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    L'Ennemi
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    25 critiques spectateurs

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    Cinemadourg
    Cinemadourg

    770 abonnés 1 520 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 janvier 2022
    Un homme politique connu se retrouve accusé du meurtre de sa femme, une nuit, dans une chambre d'hôtel.
    Coupable ? Innocent ? Lui seul le sait, ou pense le savoir...
    Ce thriller psychologique, porté par un Jérémie Renier toujours aussi crédible, est tout de même une petite déception tant au niveau de l'histoire assez mal fichue, qu'au niveau du rythme que l'on peut aisément qualifier de flemmard.
    Le final laisse également à désirer, on ressort de ce long-métrage frustré et avec le sentiment désagréable d'avoir vu un film pas totalement abouti.
    Bref, sans être mauvais, ce drame à la sauce "introspection de son moi profond" ne laissera pas une trace indélébile, loin s'en faut !
    Moyen, sans plus.
    Site CINEMADOURG.free.fr
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 janvier 2022
    Dans “L’ennemi”, Jérémie Renier est un beau et célèbre homme politique français. Alors qu’il est parti en Belgique avec sa femme, il se réveille un matin à ses côtés dans leur chambre d’hotel et la retrouve morte. Très vite accusé de meurtre, personne ne sait s’il est innocent ou coupable. Pourtant,chacun semble avoir son point de vue et ce ne seront pas les erreurs de traduction dans les rapports de police entre le flamand et le français qui aideront à démêler ce cauchemar. Stephan Streker signe une œuvre sur l’intime conviction de façon peut-être trop linéaire. Renier est certes irréprochable dans son jeu, mais jamais il ne s’y dégage de l’émotion. Ainsi, si le sujet est fort, le réalisateur a oublié toute l’empathie qu’il nous avait offert dans “Noces” en 2017.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Alice025
    Alice025

    1 673 abonnés 1 365 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2022
    Basé sur une histoire vraie, « l'Ennemi » n'arrive pas vraiment à captiver son spectateur...
    La femme d'un homme politique interprété par Jeremie Renier, est retrouvé morte dans leur chambre d'hôtel. Relation passionnelle mais aussi toxique, on se demande s'il a pu commettre l'irréparable.
    Le film ne va finalement pas explorer cette piste mais plutôt l'après-meurtre, les conséquences, les jugements et l'impact sur cet homme et ses proches.
    En soi, le film n'est pas mauvais, mais il a un rythme assez lent avec des scènes inutiles, on ne sait pas trop où on va parfois, manquant de tension et donc des difficultés à accrocher, malgré une bonne interprétation des acteurs.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    velocio
    velocio

    1 305 abonnés 3 138 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2022
    Même s’il n’a pas la force de "Noces", le film précédent de Stephan Streker, "L’ennemi" est un film important par ce qu’il dit sur les jugements humains, sur la faiblesse des témoignages, sur ce que représente l’intime conviction.
    Cinememories
    Cinememories

    483 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 novembre 2021
    Stephan Streker souhaite certifier sa dernière œuvre au label drame psychologique, mais qu’en est-il lorsque la tension s’effrite et que les enjeux manquent à exister ? Le fait divers dont il s’inspire aura bien secoué la Belgique, notamment du côté de l’opinion publique et c’est bien entendu à travers ce regard que le récit capte notre attention, du moins un certain moment, avant de lâcher prise sur son martyr. Il est à la fois un symbole politique et un symbole humain en disgrâce, mais c’est là qu’intervient cette fameuse chasse aux réponses. Nous n’y aurons pas droit, pas dans le formalisme que l’on aurait traité en sursis ou au détour d’une enquête. C’est un jeu de pouvoir et surtout de possession qui préoccupe cette adaptation, où les mots n’auront ni la force de convaincre, ni d’émouvoir.

    À l’échelle humaine, nous découvrons un corps gisant là et une caméra de surveillance viendra installer ce point de vue objectif et pourtant très fictif. Immunité diplomatique pour l’époux ou bien la guillotine ? On se placera entre les deux, en évoquant forcément ces frontières. Et malheureusement, il n’y aura pas assez de politique, afin d’accentuer cette descente aux enfers. Lorsque la vérité n’est plus le principal enjeu de l’intrigue, le réalisateur nous plonge dans la psyché de Louis Durieux. Jérémie Renier lui donne ainsi du crédit, de l’expression et de l’engagement dans cette partition tourmentée et réussie. Rongée par la culpabilité, on y raconte un combat contre soi, une lutte contre son ennemi intérieur. C’est celui du titre, c’est celui dont il faut à la fois dompter et respecter. Cependant, Durieux n’est conscient de rien, n’est au courant de rien. Il n’y aurait que Maëva (Alma Jodorowsky) qui tiendrait le mot final, dans une relation amoureuse passionnelle, mais fatalement étouffante pour cette dernière.

    D’autre part, la scission émotionnelle de Louis passe également par son incompréhension du flamand. Pour l’homme qui souhaitait s’asseoir en haut de la colline qu’il aura bâtie, c’est une ironie, car on ne s’investira pas dans cette voie, celui de caractériser le protagoniste par ses motivations politiques, son parti ou ses actions publiques. La culpabilité d’avoir trop aimé ou de trop avoir couvé son amour tombe dans la compréhension, au lieu de la suggestion. L’exercice semblait aller dans ce sens et, finalement, dresse un tabloïd de personnages secondaires beaucoup trop unidimensionnel pour se laisser douter. Si nous n’avons pas de verdict à donner en fin de projection, c’est avant tout à cause de la confusion qui s’est enraciné. Entre un fils fidèle à la parole de son paternel, un colocataire de fortune avec qui tout colle bien et une avocate sans nuance, tout le monde semble déjà s’être positionné. Il ne reste que le Durieux, dans sa cage de folie, qui ne se rappelle plus ou qui souhaite simplement enterrer sa dérive.

    Streker en vient à serrer l’étau sur « L’Ennemi » qui le préoccupe, celui d’une nation belge, qui a pris conscience du miroir qui se tenait en face d’eaux, suite au drame. Le film ne mène pas le front dans les coulisses de la politique, car la parole est une force qui n’appartient finalement plus aux accusés. Un léger clin d’œil aux réseaux sociaux ou le martellement par procès médiatique démontre que chacun tranche, d’un avis définitif, d’un avis condamnable. Malheureusement, tout cela s’efface avec la marée, ne laissant que des imperfections en surface. Et quand bien même l’histoire puisse toucher notre sensibilité, ou même nous hanter, il manquera toujours cette étincelle pour alimenter la machinerie psychologique, que l’on désire tant s’approprier.
    Jorik V
    Jorik V

    1 274 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 novembre 2021
    La déception est de mise lorsque l’on découvre la nouvelle réalisation du cinéaste belge Stephan Streker. En effet, son précédent long-métrage, « Noces », était un petit chef-d’œuvre dramatique sous tension. Un véritable choc. Ce qui n’est absolument pas le cas de ce nouveau film. « L’ennemi » oscille entre la tragédie amoureuse, le film carcéral et un soupçon de suspense concernant le fait de savoir si ou non Louis Durieux, le personnage principal, est coupable du meurtre de sa femme. Mais il ne nous convainc sur aucun des genres qu’il emprunte. Et on se demande à la fin de la projection quelles étaient les réelles intentions du cinéaste tant le film se suit sans passion ni vraiment de ligne narrative claire.



    Le sujet d’une relation toxique et passionnelle qui aboutit à un drame mortel semblait intéressant, que ce soit sur son versant tragique ou sur celui du thriller. Dans les deux cas, cela ne fonctionne pas vraiment et ni l’émotion ni le suspense ne sont au rendez-vous, la faute à un montage erratique et une totale absence de tension. Jérémie Rénier s’avère convaincant dans le rôle d’un jeune député à la carrière prometteuse mais la postiche qu’on lui affuble n’est pas du meilleur effet et court-circuite quelque peu son jeu. Les seconds rôles sont mieux lotis. Nadia Jodorowsky, qui joue sa femme, est en revanche crédible dans le peu de scènes lui étant impartie. Félix Maritaud joue quant à lui un codétenu qui sort des clichés avec brio quand Zacharie Chasseriaud, découvert dans « Les Géants » de Bouli Lanners, est très juste dans le rôle du fils empathique et compréhensif.



    Mais malheureusement, malgré une distribution concernée, « L’ennemi » ne parvient pas à capter notre attention sur la durée. Intrigant au début bien que nanti d’allers et retours dans le temps inutiles, un peu long à l’allumage et finalement doté d’un script qui tourne en rond et part dans trop de directions, le long-métrage nous apparaît inabouti. Il y a quelques dialogues bien sentis (la tirade d’Emmanuelle Bercot sur les médias et la justice est d’une objectivité rare) et quelques scènes réussies qui empêchent le film d’être totalement raté mais le film de Ketzer est à mille lieux de la maestria et de la puissance émotionnelle de « Noces ». Avec un tel sujet il y avait de quoi faire un bien meilleur film mais qu’on ne verra jamais. Même la psychologie du personnage principal nous apparaît hermétique tout comme la conclusion de tout cela, bien trop mystérieuse pour être pertinente. On peut passer son chemin, si le film n’est pas mauvais, ce n’est pas une réussite non plus.



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    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    71 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 juillet 2021
    L'Ennemi est un film que j'ai découvert lors du Festival du Film Policier de Reims.
    Sur le papier, je trouvais ce film prometteur et ce fut finalement un échec cuisant. Arrivée à la fin du film, j'attendais encore que l'histoire commence. L'Affaire Wesphael est traitée de manière maladroite et inexacte. La connaissant par les journaux et le documentaire Netflix, je n'ai pas su me retrouver dans l'Histoire. Les acteurs auraient pu être bons, mais malheureusement, un scénario tel ne leur permet peut-être pas d'être à leur avantage.
    DaeHanMinGuk
    DaeHanMinGuk

    184 abonnés 2 270 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2021
    Vu en avant-première dans le cadre du Festival du Film Policier « Reims Polar », L’Ennemi est un bel exemple, pêle-mêle, des redoutables erreurs de traduction dans les procédures judiciaires d’un pays qui a deux langues – la Belgique –, de la vie en prison, des dangers de l’alcool, de l’amour vache, et même osons le mot du féminicide, et de la face sombre de certaines personnalités. Mais même si l’interprétation est parfaite, le sujet a du mal à tenir la distance de ses 104 minutes. A noter la très belle affiche du film.
    mat niro
    mat niro

    356 abonnés 1 828 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2021
    Meurtre ou pas? Voila la question qui se pose dans ce film où Jérémie Renier incarne un homme politique influent qui va lors d'un week-end en bord de mer tuer, ou pas, sa compagne. Sans en dire trop, le film est assez frustrant à voir. La partie carcérale est sans aucun doute le point fort avec la dure réalité de la vie à l'intérieur mais aussi la naissance d'une belle amitié. Sinon, l'ensemble n'est guère convaincant et malgré le fait que le film soit librement inspiré d'une histoire vraie, j'ai trouvé que ce long-métrage manquait de tension et laissait le spectateur sur sa faim. Décevant.
    Sterwerze
    Sterwerze

    34 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 septembre 2020
    L'Ennemi est sûrement le film OVNI de cette édition du festival du film francophone d'Angoulême.
    les acteurs sont très bons, le montage également et on sens que le réalisateur a bien retransmis les émotions. Malheureusement le film est bien trop prise de tête.
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