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Mephiless s.
62 abonnés
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4,5
Publiée le 8 décembre 2014
Je savais que Kill Bill était un film totalement délirant mais je ne m'attendais pas à ça... Son univers est tellement original, c'est ce que j'aime chez Tarantino, il sait faire des films de malades avec des séquences et des musiques inattendues, et c'est ce qu'il a fait une fois de plus.. Tout d'abord, je ne me suis pas ennuyé une seule seconde durant tout le film, les combats sont tellement épiques et bien chorégraphiés que ça fait froid dans le dos et les acteurs sont superbement dirigés! Comme défauts, je trouve que le film a du mal à démarrer et que certaines scènes sont trop longues.
Très grand fan des films de Tarantino (comme peut le montrer ma photo de profil), j'ai été un peu moins "transporté" par celui-là. Je m'explique. Pulp Fiction est pour moi le chef-d'oeuvre de Quentin Tarantino, et aussi le meilleur film que j'ai vu à présent. Je n'ai pas été déçu par ce film, qui est très bien, mais il n'arrive pas au niveau des autres films réalisé par Q. Tarantino. En revanche, je n'ai pas vraiment apprécié la bande originale. A part lors des combats ou à certains autres moments.
Ce film est plein de combats à tout-va, et c'est exactement ce que l'on attend avant de regarder ce film.spoiler: Il faut voir, dès le début (après le générique) on part sur un duel. Puis le duel final, qui est tout aussi époustouflant. Ou encore quand "Black Mamba" affronte les hommes de main de "Cottonmouth" qui sont excessivement nombreux. Ce film est bourré de scènes d'actions au katana comme on les aime !
Uma Thurman est au plus haut de sa forme, et ce film est clairement fait pour elle, actrice principale, spoiler: dans un rôle de meurtrière ayant passé 4 ans dans le coma et qui se réveille contrairement à toutes attentes, elle a su s'investir énormément pour ce rôle, ne serait-ce que pour les scènes de combat.
Très bon film de Tarantino, à voir sans plus attendre si ce n'est déjà le cas !
J'avais été quelque peu déçu par Pulp Fiction, qui ne correspondait pas réellement à ce que j'attendais. Qu'à cela ne tienne, j'avais mis Kill Bill sur ma liste de films à voir. Après visionnage, je dois dire que je ne suis pas du tout déçu de ce choix, bien au contraire. Un bon film sur la vengeance ne pouvait que me plaire.
Parce que Kill Bill c'est bien ça, une femme dont le mariage est ruiné par un groupe de tueurs, et qui perd l'enfant qu'elle portait. Au bout de quatre ans de coma, elle se réveille et va se lancer dans sa quête de vengeance. Le scénario paraît simple, mais on est ici chez Tarantino, et ça ne peut pas être "simple". Pour commencer, il faut des personnages hauts en couleur, avec un caractère fort, et on n'en manque pas. Les combats et certaines scènes sont délicieusement grotesques, et excentriques, et bourrées de références qui, bien qu'elles m'échappent faute d'une culture adaptée, se sentent largement. Le film est également porté par une BO remplie de classiques qui permettent de l'élever à une dimension supérieure. Cela donne un cocktail savoureux haut en couleurs et explosif, plein d'imprévus et d'excentricité.
Pour moi c'est un coup de cœur, et évidemment je vais vite m'atteler au visionnage du second volume !
La force de Kill Bill ne réside sûrement pas dans le scénario, qui est une simple course à la vengeance, mais dans sa réalisation. On ne pourrait contester le talent de Tarantino devant une réalisation aussi délirante et jouissive.
Ce film est trash jusqu'au bout ! Quand on pense qu'elle a déjà traversé assez de difficultés, non on rajoute un détail bien dégueulasse ! En clair, bienvenue dans l'univers de Tarantino ! Si la réalisation est magnifique, mêlant différents genre cinématographique et n'hésitant pas à illustré des propos par le biais de l'animation manga, le scénario est une pépite d'incohérence immense. Des choses invraisemblables. Donc oui, cela m'a déçue en un sens, mais d'un autre, on parle tout de même de la vengeance d'une nana qui s'est pris une balle gros calibre dans a tête à son mariage.... Et qui revient se venger. Je pense que le ton est tout de suite donner. Dans ce premier volume, Tarantino rend hommage au cinéma asiatique, n'étant pas fan de ce dernier je n'ai donc reconnu aucune allusion mais les spectateurs avertis sauront surement apprécier les clins d’œil. Pour ma part, j'ai vraiment été bluffé par la réalisation et la mise en scène. Le jeu avec la caméra, l'utilisation de la couleur ou du noir et blanc, les détails de l'action semblant être filmé au millimètre près... Bref, vous l'aurez compris Tarantino est un génie et nous offre un merveilleux spectacle bien gore. En revanche, les débuts sont assez difficile, les premières scènes et chapitres sont mélangé entre passé, présent et futur. Dans la mesure où l'on plonge dans le présent directement, on ne comprend pas forcément le pourquoi du comment. Et après quelques minutes, qui nous laisse en plein doute à se demander si on a pas confondu le deuxième volume avec le premier, on arrive enfin à ce qui s'est passé, son parcours depuis et pourquoi elle en est là aujourd'hui. Il faut s'accrocher au début mais le reste n'est que du bonheur, pour arriver à cette bataille final, impressionnante et bien gore qui m'a amené à m'interroger sur la sécurité et la non présence des forces de l'ordre. Petit à petit, je deviens une fan de l'univers de Tarantino, qui correspond généralement à mes attentes... surtout quand il ne fait pas de western. Un film à découvrir si comme moi ce n'était pas encore fait, à revoir également avec plaisir ne serait-se que pour le travail de Tarantino et le casting à la hauteur du reste (je me suis même surprise à aimer le jeu d'Uma Thurman).
Un film qui aurait pu être pas mal mais un peu ennuyeux dans l'ensemble. Le scénario est très simple à comprendre puisqu'il s'agit de régler une vengeance en massacrant un groupe de tueurs. Uma Thurman se débrouille vraiment très bien avec un katana et elle montre sa détermination, le reste du casting est pas mal. Le début du film s'annonce bien avec une jolie scène de combat, puis c'est devient monotone jusqu'aux derniers scènes de combat assez dynamique. Je comprends pas trop l’intérêt de certains effets visuels à part le giclage de sang très stylé. Des scènes de combat pas mal à part celui de Uma Thurman contre Lucy Liu que je trouve très lente. Des décors et des costumes bien soignés. Quelques petites incohérences. Un film qui manque d'un peu de vivacité pour qu'il soit bien.
Combats chorégraphiques épiques et violents, flashbacks 'tarantinesques', décors exotiques, manga, cadrages originaux, vestimentaire expressif et coloré, acteurs superbement dirigés, très bonne BO (quoiqu'un peu en deçà de ses plus grands chefs-d'oeuvres), tout l'aspect visuel et sonore de ce Tarantino est irréprochable. Seuls les geysers de sang ne sont pas du meilleur goût. Un peu facile. En dehors de la forme, le fond laisse à désirer. Les dialogues sont pauvres et le scénario, finalement, ne va pas chercher bien loin. Ce Tarantino est quand même un peu construit sur du vide. Parfois, ça peut passer, d'autre fois non. Comme quoi, ce n'est pas parce que c'est du Tarantino et qu'on en est fan qu'il faut se croire obligé de dire que c'est du génie.
En s’inspirant du cinéma d’arts martiaux des années 70 et des westerns spaghetti de Sergio Leone, Tarantino nous offre un pur délice visuel et musical, illuminé par la presta d'Uma Thurman dans le le rôle de sa vie. Jouissif à mort !!
En voilà un film bien original. Tarantino signe ici son film le plus délirent, un genre de jeu vidéo auquel le personnage Black Mamba doit dégommer les 5 boss du jeu. Bref, dans ce film, les différents événements sont réparties dans des chapitres telle un livre et possède une mise en scène spécial défilent du noir au blanc ou d'un effet négatif. Dès que Black Mamba découvre une tête familière: JINGLE, regard perçant suivi de jets de sang absolument exagérés et d'un combat digne de ce nom. l'histoire est bonne malgré le manque d'humanisme dans les personnages. Un vrai jeu vidéo, comme je vous dis. Mas la scène qui conclu ma théorie c'est: Black Mamba contre les samouraï de son "boss''. Une véritable tuerie ou les ennemis débarquent de tout les côtés d'innombrables fois accompagné d'un mini-boss plus costaud que les autres pour terminer avec le boss final avec un combat à l'épée. On se croirai dans "The Legend of Zelda" mais j'ai rien contre. Sa confirme le décalage de Tarantino par rapport à tout les autres réalisateurs qui fait de lui, l'un des réalisateurs les plus originaux et les plus connus. Bref sans doute le Tarantino le plus Tarantinesque. 4/5 Voilà qui est dit!
Encore un bon film de Quentin Tarantino, et sa première incursion dans le "western moderne". Comme à l'accoutumée, il y a un je-ne-sais-quoi qui tarantinesque dans ce "Kill Bill: Volume 1" qui fait de lui un objet à la fois unique et classique, tantôt tendre tantôt brutal, mais toujours intéressant, dans le traitement de l'histoire comme dans le développement des personnages. La mise en scène de QT reste dans la lignée de ce qu'il fait d'habitude : léchée, précise, fluide, elle ménage des bonnes scènes d'action entre chaque long dialogue ou chaque regard tendu. La musique culte de RZA, alias R. F. Diggs, fait merveille à chaque instant et parachève de faire de ce long-métrage une réussite, même si on notera quelques longueurs et petites baisses de régime ça et là. Distrayant.
A chaque film de Quentin Tarantino son lot de surprises! "Kill Bill: volume 1" ne fait pas exception à la règle. Bien au contraire, il s'affiche comme l'un des films les plus originaux de son réalisateur. Exit les dialogues sous tension et aux petits oignons à la mode "Pulp Fiction", "Inglourious Basterds" ou "Django Unchained", place à l'action! Car ce que l'on retient de ce film, c'est avant tout ses combats au sabre et à mains nues, parfaitement mis en scène. Tellement bien mis en scène qu'ils donnent lieu à de véritables chorégraphies, ou le macabre et l'élégance se rencontrent (si tant est que ce soit possible), le tout accompagné d'une musique tout à fait soignée ("Bang Bang" de Nancy Sinatra vous trottera dans la tête!). L'hémoglobine gicle entre dialogues glauques et clichés, dans un style si décalé que cela en devient plaisant. Car "Kill Bill" est une avalanche de clichés et de références à la culture japonaise, avec les personnages qui vont avec. En tête de liste, Black Mamba, brillamment incarnée par la vénéneuse Uma Thurman, qui cherche à se venger de ses anciens partenaires qui ont tenté de l'assassiner. Ce désir de vengeance est d'ailleurs l'un des seuls lieux communs avec le reste de la filmographie de notre cher Tarantino. Une filmographie d'une richesse inouïe, comme le montre encore une fois ce "Kill Bill", dont je ne manquerai pas de découvrir la suite.
Quentin Tarantino réalise une histoire de vengeance ultra virtuose et ultra violente (gerbes de sang, démembrements, etc), en transportant son univers au cœur de plusieurs genres qu’il affectionne, du coup sa donne un exercice de style incroyable (le western et le film de sabres, quel beau mélange). Le traitement réservé aux dialogues et à l’action est juste parfait, la mise en scéne nous transporte dès les premières minutes, la mythologie qu'installe Tarantino est passionnante (surtout les moments avec Hattori Hanzo, c'est énorme quoi). Les acteurs sont tous plus charismatiques les uns que les autres, mais la palme revient a Uma Thurman qui est juste impressionnante. C'est du grand Tarantino, j'adore!
Kill Bill est une collaboration entre Uma Thurman et Quentin Tarantino donc déja, on s'attend à du lourd. Et c'est bien le cas ! Kill Bill est un mélange de pleins de genre de films et qui passe très bien. L'histoire de la vengeance d'une marié est un sujet vraiment bien trouvé et surtout bien exploité. Les scènes de combats sont vraiment extraordinaires et hyper réaliste spoiler: notament la scène finale entre Uma Thurman et Lucy Liu (qui était aussi parfaitement choisi pour ce rôle). En plus de ça, la musique est géniale et rentre trés bien dans le thème du film. Bref, ici là encore, Quentin Tarantino nous montre ses talents de réalisateur et Uma Thurman sa performance artisque. Un film à vraiment savourer autant de fois que l'on en a envis !