Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Vanessa Filho, la réalisatrice de Gueule d’ange, offre à l’ancien Robin des bois un rôle implacable face à la jeune Kim Higelin, bouleversante en adolescente séduite, puis brisée.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans les rôles difficiles de cette histoire violente, les acteurs jouent avec une puissance dramatique stupéfiante.
Franceinfo Culture
par Sabine Gorny
Vanessa Filho réussit [...] le pari d’une adaptation fidèle, grâce à la performance incroyable de Jean Paul Rouve, terrifiant en manipulateur pervers. Un film fort et glaçant qui devrait replacer encore un peu plus le principe du consentement au centre des discussions.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Jérôme Vermelin
Ancienne élève de L’École de l’acteur à Paris, Kim Higelin connaît un début de carrière fulgurant, trois ans seulement après sa première apparition dans la série SKAM France. Avec une performance d’une telle intensité dans Le Consentement, elle est déjà une solide candidate au prochain César de la révélation féminine.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Jean-Paul Rouve est Matzneff : un monstre terrible. Il est fascinant, redoutable, vertigineux. Kim Higelin est Vanessa Springora : une jeune fille ravagée. Elle est exaltante, poignante, bouleversante.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film aussi puissant que subtil.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Pudique et fort.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Déferlante #MeToo oblige, les grands argentiers du cinéma, deux fois plutôt qu’une, cherchent à produire des films qui, dans tous les genres, témoignent de leur engagement pour la « cause des femmes ». Par chance, tous ne relèvent pas de l’opportunisme et certains se distinguent même par leur exigence et leur hauteur de vue. Malgré ses maladresses, presque inévitables vu la difficulté de la tâche, Le consentement en fait partie.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Le crescendo de la séduction, les techniques de manipulation, le rejet visant à humilier, rien n’est laissé au hasard dans cette scénographie tirée au cordeau, nichée dans la finesse des cadrages et les scènes de viol subtilement montées.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Carnassier, Rouve se fond dans la peau du monstre séducteur, dans une incarnation sidérante, avec, face à lui, la non moins habitée Kim Higelin. Ils magnifient ce film glaçant et violent.
Public
par Sarah lévy-Laithier
L'atmosphère glaçante, troublante de réalisme rappelle à la mémoire qu'il s'agit bel et bien d'une histoire vraie.
CNews
par La rédaction
On aurait aimé que les enjeux soient plus appuyés pour gagner en gravité. Le ton adopté dessert aussi parfois le récit. Mais ce long-métrage, tout comme le livre, reste d'utilité publique.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le cœur du Consentement, on le trouve quand Vanessa comprend qu'il va falloir vivre avec le mal que les adultes lui ont infligé. Ça vient tard (trop tard ?), le spectateur ayant eu le temps de beaucoup s'interroger sur la nature, l'objectif et la forme du film.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Si "Le Consentement" est imparfait, il devrait ancrer un peu plus le principe de consentement au coeur des esprits grâce à sa frontalité, sa noirceur et sa résonnance.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Jérôme Garcin
Toujours est-il que ce film, d’utilité publique selon les producteurs, est difficile à regarder. Seuls les spectateurs jugeront.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un film éprouvant, qui a le mérite de prolonger la prise de conscience sur la réalité de ces abus.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par M. Jo.
Puis le film s’attaque à une difficulté qu’il ne peut pas contourner : celle de la figuration des scènes intimes entre une mineure et un écrivain quinquagénaire. C’est à cet endroit que le film décolle, lorsque le livre n’est plus là comme filet de sécurité, mais que la question de la mise en scène devient incontournable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Jean Luc Wachthausen
Le spectateur frise parfois le malaise dans les scènes intimes tant le film est glaçant, mais s’achève sur une note d’espoir à travers la voix d’Élodie Bouchez en Vanessa adulte.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Comment représenter l’ignominie sans complaisance ? À l’aune de cette réflexion, le film interroge les forces et les limites de l’adaptation cinématographique, en se risquant à provoquer le malaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Julien Rousset
Ce que Vanessa Filho transpose à l’écran, c’est un enfermement, un piège irrespirable, au point que la projection est éprouvante. Une charge glaçante, contre un prédateur et ses soutiens.
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Si Jean-Paul Rouve est impressionnant en prédateur, l'ensemble, trop démonstratif, notamment dans ses scènes « osées », aurait mérité un peu plus de subtilité.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Jean-Paul Rouve relève le défi d’incarner ce prédateur. Avec beaucoup de subtilité, il en montre, aux antipodes du brillant lettré mondain connu, le côté minable et pathétique [...].
Télérama
par Guillemette Odicino
L’adaptation fidèle du récit de Vanessa Springora donne chair à la mécanique déployée par Gabriel Matzneff pour abuser d’une adolescente. Utile.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
S'il est juste sur la notion de trauma, le film bute sur l'interprétation de Jean-Paul Rouve, trop outrancière.
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Les acteurs principaux, dans des rôles difficiles, sont tout à fait étonnants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Solidement mis en scène, Le Consentement se révèle irrespirable, sachez-le. Un film important dans ce qu’il dénonce, mais scabreux dans ce qu’il montre.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Filmer le sexe entre le prédateur et sa victime vise à dénoncer l'horreur dans toute sa vérité, mais les scènes, répétitives, oscillent entre pudeur et voyeurisme, et on s'interroge alors sur la nécessité de se confronter à de pareilles images.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est ce qui fait la grande faiblesse du film : un manque de cohérence formelle et une réflexion non aboutie sur une question esthétique très délicate.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Thierry Cheze
L'adaptation théâtrale est un sommet de puissance. Mais la réalisatrice Vanessa Filho passe, elle, en partie à côté de sa transposition au cinéma malgré la composition fascinante de Jean-Paul Rouve.
Première
par Damien Leblanc
Si le film mise beaucoup sur la figure de cet écrivain qui exerce sur son entourage une forte séduction, sa mise en scène bancale s’éloigne trop de la hauteur de vue du livre et ne retrouve pas la lueur libératrice du texte de Vanessa Springora.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
L’importance de l’écrit dans la séduction comme dans ses suites ne trouve pas ici d’équivalent cinématographique. Symptôme d’échec, deux émissions télé s’invitent dans le film, comme pour en trouer la linéarité illustrative.
Le Figaro
par F.D.
Le film rate cette occasion de peindre cette société dans ses nuances les plus séduisantes comme les plus sombres.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Sandra Onana
Truffée d’outrances et d’archétypes pénibles, délestée de la finesse du texte original, l’adaptation, réalisée par Vanessa Filho, de l’ouvrage de Vanessa Springora inspire le malaise. Malgré l’abnégation de Jean-Paul Rouve en Gabriel Matzneff.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Vanessa Filho, la réalisatrice de Gueule d’ange, offre à l’ancien Robin des bois un rôle implacable face à la jeune Kim Higelin, bouleversante en adolescente séduite, puis brisée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans les rôles difficiles de cette histoire violente, les acteurs jouent avec une puissance dramatique stupéfiante.
Franceinfo Culture
Vanessa Filho réussit [...] le pari d’une adaptation fidèle, grâce à la performance incroyable de Jean Paul Rouve, terrifiant en manipulateur pervers. Un film fort et glaçant qui devrait replacer encore un peu plus le principe du consentement au centre des discussions.
LCI
Ancienne élève de L’École de l’acteur à Paris, Kim Higelin connaît un début de carrière fulgurant, trois ans seulement après sa première apparition dans la série SKAM France. Avec une performance d’une telle intensité dans Le Consentement, elle est déjà une solide candidate au prochain César de la révélation féminine.
Le Dauphiné Libéré
Jean-Paul Rouve est Matzneff : un monstre terrible. Il est fascinant, redoutable, vertigineux. Kim Higelin est Vanessa Springora : une jeune fille ravagée. Elle est exaltante, poignante, bouleversante.
Le Parisien
Un film aussi puissant que subtil.
Les Echos
Pudique et fort.
Marianne
Déferlante #MeToo oblige, les grands argentiers du cinéma, deux fois plutôt qu’une, cherchent à produire des films qui, dans tous les genres, témoignent de leur engagement pour la « cause des femmes ». Par chance, tous ne relèvent pas de l’opportunisme et certains se distinguent même par leur exigence et leur hauteur de vue. Malgré ses maladresses, presque inévitables vu la difficulté de la tâche, Le consentement en fait partie.
Marie Claire
Le crescendo de la séduction, les techniques de manipulation, le rejet visant à humilier, rien n’est laissé au hasard dans cette scénographie tirée au cordeau, nichée dans la finesse des cadrages et les scènes de viol subtilement montées.
Paris Match
Carnassier, Rouve se fond dans la peau du monstre séducteur, dans une incarnation sidérante, avec, face à lui, la non moins habitée Kim Higelin. Ils magnifient ce film glaçant et violent.
Public
L'atmosphère glaçante, troublante de réalisme rappelle à la mémoire qu'il s'agit bel et bien d'une histoire vraie.
CNews
On aurait aimé que les enjeux soient plus appuyés pour gagner en gravité. Le ton adopté dessert aussi parfois le récit. Mais ce long-métrage, tout comme le livre, reste d'utilité publique.
CinemaTeaser
Le cœur du Consentement, on le trouve quand Vanessa comprend qu'il va falloir vivre avec le mal que les adultes lui ont infligé. Ça vient tard (trop tard ?), le spectateur ayant eu le temps de beaucoup s'interroger sur la nature, l'objectif et la forme du film.
Ecran Large
Si "Le Consentement" est imparfait, il devrait ancrer un peu plus le principe de consentement au coeur des esprits grâce à sa frontalité, sa noirceur et sa résonnance.
L'Obs
Toujours est-il que ce film, d’utilité publique selon les producteurs, est difficile à regarder. Seuls les spectateurs jugeront.
La Croix
Un film éprouvant, qui a le mérite de prolonger la prise de conscience sur la réalité de ces abus.
Le Monde
Puis le film s’attaque à une difficulté qu’il ne peut pas contourner : celle de la figuration des scènes intimes entre une mineure et un écrivain quinquagénaire. C’est à cet endroit que le film décolle, lorsque le livre n’est plus là comme filet de sécurité, mais que la question de la mise en scène devient incontournable.
Le Point
Le spectateur frise parfois le malaise dans les scènes intimes tant le film est glaçant, mais s’achève sur une note d’espoir à travers la voix d’Élodie Bouchez en Vanessa adulte.
Les Fiches du Cinéma
Comment représenter l’ignominie sans complaisance ? À l’aune de cette réflexion, le film interroge les forces et les limites de l’adaptation cinématographique, en se risquant à provoquer le malaise.
Sud Ouest
Ce que Vanessa Filho transpose à l’écran, c’est un enfermement, un piège irrespirable, au point que la projection est éprouvante. Une charge glaçante, contre un prédateur et ses soutiens.
Télé 2 semaines
Si Jean-Paul Rouve est impressionnant en prédateur, l'ensemble, trop démonstratif, notamment dans ses scènes « osées », aurait mérité un peu plus de subtilité.
Télé 7 Jours
Jean-Paul Rouve relève le défi d’incarner ce prédateur. Avec beaucoup de subtilité, il en montre, aux antipodes du brillant lettré mondain connu, le côté minable et pathétique [...].
Télérama
L’adaptation fidèle du récit de Vanessa Springora donne chair à la mécanique déployée par Gabriel Matzneff pour abuser d’une adolescente. Utile.
Voici
S'il est juste sur la notion de trauma, le film bute sur l'interprétation de Jean-Paul Rouve, trop outrancière.
aVoir-aLire.com
Les acteurs principaux, dans des rôles difficiles, sont tout à fait étonnants.
La Voix du Nord
Solidement mis en scène, Le Consentement se révèle irrespirable, sachez-le. Un film important dans ce qu’il dénonce, mais scabreux dans ce qu’il montre.
Le Journal du Dimanche
Filmer le sexe entre le prédateur et sa victime vise à dénoncer l'horreur dans toute sa vérité, mais les scènes, répétitives, oscillent entre pudeur et voyeurisme, et on s'interroge alors sur la nécessité de se confronter à de pareilles images.
Les Inrockuptibles
C’est ce qui fait la grande faiblesse du film : un manque de cohérence formelle et une réflexion non aboutie sur une question esthétique très délicate.
Ouest France
L'adaptation théâtrale est un sommet de puissance. Mais la réalisatrice Vanessa Filho passe, elle, en partie à côté de sa transposition au cinéma malgré la composition fascinante de Jean-Paul Rouve.
Première
Si le film mise beaucoup sur la figure de cet écrivain qui exerce sur son entourage une forte séduction, sa mise en scène bancale s’éloigne trop de la hauteur de vue du livre et ne retrouve pas la lueur libératrice du texte de Vanessa Springora.
Cahiers du Cinéma
L’importance de l’écrit dans la séduction comme dans ses suites ne trouve pas ici d’équivalent cinématographique. Symptôme d’échec, deux émissions télé s’invitent dans le film, comme pour en trouer la linéarité illustrative.
Le Figaro
Le film rate cette occasion de peindre cette société dans ses nuances les plus séduisantes comme les plus sombres.
Libération
Truffée d’outrances et d’archétypes pénibles, délestée de la finesse du texte original, l’adaptation, réalisée par Vanessa Filho, de l’ouvrage de Vanessa Springora inspire le malaise. Malgré l’abnégation de Jean-Paul Rouve en Gabriel Matzneff.