Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Terrifier 2 est donc à réserver à un public averti, mais ce dernier se régalera devant ce spectacle régressif et assumé comme tel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Si les infamies se multiplient et s’étirent, c’est que Damien Leone, auteur mais aussi maquilleur, déploie avec un génie gourmand l’éventail de ses trouvailles plastiques, érigeant les effets spéciaux en poétique de la matière triturée, réinventée.
Filmsactu
par Henry Swanson
Vertigineux, radical et vraiment dégueu.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Monde
par Jean-François Rauger
Damien Leone, amateur de films d’horreur qui a écrit le scénario et assure les effets spéciaux comme le montage, retrouve, avec bonheur, une dimension primitive et carnavalesque du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un cauchemar XXL (2h18) qui renoue avec l’esprit crapoteux des midnight movies, là où d’autres se contentent d’en copier laborieusement les contours. Une vraie série B qui ne s’excuse pas d’exister, sent fort le tabac froid de moquette de vidéo club, vous en met plein la vue et vous en fait tomber la moitié sur les godasses.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un gigantesque cauchemar bariolé, réactivant par là le genre tout particulier du slasher surnaturel.
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
Un gros bis gore et bancal, auquel on pardonne tout depuis qu'il est entré par effraction dans le petit monde de l'horreur américaine trop sage.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Fred Pizzoferrato
Le principal argument, le gore, ne déçoit pas et devrait secouer les blasés : les meurtres sont brutaux, sadiques et extrêmes. [...] Toutefois, en dépit de ses réelles qualités, Terrifier 2 souffre d’une longueur excessive : près de 2h20 reste déraisonnable quoique Leone ne démérite pas dans ses tentatives d’épaissir sa mythologie.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Avec sa patine et sa musique années 1980, ce jeu de massacre aux allures de train fantôme assume son trip décadent jusqu’à devenir un défouloir outré, grotesque et trash, mais avec de l’humour et des idées de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Mais si sa violence s’avère particulièrement graphique, elle est aussi très « grand guignolesque », voire surréaliste, et les effets spéciaux sont aussi enthousiastes que fauchés.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Léo Moser
En situant son action (encore une fois) un soir d’Halloween, Terrifier 2 rend trouble la frontière entre réalité et faux-semblants, et renvoie systématiquement, autant dans sa mise en scène outrancière que dans son imagerie foraine, à l’artificialité de ses effets, créant une distance nécessaire face aux abominations montrées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
(...) un mélange de burlesque et de gore qui ravira les fans du genre pour son côté sale gosse pleinement assumé.
Première
par François Léger
Louons aussi sa tentative de mélanger des références horrifiques qu’il sait inaccessibles - des Griffes de la nuit à Evil Dead 2 - avec un cinéma le plus bis possible.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Nicolas Schaller
Gros problème de cette série B baignant dans une ambiance et une musique eighties : la crétinerie du scénario qui, entre poncifs du genre et onirisme mal assumé, s’étire complaisamment sur… deux heures dix-huit !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Pastiche très gore du cinéma d’horreur des années 1980, ce film techniquement honnête et bien joué pâtit d’un scénario mollasson et d’une étonnante absence de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Marc Poquet
Alors que le premier "Terrifier" était passé quasiment inaperçu, le deuxième arrive en France précédé d’une réputation sulfureuse. L’effet de saisissement sera probable si l’on découvre la saga. Pour ceux ayant vu le premier opus, la déception sera peut-être de mise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Télérama
par Marie Sauvion
Mal écrit, mal joué, mal filmé, ce pensum gore ne se distingue que par le soin apporté aux énucléations, étripements et autres effets spéciaux censés remplir son vide abyssal. Même pas peur !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Terrifier 2 est donc à réserver à un public averti, mais ce dernier se régalera devant ce spectacle régressif et assumé comme tel.
Cahiers du Cinéma
Si les infamies se multiplient et s’étirent, c’est que Damien Leone, auteur mais aussi maquilleur, déploie avec un génie gourmand l’éventail de ses trouvailles plastiques, érigeant les effets spéciaux en poétique de la matière triturée, réinventée.
Filmsactu
Vertigineux, radical et vraiment dégueu.
Le Monde
Damien Leone, amateur de films d’horreur qui a écrit le scénario et assure les effets spéciaux comme le montage, retrouve, avec bonheur, une dimension primitive et carnavalesque du cinéma.
Libération
Un cauchemar XXL (2h18) qui renoue avec l’esprit crapoteux des midnight movies, là où d’autres se contentent d’en copier laborieusement les contours. Une vraie série B qui ne s’excuse pas d’exister, sent fort le tabac froid de moquette de vidéo club, vous en met plein la vue et vous en fait tomber la moitié sur les godasses.
Mad Movies
Un gigantesque cauchemar bariolé, réactivant par là le genre tout particulier du slasher surnaturel.
Ecran Large
Un gros bis gore et bancal, auquel on pardonne tout depuis qu'il est entré par effraction dans le petit monde de l'horreur américaine trop sage.
L'Ecran Fantastique
Le principal argument, le gore, ne déçoit pas et devrait secouer les blasés : les meurtres sont brutaux, sadiques et extrêmes. [...] Toutefois, en dépit de ses réelles qualités, Terrifier 2 souffre d’une longueur excessive : près de 2h20 reste déraisonnable quoique Leone ne démérite pas dans ses tentatives d’épaissir sa mythologie.
Le Journal du Dimanche
Avec sa patine et sa musique années 1980, ce jeu de massacre aux allures de train fantôme assume son trip décadent jusqu’à devenir un défouloir outré, grotesque et trash, mais avec de l’humour et des idées de mise en scène.
Le Parisien
Mais si sa violence s’avère particulièrement graphique, elle est aussi très « grand guignolesque », voire surréaliste, et les effets spéciaux sont aussi enthousiastes que fauchés.
Les Inrockuptibles
En situant son action (encore une fois) un soir d’Halloween, Terrifier 2 rend trouble la frontière entre réalité et faux-semblants, et renvoie systématiquement, autant dans sa mise en scène outrancière que dans son imagerie foraine, à l’artificialité de ses effets, créant une distance nécessaire face aux abominations montrées.
Ouest France
(...) un mélange de burlesque et de gore qui ravira les fans du genre pour son côté sale gosse pleinement assumé.
Première
Louons aussi sa tentative de mélanger des références horrifiques qu’il sait inaccessibles - des Griffes de la nuit à Evil Dead 2 - avec un cinéma le plus bis possible.
L'Obs
Gros problème de cette série B baignant dans une ambiance et une musique eighties : la crétinerie du scénario qui, entre poncifs du genre et onirisme mal assumé, s’étire complaisamment sur… deux heures dix-huit !
Les Fiches du Cinéma
Pastiche très gore du cinéma d’horreur des années 1980, ce film techniquement honnête et bien joué pâtit d’un scénario mollasson et d’une étonnante absence de rythme.
aVoir-aLire.com
Alors que le premier "Terrifier" était passé quasiment inaperçu, le deuxième arrive en France précédé d’une réputation sulfureuse. L’effet de saisissement sera probable si l’on découvre la saga. Pour ceux ayant vu le premier opus, la déception sera peut-être de mise.
Télérama
Mal écrit, mal joué, mal filmé, ce pensum gore ne se distingue que par le soin apporté aux énucléations, étripements et autres effets spéciaux censés remplir son vide abyssal. Même pas peur !