Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Entre thriller apocalyptique et huis clos étouffant, ce blockbuster de fin d’année joue à nous perdre au fil de son récit riche en surprises et offre un rôle en or à la comédienne américaine.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Grinçant, inquiétant, « Le Monde après nous » est une réussite à hauteur de son pessimisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Caroline Vié
Le cauchemar que fait partager Le Monde après nous trouve un juste équilibre entre scènes spectaculaires et moments intimistes pour faire monter le suspense.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Empreint de l'esprit du Shyamalan des grands jours, "Le Monde après nous" convoque autant les peurs et les divisions de l'époque que les obsessions plus personnelles de son auteur réalisateur - le poids écrasant de la technologie, sa place dans nos vies - en une sorte de grand-huit joueur et inquiet, à l'impact indéniable.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
La fiction semble plus proche que jamais du réel dans "Le Monde après nous", et venant d'un thriller apocalyptique, ça n'a rien de rassurant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Constance Jamet
Avec Le Monde après nous, adaptation pour Netflix du roman de Rumaan Alam, le couple présidentiel fait une entrée fracassante dans l'univers du blockbuster, aidé par l'instinct hitchcockien de leur réalisateur Sam Esmail et de sa collaboratrice fétiche Julia Roberts.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
"Le Monde après nous" est une très belle surprise qui dresse le portrait malheureusement bien moins reluisant d'une société au bord du gouffre peut-être un peu trop crédible pour notre propre bien. Le pendant paranoïaque de "Don't Look Up" porté par un casting solide et un Sam Esmail bourré d'idées pour nous déstabiliser à la manœuvre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Thomas Sotinel
Entre les morceaux de bravoure (ils sont assez réussis pour ne pas les énumérer, tout le plaisir est dans la nouveauté et l’excellence des effets spéciaux numériques), les acteurs esquissent ce que pourrait être le monde d’après.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Adapté du roman du même nom signé Rumaan Alam en 2020, Le Monde après nous, malgré son pessimisme, s'efforce, in extremis, de nous adresser une petite lueur d'espoir. Un choix gonflé mais qui sonne juste, à l'image de ce film à gros budget et haut risque ne sombrant jamais dans l'outrance.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par François Léger
Le créateur de "Mr. Robot" remet Julia Roberts en selle et creuse son obsession pour la fragilité de nos infrastructures numériques. Presque épatant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Glaçant et percutant.
Télé Loisirs
par Léontine Behaeghel
Malgré quelques effets de style parfois répétitifs, ce (quasi) huis-clos angoissant, s'il n'est pas un chef-d'œuvre pour autant, reste très divertissant et sans aucun doute prenant.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Bref, le fond est bien là, les thèmes aussi… et pourtant, quelque chose cloche. Pour filmer ce qui ressemble, dans sa grande majorité, à un huis clos, Sam Esmail multiplie les angles alambiqués et les travellings impossibles à travers les murs. Dans quel but ? On ne sait pas.
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Un thriller psychologique dont la réalisation est trop alambiquée pour être une réussite.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le film semble naviguer à vue, jouant la montre à coup de conciliabules verbeux, raccroché à des interrogations philosophiques d’un faible niveau d’originalité et de maturité, et finissant par tout dévoiler, ce qui le prive d’une bonne partie de son intérêt.
Libération
par Sandra Onana
Il faudrait n’avoir jamais vu de cinéma « de genre » ces vingt dernières années pour ne pas remarquer l’absence de personnalité flagrante du film, qui commet l’exploit de ressembler à tout ce qui se fait au rayon terreurs au XXI siècle – mais littéralement tout, de la satire pop à l’épouvante « conscientisée » dernière manière, comme si actionner tous les boutons garantissait d’en trouver un qui marche.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Parisien
Entre thriller apocalyptique et huis clos étouffant, ce blockbuster de fin d’année joue à nous perdre au fil de son récit riche en surprises et offre un rôle en or à la comédienne américaine.
Les Echos
Grinçant, inquiétant, « Le Monde après nous » est une réussite à hauteur de son pessimisme.
20 Minutes
Le cauchemar que fait partager Le Monde après nous trouve un juste équilibre entre scènes spectaculaires et moments intimistes pour faire monter le suspense.
CinemaTeaser
Empreint de l'esprit du Shyamalan des grands jours, "Le Monde après nous" convoque autant les peurs et les divisions de l'époque que les obsessions plus personnelles de son auteur réalisateur - le poids écrasant de la technologie, sa place dans nos vies - en une sorte de grand-huit joueur et inquiet, à l'impact indéniable.
Ecran Large
La fiction semble plus proche que jamais du réel dans "Le Monde après nous", et venant d'un thriller apocalyptique, ça n'a rien de rassurant.
Le Figaro
Avec Le Monde après nous, adaptation pour Netflix du roman de Rumaan Alam, le couple présidentiel fait une entrée fracassante dans l'univers du blockbuster, aidé par l'instinct hitchcockien de leur réalisateur Sam Esmail et de sa collaboratrice fétiche Julia Roberts.
Le Journal du Geek
"Le Monde après nous" est une très belle surprise qui dresse le portrait malheureusement bien moins reluisant d'une société au bord du gouffre peut-être un peu trop crédible pour notre propre bien. Le pendant paranoïaque de "Don't Look Up" porté par un casting solide et un Sam Esmail bourré d'idées pour nous déstabiliser à la manœuvre.
Le Monde
Entre les morceaux de bravoure (ils sont assez réussis pour ne pas les énumérer, tout le plaisir est dans la nouveauté et l’excellence des effets spéciaux numériques), les acteurs esquissent ce que pourrait être le monde d’après.
Le Point
Adapté du roman du même nom signé Rumaan Alam en 2020, Le Monde après nous, malgré son pessimisme, s'efforce, in extremis, de nous adresser une petite lueur d'espoir. Un choix gonflé mais qui sonne juste, à l'image de ce film à gros budget et haut risque ne sombrant jamais dans l'outrance.
Première
Le créateur de "Mr. Robot" remet Julia Roberts en selle et creuse son obsession pour la fragilité de nos infrastructures numériques. Presque épatant.
Télé 7 Jours
Glaçant et percutant.
Télé Loisirs
Malgré quelques effets de style parfois répétitifs, ce (quasi) huis-clos angoissant, s'il n'est pas un chef-d'œuvre pour autant, reste très divertissant et sans aucun doute prenant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Bref, le fond est bien là, les thèmes aussi… et pourtant, quelque chose cloche. Pour filmer ce qui ressemble, dans sa grande majorité, à un huis clos, Sam Esmail multiplie les angles alambiqués et les travellings impossibles à travers les murs. Dans quel but ? On ne sait pas.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller psychologique dont la réalisation est trop alambiquée pour être une réussite.
Les Inrockuptibles
Le film semble naviguer à vue, jouant la montre à coup de conciliabules verbeux, raccroché à des interrogations philosophiques d’un faible niveau d’originalité et de maturité, et finissant par tout dévoiler, ce qui le prive d’une bonne partie de son intérêt.
Libération
Il faudrait n’avoir jamais vu de cinéma « de genre » ces vingt dernières années pour ne pas remarquer l’absence de personnalité flagrante du film, qui commet l’exploit de ressembler à tout ce qui se fait au rayon terreurs au XXI siècle – mais littéralement tout, de la satire pop à l’épouvante « conscientisée » dernière manière, comme si actionner tous les boutons garantissait d’en trouver un qui marche.