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Votre avis sur Là où chantent les écrevisses ?
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Emprunt de classicisme et d’une douceur surannée, « Là où chantent les écrevisses » s’avère d’abord charmant puis captivant malgré un flagrant manque de rythme et d’aspérité. Daisy Edgar-Jones incarne à merveille l’esprit du film ainsi que le marais idéalisé qui sert de décors.
En 1969, dans la petite ville de Barkley Cove en Caroline du Nord, le corps de Chase Andrews est retrouvé dans le marais. Tous les soupçons se portent sur la mystérieuse Kya, cette enfant sauvage qui a grandi seule en marge de la société…
Le procès qui suit, permet de retracer la vie de Kya à travers de subtiles flashback. En débutant par son enfance et l’abandon par sa famille, permettant de bien installer le personnage. La suite étant un habile mélange de genre, et finalement le coté thriller laisse peu ) peu la place à un drame puissant sur la solitude, sur l’abandon et la confiance en soi. Mais également et surtout sur la nature, et le formidable éco systhme des marais.
Par contre, les personnages et en particulier Kya sont trop propre. Vêtements toujours incapables, cheveux bien coiffée, jamais de crase ou de sueur… Tous cela n’est pas crédibles, dans un univers humide et poisseux tel que les marais.
Le procès qui suit, permet de retracer la vie de Kya à travers de subtiles flashback. En débutant par son enfance et l’abandon par sa famille, permettant de bien installer le personnage. La suite étant un habile mélange de genre, et finalement le coté thriller laisse peu ) peu la place à un drame puissant sur la solitude, sur l’abandon et la confiance en soi. Mais également et surtout sur la nature, et le formidable éco systhme des marais.
Par contre, les personnages et en particulier Kya sont trop propre. Vêtements toujours incapables, cheveux bien coiffée, jamais de crase ou de sueur… Tous cela n’est pas crédibles, dans un univers humide et poisseux tel que les marais.
J'ai décidé de voir ce film d'après la bande annonce, et je ne le regrette absolument pas, un petit chef d'oeuvre.
Des vues splendides de la nature et des animaux, des personnages intéressants,des acteurs talentueux, une belle histoire.
Des vues splendides de la nature et des animaux, des personnages intéressants,des acteurs talentueux, une belle histoire.
Magnifique film très émouvant et bien filmé , on plonge directement dans l'émotion de l'histoire.
Je suis vraiment déçu par "Là où chantent les écrevisses".
Mais je vais commencer par le positif : les paysages sont très beaux, et le marais est très bien caractérisé et devient un personnage à part entière du film. Ce cadre étant assez rare dans les films, j'ai apprécié.
Maintenant le négatif : le plus gros point faible du film : c'est long, loooong, très looooooong. J'ai rarement autant regardé ma montre dans une salle de cinéma. La première demi heure est très accrochante et m'a fait rentré dans le film. Mais alors après, c'est le néant. Il ne se passe absolument rien, le récit n'avance pas. On retourne dans le film pour les 20 dernières minutes pour le dénouement.
Je suis très déçu par la description faite du film. De mon point de vue, c'est un mélodrame, et absolument pas un film à énigme ou policier. L'affaire judiciaire doit occuper vingt minutes du film. Et le reste c'est un basique triangle amoureux, vu et revu. La fin est bâclée et expédiée et avec très peu voir pas d'explications.
Concernant les acteurs, ils sont "potables" : à mon sens rien d'exceptionnel, mais ils font le job.
Honnêtement, ce film se voit à la télé, je pense qu'il y a d'autres films à privilégier en ce moment à voir au cinéma.
Mais je vais commencer par le positif : les paysages sont très beaux, et le marais est très bien caractérisé et devient un personnage à part entière du film. Ce cadre étant assez rare dans les films, j'ai apprécié.
Maintenant le négatif : le plus gros point faible du film : c'est long, loooong, très looooooong. J'ai rarement autant regardé ma montre dans une salle de cinéma. La première demi heure est très accrochante et m'a fait rentré dans le film. Mais alors après, c'est le néant. Il ne se passe absolument rien, le récit n'avance pas. On retourne dans le film pour les 20 dernières minutes pour le dénouement.
Je suis très déçu par la description faite du film. De mon point de vue, c'est un mélodrame, et absolument pas un film à énigme ou policier. L'affaire judiciaire doit occuper vingt minutes du film. Et le reste c'est un basique triangle amoureux, vu et revu. La fin est bâclée et expédiée et avec très peu voir pas d'explications.
Concernant les acteurs, ils sont "potables" : à mon sens rien d'exceptionnel, mais ils font le job.
Honnêtement, ce film se voit à la télé, je pense qu'il y a d'autres films à privilégier en ce moment à voir au cinéma.
Somptueux de magnificence par la justesse des dialogues, la mise en évidence de la noirceur de nos âmes allant crescendo et la splendeur de la faune et de la flore.
Des comédiens habillement choisis et habités par leur rôle.
Un petit chef-d'œuvre de simplicité
Des comédiens habillement choisis et habités par leur rôle.
Un petit chef-d'œuvre de simplicité
Un film prenant du début à la fin.
Une héroïne attachante et émouvante, qu'on souhaite voir s'en sortir et avec qui on a envie de se battre jusqu'à la fin (que je ne dévoilerai pas...)
Les paysages sont magnifiques.
Un film qui délivre un beau message d'espoir, d'autant plus qu'il se déroule à une époque raciste et sexiste où une femme se bat seule dans un monde d'hommes qui veulent la contrôler, une femme courageuse qui assume sa différence, son indépendance et ses convictions. Je le recommande.
Une héroïne attachante et émouvante, qu'on souhaite voir s'en sortir et avec qui on a envie de se battre jusqu'à la fin (que je ne dévoilerai pas...)
Les paysages sont magnifiques.
Un film qui délivre un beau message d'espoir, d'autant plus qu'il se déroule à une époque raciste et sexiste où une femme se bat seule dans un monde d'hommes qui veulent la contrôler, une femme courageuse qui assume sa différence, son indépendance et ses convictions. Je le recommande.
Un film qui commence bien,bons acteurs,mais au bout d un moment trop de longueur, de prises de vues répétitives, bref beaucoup trop long et sans grand intérêt. Decue.
J'ai aimé l'atmosphère de ce film.. les magnifiques paysages des marécages, la langueur mais pas la lenteur..
l'actrice joue très juste, il est difficile de ne pas être en empathie avec elle et la fin du film n'y changera rien
l'éloge à la solitude aussi qui vaut mieux que de brefs moments mal partagés
l'actrice joue très juste, il est difficile de ne pas être en empathie avec elle et la fin du film n'y changera rien
l'éloge à la solitude aussi qui vaut mieux que de brefs moments mal partagés
Des paysages superbes et une mise en valeur de toute beauté de la nature, un suspense jusqu'au bout, on sort revigoré de ce film qui donne envie de le revoir.
Un film qui permet de se plonger dans un autre monde, au plus près de la nature et de la faune sauvage et de ceux qui l'observent et la respectent. Une adaptation très fidèle au roman éponyme et qui permet d'en visualiser le décor. Même si je m'attendais à une Kya moins tirée à quatre épingles.... Le jeu des acteurs est bon dans l'ensemble et on passe un très bon moment dans cette atmosphère si unique. Avec le suspense du livre qui est aussi présent.
La loi de la nature n'est pas forcément celle de la jungle!
Un scenario bien ecrit, des acteurs justes et émouvants, le tout bien mis en valeur à l'écran.
Un dosage parfait entre drame et romance qui nous tient en haleine jusqu'au bout !
A voir absolument
Un scenario bien ecrit, des acteurs justes et émouvants, le tout bien mis en valeur à l'écran.
Un dosage parfait entre drame et romance qui nous tient en haleine jusqu'au bout !
A voir absolument
Quelques lenteurs dans le film, mais qui servent je pense au déroulement de l'histoire.
C'est une jolie production d'un roman qui met en avant la nature, l'introversion toujours dénigré ( à tort, au regard des belles qualités que possèdent les humains introvertis) dans nos sociétés, et sur le fait d'être " à part ".
Des sujets qui toucheront certaines personnes.
On voit le personnage évoluer et le suspens est la sur la dernière heure avec cette affaire de meurtre dont le personnage principal est accusé, jusqu'à une fin que je n'attendais pas du tout ( et ça c'est rare aprés 15 ans d'abonnement au cinéma).
C'est une jolie production d'un roman qui met en avant la nature, l'introversion toujours dénigré ( à tort, au regard des belles qualités que possèdent les humains introvertis) dans nos sociétés, et sur le fait d'être " à part ".
Des sujets qui toucheront certaines personnes.
On voit le personnage évoluer et le suspens est la sur la dernière heure avec cette affaire de meurtre dont le personnage principal est accusé, jusqu'à une fin que je n'attendais pas du tout ( et ça c'est rare aprés 15 ans d'abonnement au cinéma).
LA OU CHANTENT LES ECREVISSES est l'adaptation cinématographique d'un des récents phénomènes littéraires. Delia Owens est née en 1949 en Géorgie, aux Etats-Unis. Diplômée en zoologie et biologie, elle a vécu plus de vingt ans en Afrique et a publié trois ouvrages consacrés à la nature et aux animaux, tous best-sellers aux USA.
« Là où chantent les écrevisses » est son premier roman. Phénomène d’édition, ce livre a déjà conquis des millions de lecteurs et poursuit son incroyable destinée dans le monde entier. J’avais lu le roman à sa sortie en France, surpris par l’étrangeté du titre, et j’avais été conquis par ce gros pavé de près de 500 pages…malgré cette invraisemblance où une jeune fille, dont la famille a littéralement explosé face à la violence du père, se retrouve à une dizaine d’années à vivre seule dans les marécages en Caroline du Nord, en se cachant des service sociaux et survivant en ramassant des moules qu’elle revend à l’épicerie du coin. ? Kya y réussi et pour les habitants de la petite ville de Barkeley Cove qui entrevoient parfois la solitaire elle devient « la fille des marais » celle qu’on guette, celle sur qui on murmure sans aménité, celle à qui l’école se refuse, entre mépris, rejet et fascination et plus tard, celle que l’on accuse quand survient un meurtre…
Le marais a souvent été le refuge des laissés-pour-compte. Inhospitalier mais à l’abri de la cruauté de la civilisation…Le film mêle les deux dans un clair-obscur élégiaque et un brin sirupeux. À l’image de la sublime lumière d’été rasante qui nappe cette lagune de Barkley Cove, en Caroline du Nord, repaire des hérons, des pélicans et de Kya. Marécages moites, cabane dans les bois et forêts obscures : avant d’être une histoire d’amour et une énigme policière, « Là où chante les écrevisses » est avant tout une ode à la nature de la Caroline du Nord et à sa liberté. Faisant la part belle aux oiseaux, dont les plumes peuplent la maisonnette de l’héroïne, aux plantes et à l’appel du grand air, le film se veut l’une de ces œuvres où le paysage est un personnage à part entière ; “certains peuvent vivre loin de la vie sauvage, d’autres ne peuvent pas”, résume l’héroïne Kya en citant les mots de l’écologiste Aldo Leopold.
Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transformant la jeune fille à jamais et en faisant une auteure reconnue d’ouvrages naturalistes… Mais Tate, appelé par ses études, l’abandonne à son tour.
La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie et lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même…
C’est une belle histoire au sens profond, dans la façon de la raconter, dans la beauté de la nature dans laquelle l’action se déroule, la très belle photographie, une interprétation de très grande qualité. Et, pour finir, « Carolina », une très belle chanson de Taylor Swift, écrite pour le film et qu’on entend durant le générique de fin….
D’aucun parleront de mièvrerie envahissante, d’un film trop lisse et insipide…Apparemment le public l’a vu autrement et a aimé, moi aussi !!!
« Là où chantent les écrevisses » est son premier roman. Phénomène d’édition, ce livre a déjà conquis des millions de lecteurs et poursuit son incroyable destinée dans le monde entier. J’avais lu le roman à sa sortie en France, surpris par l’étrangeté du titre, et j’avais été conquis par ce gros pavé de près de 500 pages…malgré cette invraisemblance où une jeune fille, dont la famille a littéralement explosé face à la violence du père, se retrouve à une dizaine d’années à vivre seule dans les marécages en Caroline du Nord, en se cachant des service sociaux et survivant en ramassant des moules qu’elle revend à l’épicerie du coin. ? Kya y réussi et pour les habitants de la petite ville de Barkeley Cove qui entrevoient parfois la solitaire elle devient « la fille des marais » celle qu’on guette, celle sur qui on murmure sans aménité, celle à qui l’école se refuse, entre mépris, rejet et fascination et plus tard, celle que l’on accuse quand survient un meurtre…
Le marais a souvent été le refuge des laissés-pour-compte. Inhospitalier mais à l’abri de la cruauté de la civilisation…Le film mêle les deux dans un clair-obscur élégiaque et un brin sirupeux. À l’image de la sublime lumière d’été rasante qui nappe cette lagune de Barkley Cove, en Caroline du Nord, repaire des hérons, des pélicans et de Kya. Marécages moites, cabane dans les bois et forêts obscures : avant d’être une histoire d’amour et une énigme policière, « Là où chante les écrevisses » est avant tout une ode à la nature de la Caroline du Nord et à sa liberté. Faisant la part belle aux oiseaux, dont les plumes peuplent la maisonnette de l’héroïne, aux plantes et à l’appel du grand air, le film se veut l’une de ces œuvres où le paysage est un personnage à part entière ; “certains peuvent vivre loin de la vie sauvage, d’autres ne peuvent pas”, résume l’héroïne Kya en citant les mots de l’écologiste Aldo Leopold.
Sa rencontre avec Tate, un jeune homme doux et cultivé qui lui apprend à lire et à écrire, lui fait découvrir la science et la poésie, transformant la jeune fille à jamais et en faisant une auteure reconnue d’ouvrages naturalistes… Mais Tate, appelé par ses études, l’abandonne à son tour.
La solitude devient si pesante que Kya ne se méfie pas assez de celui qui va bientôt croiser son chemin et lui promettre une autre vie et lorsque l’irréparable se produit, elle ne peut plus compter que sur elle-même…
C’est une belle histoire au sens profond, dans la façon de la raconter, dans la beauté de la nature dans laquelle l’action se déroule, la très belle photographie, une interprétation de très grande qualité. Et, pour finir, « Carolina », une très belle chanson de Taylor Swift, écrite pour le film et qu’on entend durant le générique de fin….
D’aucun parleront de mièvrerie envahissante, d’un film trop lisse et insipide…Apparemment le public l’a vu autrement et a aimé, moi aussi !!!
Je m'attendais à un film à suspens bourré d'énigme, j'ai eu une romance fade aux airs niais. Le film baigne cependant dans un décor magnifique mais à longueur de temps il s'enlise dans une histoire boueuse entre des amourettes godiches et un procès peu haletant... Assez déçu : 1 étoile de plus pour les décors et la métaphore naturaliste qui questionne nos comportements.
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