Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Elle
par Françoise Delbecq
Un portrait complexe et déchirant... mais kapital.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Cette mise en lumière d’une personnalité politique attachante et complexe convainc, au-delà de ses quelques défauts.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par Lola Sciamma
Le film aurait mérité de s'émanciper et de faire péter les coutures de sa mise en scène et de sa narration, un peu trop sages. Mais on adhère au parti-pris de cette "fille de" incarnée avec fougue par une Romola Garai qui décoiffe.
Cahiers du Cinéma
par Élisabeth Lequeret
Le film semble dans un premier temps porté par l’ambition de plonger une pionnière du féminisme dans un bain de masculinité toxique, et de filmer le hiatus entre visage public et vie privée, esprit de révolte et soumission domestique. Mais faute de dialectiser il se condamne à un montage mécanique et à un académisme bien tempéré, aux antipodes de la BO néo-punk des Downtown Boys.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Dès le générique, Miss Marx en compétition à la Mostra de Venise en 2020, installe une B.O. punk rock qui, curieusement, fonctionne à merveille avec le récit, soulignant sa modernité. Impression que renforcent une mise en scène vivifiante dans ces décors victoriens et l’interprétation de Romola Garai, fragile et déterminée.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
L'actrice Romola Garai (l'Angel de François Ozon) ne démérite pas mais les costumes pèsent lourd. Nicchiarelli se contente de plaquer du rock sur ses images pour rendre tout ça moderne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Luc Chessel
Cherchant cela, par un patchwork de moments creux ou survoltés, sans intermédiaire, Miss Marx cherche aussi son souffle, le perd et le reprend sans cesse. Tout reste une sorte d’énigme, c’est peut-être bien le propos, et il garde sa part de révolte, arrive à prendre le parti, manifeste, anti-misogyne, pas toujours caricatural, de son héroïne d’avant-garde.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yann Tobin
Le film pèche hélas par un scénario qui peine à dépasser l’anecdotique, substitue à la fresque une approche de presse du cœur, et limite les tourments intérieurs de l’héroïne à une danse punk rock bravement exécutée par l’actrice principale [...].
Télérama
par Cécile Mury
Un brin académique, malgré une bande-son rock censée souligner la modernité de l’héroïne, ce film portrait vaut surtout pour l’interprétation vibrante, tout en douce fermeté, de la comédienne britannique Romola Garai.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La Rédaction
(...) Eleanor, soeur de Marx, que Romola la Garai incarne avec une finesse qui fait hélas défaut à la réalisation.
Première
par Thierry Chèze
On ne peut nier son sens de la pédagogie mais sa réalisation trop voyante ou l’utilisation pataude de tubes pop rock de fait anachroniques surlignent de manière trop voyante la modernité du personnage, que sait pourtant si bien incarner tout en finesse la trop rare Romola Garai. Trop occupée à faire passer son message, la cinéaste n’y a pas été assez attentive.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par François Forestier
Le reste est scolaire, terne, truffé d’intentions morales et politiques, et le parcours de la fille Marx (comme celui d’Adèle H) est un chemin de croix. Le film est aussi émouvant qu’un bras de fauteuil.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Elle
Un portrait complexe et déchirant... mais kapital.
Les Fiches du Cinéma
Cette mise en lumière d’une personnalité politique attachante et complexe convainc, au-delà de ses quelques défauts.
Voici
Le film aurait mérité de s'émanciper et de faire péter les coutures de sa mise en scène et de sa narration, un peu trop sages. Mais on adhère au parti-pris de cette "fille de" incarnée avec fougue par une Romola Garai qui décoiffe.
Cahiers du Cinéma
Le film semble dans un premier temps porté par l’ambition de plonger une pionnière du féminisme dans un bain de masculinité toxique, et de filmer le hiatus entre visage public et vie privée, esprit de révolte et soumission domestique. Mais faute de dialectiser il se condamne à un montage mécanique et à un académisme bien tempéré, aux antipodes de la BO néo-punk des Downtown Boys.
La Croix
Dès le générique, Miss Marx en compétition à la Mostra de Venise en 2020, installe une B.O. punk rock qui, curieusement, fonctionne à merveille avec le récit, soulignant sa modernité. Impression que renforcent une mise en scène vivifiante dans ces décors victoriens et l’interprétation de Romola Garai, fragile et déterminée.
Le Figaro
L'actrice Romola Garai (l'Angel de François Ozon) ne démérite pas mais les costumes pèsent lourd. Nicchiarelli se contente de plaquer du rock sur ses images pour rendre tout ça moderne.
Libération
Cherchant cela, par un patchwork de moments creux ou survoltés, sans intermédiaire, Miss Marx cherche aussi son souffle, le perd et le reprend sans cesse. Tout reste une sorte d’énigme, c’est peut-être bien le propos, et il garde sa part de révolte, arrive à prendre le parti, manifeste, anti-misogyne, pas toujours caricatural, de son héroïne d’avant-garde.
Positif
Le film pèche hélas par un scénario qui peine à dépasser l’anecdotique, substitue à la fresque une approche de presse du cœur, et limite les tourments intérieurs de l’héroïne à une danse punk rock bravement exécutée par l’actrice principale [...].
Télérama
Un brin académique, malgré une bande-son rock censée souligner la modernité de l’héroïne, ce film portrait vaut surtout pour l’interprétation vibrante, tout en douce fermeté, de la comédienne britannique Romola Garai.
Ouest France
(...) Eleanor, soeur de Marx, que Romola la Garai incarne avec une finesse qui fait hélas défaut à la réalisation.
Première
On ne peut nier son sens de la pédagogie mais sa réalisation trop voyante ou l’utilisation pataude de tubes pop rock de fait anachroniques surlignent de manière trop voyante la modernité du personnage, que sait pourtant si bien incarner tout en finesse la trop rare Romola Garai. Trop occupée à faire passer son message, la cinéaste n’y a pas été assez attentive.
L'Obs
Le reste est scolaire, terne, truffé d’intentions morales et politiques, et le parcours de la fille Marx (comme celui d’Adèle H) est un chemin de croix. Le film est aussi émouvant qu’un bras de fauteuil.