Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
BIBA
par Samuel Loutaty
Une photographie magnifique qui sert d'écrin à la formidable Daisy Ridley-Jones.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par T.L.
Le tout est porté par Daisy Edgar-Jones, jusqu’ici vedette de séries, qui hérite de son premier grand rôle au cinéma. Elle incarne avec brio une héroïne en apparence délicate, mais dotée d’une redoutable force intérieure.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film haletant.
Le Dauphiné Libéré
par T.L.
Savoir porter un film sur ses épaules est une marque de star de cinéma, et Daisy Edgar-Jones est en passe de le devenir.
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Forte d’un casting de jeunes talents, Olivia Newman adapte le best-seller de Delia Owens avec talent, dans un film où pointe une rage réjouissante et communicative.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Voici
par La Rédaction
Cette adaptation, un brin édulcorée, se concentre plus sur la romance entre Kya et Tate, que sur le suspense de l'enqupete et du procès, plus intense dans le roman. Reste une belle histoire, une ode à la nature et un joli portrait de femme résiliante.
Le Figaro
par Constance Jamet
Le film ouaté et solaire d’Olivia Newman, produit par Reese Witherspoon, s’est avéré un succès au box-office américain, pourtant peu amène depuis la pandémie avec les grands sentiments. Le mérite en revient à l’interprète de Kya, Daisy Edgar-Jones. Révélée par la série Normal People, la comédienne britannique donne chair et épaisseur à une candide crédule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Le film reste très concentré sur son esthétique, oubliant souvent le rythme… Seules les histoires d’amour de Kya semblent compter. À voir surtout pour Daisy Edgar-Jones dans un rôle tout en ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette histoire à la Dickens, racontée sous la forme de flash-backs habiles, pique d’abord la curiosité avant de captiver réellement. Elle doit beaucoup à la justesse de son interprète, Daisy-Edgar Jones [...] et à la peinture de l’Amérique des sixties [...].
L'Obs
par Sophie Grassin
La nature est sublime, le propos – communauté rétive à la différence, masculinité toxique –, inattaquable, Daisy Edgar-Jones, bien jolie à regarder. Mais que tout cela manque de fièvre et de rythme !
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Le travail d’adaptation scénaristique se révèle quant à lui décevant : la fresque humaine originale laisse place à une romance mièvre et sirupeuse, jamais émouvante. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Produit par Hello Sunshine, la société de l’actrice Reese Witherspoon, qui entend valoriser les femmes, le film reprend fidèlement la trame romanesque entre enquête policière et conte d’apprentissage. Mais l’esthétisation outrancière du marais, filmé par la cheffe opératrice Polly Morgan, contredit l’histoire initiale (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Camille Nevers
Il est difficile de savoir à quoi imputer l’échec doucereux de Là où chantent les écrevisses, tant le film n’offre étonnamment aucune prise, rien de saillant et pas d’identité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par T.C.
Le film souffre d'une réalisation trop lisse et d'un travail d'écriture maladroit (...). Il vaut le coup d'oeil pour l'interprétation incandescente de Daisy Edgar-Jones.
Première
par Thierry Chèze
Et ses deux trop longues heures flirtent trop longtemps avec la mièvrerie sirupeuse pour que la partie la plus intéressante, sa dernière ligne droite enfin ambigüe, n’apparaisse crédible. Mais Là où chantent les écrevisses possède un atout majeur qui, elle, ne déçoit pas : son interprète principale (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par P.C.
On a bien du mal à ressentir de l'empathie pour l'héroïne.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Ce qui aurait dû être un récit cruel et fiévreux d’émancipation et de survie dans un monde hostile se retrouve plombé par une mièvrerie envahissante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Adrien Gombeaud
« Là où chantent les écrevisses » s'enlise dans son imagerie lisse et se noie dans ses décors de marécages. Plouf !
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Eithne O’Neill
L’impardonnable au cinéma, quel que soit le genre, est l’invraisemblable.
Télérama
par Marie Sauvion
Entre film de procès amorphe et roman-photo insipide à vague teneur féministe, un invraisemblable ratage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
Une photographie magnifique qui sert d'écrin à la formidable Daisy Ridley-Jones.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le tout est porté par Daisy Edgar-Jones, jusqu’ici vedette de séries, qui hérite de son premier grand rôle au cinéma. Elle incarne avec brio une héroïne en apparence délicate, mais dotée d’une redoutable force intérieure.
Femme Actuelle
Un film haletant.
Le Dauphiné Libéré
Savoir porter un film sur ses épaules est une marque de star de cinéma, et Daisy Edgar-Jones est en passe de le devenir.
Les Fiches du Cinéma
Forte d’un casting de jeunes talents, Olivia Newman adapte le best-seller de Delia Owens avec talent, dans un film où pointe une rage réjouissante et communicative.
Voici
Cette adaptation, un brin édulcorée, se concentre plus sur la romance entre Kya et Tate, que sur le suspense de l'enqupete et du procès, plus intense dans le roman. Reste une belle histoire, une ode à la nature et un joli portrait de femme résiliante.
Le Figaro
Le film ouaté et solaire d’Olivia Newman, produit par Reese Witherspoon, s’est avéré un succès au box-office américain, pourtant peu amène depuis la pandémie avec les grands sentiments. Le mérite en revient à l’interprète de Kya, Daisy Edgar-Jones. Révélée par la série Normal People, la comédienne britannique donne chair et épaisseur à une candide crédule.
Le Parisien
Le film reste très concentré sur son esthétique, oubliant souvent le rythme… Seules les histoires d’amour de Kya semblent compter. À voir surtout pour Daisy Edgar-Jones dans un rôle tout en ambiguïté.
Télé 7 Jours
Cette histoire à la Dickens, racontée sous la forme de flash-backs habiles, pique d’abord la curiosité avant de captiver réellement. Elle doit beaucoup à la justesse de son interprète, Daisy-Edgar Jones [...] et à la peinture de l’Amérique des sixties [...].
L'Obs
La nature est sublime, le propos – communauté rétive à la différence, masculinité toxique –, inattaquable, Daisy Edgar-Jones, bien jolie à regarder. Mais que tout cela manque de fièvre et de rythme !
Le Journal du Dimanche
Le travail d’adaptation scénaristique se révèle quant à lui décevant : la fresque humaine originale laisse place à une romance mièvre et sirupeuse, jamais émouvante. Dommage.
Le Monde
Produit par Hello Sunshine, la société de l’actrice Reese Witherspoon, qui entend valoriser les femmes, le film reprend fidèlement la trame romanesque entre enquête policière et conte d’apprentissage. Mais l’esthétisation outrancière du marais, filmé par la cheffe opératrice Polly Morgan, contredit l’histoire initiale (...).
Libération
Il est difficile de savoir à quoi imputer l’échec doucereux de Là où chantent les écrevisses, tant le film n’offre étonnamment aucune prise, rien de saillant et pas d’identité.
Ouest France
Le film souffre d'une réalisation trop lisse et d'un travail d'écriture maladroit (...). Il vaut le coup d'oeil pour l'interprétation incandescente de Daisy Edgar-Jones.
Première
Et ses deux trop longues heures flirtent trop longtemps avec la mièvrerie sirupeuse pour que la partie la plus intéressante, sa dernière ligne droite enfin ambigüe, n’apparaisse crédible. Mais Là où chantent les écrevisses possède un atout majeur qui, elle, ne déçoit pas : son interprète principale (...).
Télé Loisirs
On a bien du mal à ressentir de l'empathie pour l'héroïne.
La Voix du Nord
Ce qui aurait dû être un récit cruel et fiévreux d’émancipation et de survie dans un monde hostile se retrouve plombé par une mièvrerie envahissante.
Les Echos
« Là où chantent les écrevisses » s'enlise dans son imagerie lisse et se noie dans ses décors de marécages. Plouf !
Positif
L’impardonnable au cinéma, quel que soit le genre, est l’invraisemblable.
Télérama
Entre film de procès amorphe et roman-photo insipide à vague teneur féministe, un invraisemblable ratage.