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Kat's eyes
37 abonnés
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2,5
Publiée le 19 avril 2023
Une relecture féminine et féministe des mythes fondateurs américains comme Tom Sawyer et Huckleberry Finn. C'est intéressant, romanesque mais absolument pas crédible. Dommage car la distribution était plutôt brillante grâce au génial David Strathairn et à Harris Dickinson, à contre-emploi. L'image et la photo sont superbes mais le scénario est discutable.
« Là ou chantent les écrevisses », permet de suivre l’itinéraire de vie de la jeune Kya (Daisy Edgar-Jones) , sorte d’enfant sauvage qui devra apprendre à vivre seule dés son plus jeune âge dans les marécages de Caroline du Nord dans les années 60. Elle apprivoisera la faune et la flore mais aura plus de difficultés avec les humains de la petite ville voisine (Barkley Cove) qui la considéreront toujours comme une marginale infréquentable et arriérée. Drame et romance vont émailler ce parcours et le seul grand intérêt du film est cette ode à la nature. Tourné en décors naturels, le film bénéficie d’une belle photographie et nous dépayse vraiment. Pour le reste, c’est sagement (platement) mis en images et sans réelle surprise. Et c’est avec de grosses ficelles que bons sentiments, discours féministe sont mis en avant. C’est du cinéma « pépére », ça se laisse gentiment regarder et la chanson de Taylor Swift qui accompagne le générique de fin est plutôt réussie.
Un magnifique film, fidèle au roman éponyme. L'histoire imbrique avec art, un thriller juridique, une romance, une énigme policière et une ode à la nature. Du beau cinéma. Le spectateur est maintenu en haleine du début à la fin. Que demander de plus à un film qui vous emporte ?
Film qui malheureusement m’a ennuyée tout au long de sa projection.
Comparé au livre, il ne parvient pas à capturer la même richesse et la même profondeur. J’ai eu du mal avec la performance de l’actrice principale qui m’a semblé plutôt superficielle.
Cependant, il faut noter que les décors sont vraiment un point positif, ajoutant une touche visuelle agréable au film.
"Ah oui, 'Là où chantent les écrevisses', un film qui m'a vraiment touché. Daisy Edgar-Jones est incroyable dans son rôle, elle donne vie à ce personnage avec tant d'émotion. L'histoire est captivante, même si parfois elle traîne un peu en longueur. Mais bon, ça vaut le coup pour l'intrigue et les rebondissements. Je lui donnerais un bon 3/5 (6/10), surtout pour les performances des acteurs et l'ambiance générale du film."
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Le film raconte l’histoire d’une jeune femme, Catherine Danielle Clark dite Kya, abandonnée par son père violent (après le départ de sa mère et de ses frères dont le dernier lui conseille de s’enfuir « là ou chantent les écrevisses ») en 1953 dans un marais de Caroline du Nord, près d'un village de pêcheurs. Il a des qualités cinématographiques grâce à la présence d’acteurs peu connus (Daisy EDGAR-JONES, 24 ans pour Kya, Taylor John SMITH, 27 ans et Harris DICKINSON, 26 ans), une superbe photographie des extérieurs (rendant hommage à la beauté des marais et de l’avifaune, notamment en Louisiane) et une façon fluide de filmer. Seul point faible, le scénario et donc le roman qui touche à tout : ode à la nature, enquête policière et procès en 1969 (Kya est soupçonnée d’avoir tué son second petit ami, Chase) et survie d’une enfant puis d’une adolescente orpheline, loin de l’école et sans amis. Ce mélange affadit le propos : cela commence comme un téléfilm misérabiliste (enfance de Kya), se prolonge comme un nième film pour adolescents avec les deux intrigues sentimentales de Kya avec Tate puis Chase et se termine comme un film de procès (conventionnel) et une fin convenue. N’est pas Alexandre Dumas qui veut ! Le film a, néanmoins, un côté « auberge espagnole » et chaque spectateur pourra y voir ce qu’il souhaite : opposition entre nature et civilisation façon Jean-Jacques Rousseau, société américaine où beaucoup d’hommes sont lâches (Tate, qui lui apprend à lire et à écrire), machos et violents (son père et Chase) [à part le commerçant afro-américain et l’avocat (excellent David STRATHAIRN, 73 ans, vu récemment dans « Nomadland » (2020) de Chloe Zhao], thème très actuel et le plus intéressant.
Ce film est sublime et magnifique. Le personnage de kya est si touchant son interprétation est excellente on ne peut que ressentir de la simpathie et de générosité à son égard.....Le lien qui l'uni avec la nature est hors du commun A regarder !
Tiré du roman du même nom ce film est juste MAGNIFIQUE!!!! On commence par son arrestation et son jugement pour meurtre. On part sur son passé qui nous raconte le drame familiale qu'elle à vécue avec ses frères et soeur avec leur parent sauf que tout n'est pas rose avec ce père violent et la communauté avoisinante qui se moque de sa façon de vivre...donc d'entrer on nous pose la trame de cette demoiselle qui va devoir survivre à son père et puis ensuite survivre seul . Puis une fois plus âgée la rencontre avec l'amour et ses aléas...ses joies et ses peines... et ce qui est fort c'est la façon de mêlé le procès avec son histoire jusqu'au meurtre sans le voir juste en voyant le moment de la découverte du corps. On se demande qui a tué cette personne où tout est fait pour trouver un ou des possibles coupables. Rajouter le lieu avec ce marais qui est réellement magnifique et qui donne tout cette poésie au film et avec Miss Edgar Jones qui est juste parfaite dans ce rôle!! Elle tangue avec ce côté fragile mais aussi ce côté survivante qui ne veut pas se laisser faire etc...tout est tissé pour nous faire passer un super moment avec de l'émotion tout du long...ADOOORééééé! NOTE : 9/10
Ce film est une pépite rare et qui mérite plus d'attention : Ce film nous plonge dans une histoire, celle de Kya, une femme très particulière dans une petite ville. C est touchant, c est poétique, et c est beau ! Très bonne réalisation et superbe photo : la nature est mis en lumière. Très bonne interprétation des acteurs/actrices également accompagné d une très belle musique. Un film à l eau de rose magnifique et plutôt original dans sa mise en scène ; Ce genre de film sont en réalité assez rare et sont souvent de très bons films
Ce film est un véritable bijou onirique. J'ai été subjugué aussi bien par la Nature, l'histoire, les personnages très bien interprétés. J'irai le revoir c'est sûr.
Je m'attendais à ce qu'une bonne partie du full soit axé sur les secrets d'autres habitants de cette petite ville avec des rebondissements . Il ne s'agit pour moi pas d'un thriller mais plutôt d'un drame sur le parcours difficile d'une enfant devenu femme et ces relations sentimentales
J'ai été voir le film car j'avais vraiment adoré le livre mais je dois dire que ma note aurait sans doute été un peu meilleure si je ne l'avais pas lu ...
Si le film se laisse agréablement regarder car les acteurs ne sont pas mauvais, que la géniale histoire du livre est à peu près correctement respectée (même si la chronologie est tout à fait différente) et que l'esthétique est plaisante, il laisse un arrière goût de films pour adolescents à peine pubères qui découvrent l'amour.
La réalisation ne réussit pas à retransmettre l'amour des marais, les personnages restent creux alors qu'ils sont si subtils sous la plume de Delia Owens, spoiler: le procès avec son plaidoyer et son jugement final tombent un peu à plat ...
En bref', un bon film qui se laisse regarder mais qui, comme souvent, déçoit ceux qui ont eu la chance de lire le livre...
Une romance dans les marais de Louisiane ... on en oublie le début du film avec le meurtre. Dans un décorum mis en avant de cette nature on appréciera le jeu d acteurs et cette réalisation, c est dans un second temps qu on aura le développement de l intrigue, néanmoins on passe assez bien d un thème à l autre. Et Globalement un film que j ai eu plaisir à voir ... on retiendra - il faut le noter - l excellente interprétation des rôles féminins de Kia jeune et plus grande.
Malgré un titre un peu décalé, c’est une romance attendrissante dans les décors envoutants des marais de Caroline du Nord, magnifié par une superbe photographie. Le film délivre des messages de tolérance et de discernement dans un fonctionnement de société américaine des années 60. L’actrice principale Daisy Edgar-Jones nous séduit avec ses airs de Charlotte Gainsbourg. Il y a des airs de « N'oublie jamais », d’ailleurs avec le même vol d’oies blanches.
Une ambiance lyrique et un mystère qui planent mettent en attente de ce qui n'arrive pas. Le film se perd en deuxième moitié et le message perd de sa force, c'est dommage.