer. On se raccroche alors aux personnages féminins et à leurs interprètes, lumières dans la nuit de Haïfa.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si l'intention est louable, cela manque d'humour et le dispositif finit par lasser.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
On se demande simplement si un bar branché, avec son gratin noctambule, était le meilleur lieu pour qu'un tel télescopage de sujets n'apparaisse pas comme un brassage superficiel.
Les Fiches du Cinéma
par Paul Fabreuil
Ce long métrage d’Amos Gitaï manque de chair, ses personnages énonçant nombre de sentences abstraites qui arrivent comme un cheveu sur la soupe. Ainsi que d’une construction dramatique compréhensible. Serait-ce le travail préparatoire pour un futur film ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Denitza Bantcheva
Tout cela pourrait être divertissant, à la rigueur, si ce n’était la tendance irrésistible du cinéaste à faire philosopher ses personnages dans des monologues (ou des dialogues) aussi interminables que prétentieux, débités de façon monocorde et qui sonnent toujours faux.
Première
par Thomas Baurez
Malheureusement la fluidité du geste n’empêche pas l’aspect sentencieux d’un scénario trop démonstratif pour convaincre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
A force de ne jamais rien montrer avec précision, le film se réduit à un défilé de pantins pontifiants.
CNews
Une série de portraits qui apporte de l’espoir.
L'Obs
Ce film, qui fait entendre des langues multiples et des mots accidentés, est servi par une mise en scène alternant plans-séquences et brusque découpage. Les premiers évoquent l’utopie d’une réconciliation, les seconds rappellent l’existence de frontières politiques et sociales infranchissables. Brillant.
La Septième Obsession
Il n’est question ici que d’amours impossibles, de ruptures annoncées, de fractures incoercibles et de douleurs à vif. Sans jamais perdre sa lucidité humaniste et politique, Amos Gitaï voudrait encore croire, à travers l’utopie réaliste qu’incarne ce club, qu’un avenir commun est possible.
Transfuge
Le cinéaste cherche à saisir le fardeau de la vie, les luttes intestines, le conflit des générations ou la difficile réconciliation entre des peuples ennemis. Souvent les dialogues font mouche et captent un ineffable, parfois ils se révèlent un peu démonstratifs.
Télérama
À la fois nonchalante et très écrite, cette fiction qui danse autant qu’elle fait sens peut décontenancer. On se raccroche alors aux personnages féminins et à leurs interprètes, lumières dans la nuit de Haïfa.
Le Journal du Dimanche
Si l'intention est louable, cela manque d'humour et le dispositif finit par lasser.
Le Monde
On se demande simplement si un bar branché, avec son gratin noctambule, était le meilleur lieu pour qu'un tel télescopage de sujets n'apparaisse pas comme un brassage superficiel.
Les Fiches du Cinéma
Ce long métrage d’Amos Gitaï manque de chair, ses personnages énonçant nombre de sentences abstraites qui arrivent comme un cheveu sur la soupe. Ainsi que d’une construction dramatique compréhensible. Serait-ce le travail préparatoire pour un futur film ?
Positif
Tout cela pourrait être divertissant, à la rigueur, si ce n’était la tendance irrésistible du cinéaste à faire philosopher ses personnages dans des monologues (ou des dialogues) aussi interminables que prétentieux, débités de façon monocorde et qui sonnent toujours faux.
Première
Malheureusement la fluidité du geste n’empêche pas l’aspect sentencieux d’un scénario trop démonstratif pour convaincre.
Cahiers du Cinéma
A force de ne jamais rien montrer avec précision, le film se réduit à un défilé de pantins pontifiants.