Master & Commander : de l'autre côté du monde : Critique presse
Master & Commander : de l'autre côté du monde
Note moyenne
4,2
17 titres de presse
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Positif
TéléCinéObs
Télérama
aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Ciné Live
Le Point
Libération
MCinéma.com
Première
Studio Magazine
Aden
Les Inrockuptibles
L'Express
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
L'Obs
par François Forestier
(...) le nouveau film du réalisateur australien est à la mer ce que Lawrence d'Arabie fut au désert : un poème initiatique, un rêve d'enfant réalisé. Inoubliable !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
Si, au-delà du brio avec lequel il orchestre son film d'époque, ses combats flibustiers, Peter Weir signe un film d'auteur en même temps qu'un film spectaculaire, c'est aussi parce que l'on retrouve dans Master and Commander d'autres thèmes-clés : la recherche de l'épanouissement personnel et les rapports maître-élève (...), et surtout l'immersion d'un personnage dans un monde clos, autarcique, souvent régressif.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Jean-Loup Bourget
(...) une oeuvre majeure, quelque part entre Amistad et La Ligne rouge, mais d'un ton très juste, très personnel.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par François Forestier
Dans un genre pourtant riche (...) le metteur en scène australien innove et évite le pittoresque. De tous ses films (...) c'est le plus beau. Peter Weir a la grâce.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Frédéric Strauss
Peter Weir a aussi pris le risque de nous dérouter. Son adaptation de deux romans de Patrick O'Brian (Maître à bord et De l'autre côté du monde, devenu le sous-titre du film) aboutit à un scénario étonnamment libre. Au lieu de l'habituel dopage du récit, c'est une narration simple, comme en temps réel, qui est privilégiée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Carlat
(...) un somptueux spectacle marin (...) le cinéaste nous plonge avec un vrai délice dans une aventure à grand spectacle, mêlant avec justesse scènes de combats et tempêtes marines hyper-réalistes.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film est travaillé par quelque chose de plus qu'une simple volonté d'en découdre avec le genre costumé. (...) Ici, pas d'intrépides aventuriers aux traits lisses, ni de réconciliation mièvre avec la nature. Rien qu'un univers viril et martial ouvert à la délicatesse, pacifié enfin.
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Serge Loupien
Réalisé par l'Australien Peter Weir, Master and Commander, qui réunit pour la seconde fois (après Un homme d'exception) Russell Crowe et Paul Bettany (...) est un magnifique film d'aventures comme on pensait qu'il ne s'en tournerait plus.
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Sous son allure de blockbuster des mers, Master and Commander est une oeuvre très personnelle (...). La peinture de l'amitié-rivalité des personnages joués par Russell Crowe, le capitaine, et Paul Bettany (...) est l'autre attrait de cette oeuvre à la fois spectaculaire et psychologique. Il n'y a peut-être pas de quoi grimper au mât du navire, mais de quoi passer un très plaisant moment de cinéma.
Première
par Christophe Narbonne
Ceux qui attendent de Master and commander un blockbuster spectaculaire vont être servis. (...) La grosse logistique hollywoodienne est bien au rendez-vous. ceux qui attendent un minimum de profondeur -psychologique, pas abyssale- en auront aussi pour leur argent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
(...) de fortes houles et de jolies batailles, de grands acteurs (...) et de magnifiques paysages (ah ! les Galapagos...), des tourments moraux (honte à l'officier qui ne sait pas se faire obéir) et des raccourcis historiques (...) Pour autant, le film - fidèle en cela à la saga de Patrick O'Brian - échoue sur l'essentiel : la profondeur.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Les Inrockuptibles
par La Rédaction
Si les scènes d'action son correctement réalisées, quand il n'y a plus de vagues, on gigote dans son fauteuil.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Obs
(...) le nouveau film du réalisateur australien est à la mer ce que Lawrence d'Arabie fut au désert : un poème initiatique, un rêve d'enfant réalisé. Inoubliable !
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Si, au-delà du brio avec lequel il orchestre son film d'époque, ses combats flibustiers, Peter Weir signe un film d'auteur en même temps qu'un film spectaculaire, c'est aussi parce que l'on retrouve dans Master and Commander d'autres thèmes-clés : la recherche de l'épanouissement personnel et les rapports maître-élève (...), et surtout l'immersion d'un personnage dans un monde clos, autarcique, souvent régressif.
Positif
(...) une oeuvre majeure, quelque part entre Amistad et La Ligne rouge, mais d'un ton très juste, très personnel.
TéléCinéObs
Dans un genre pourtant riche (...) le metteur en scène australien innove et évite le pittoresque. De tous ses films (...) c'est le plus beau. Peter Weir a la grâce.
Télérama
Peter Weir a aussi pris le risque de nous dérouter. Son adaptation de deux romans de Patrick O'Brian (Maître à bord et De l'autre côté du monde, devenu le sous-titre du film) aboutit à un scénario étonnamment libre. Au lieu de l'habituel dopage du récit, c'est une narration simple, comme en temps réel, qui est privilégiée.
aVoir-aLire.com
(...) un somptueux spectacle marin (...) le cinéaste nous plonge avec un vrai délice dans une aventure à grand spectacle, mêlant avec justesse scènes de combats et tempêtes marines hyper-réalistes.
Cahiers du Cinéma
Le film est travaillé par quelque chose de plus qu'une simple volonté d'en découdre avec le genre costumé. (...) Ici, pas d'intrépides aventuriers aux traits lisses, ni de réconciliation mièvre avec la nature. Rien qu'un univers viril et martial ouvert à la délicatesse, pacifié enfin.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Réalisé par l'Australien Peter Weir, Master and Commander, qui réunit pour la seconde fois (après Un homme d'exception) Russell Crowe et Paul Bettany (...) est un magnifique film d'aventures comme on pensait qu'il ne s'en tournerait plus.
MCinéma.com
Sous son allure de blockbuster des mers, Master and Commander est une oeuvre très personnelle (...). La peinture de l'amitié-rivalité des personnages joués par Russell Crowe, le capitaine, et Paul Bettany (...) est l'autre attrait de cette oeuvre à la fois spectaculaire et psychologique. Il n'y a peut-être pas de quoi grimper au mât du navire, mais de quoi passer un très plaisant moment de cinéma.
Première
Ceux qui attendent de Master and commander un blockbuster spectaculaire vont être servis. (...) La grosse logistique hollywoodienne est bien au rendez-vous. ceux qui attendent un minimum de profondeur -psychologique, pas abyssale- en auront aussi pour leur argent.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
(...) de fortes houles et de jolies batailles, de grands acteurs (...) et de magnifiques paysages (ah ! les Galapagos...), des tourments moraux (honte à l'officier qui ne sait pas se faire obéir) et des raccourcis historiques (...) Pour autant, le film - fidèle en cela à la saga de Patrick O'Brian - échoue sur l'essentiel : la profondeur.
Les Inrockuptibles
Si les scènes d'action son correctement réalisées, quand il n'y a plus de vagues, on gigote dans son fauteuil.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr