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annatar003
64 abonnés
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1,0
Publiée le 7 septembre 2011
Cherchant à l'aveuglette un point entre l'horreur et l'humour, "Arac Attack, les montres à huit pattes" est un navet pur et dur. Ne parvenant qu'à nous tirer quelques sourires lors de brefs instants, ce long-métrage d'Ellory Elkayem est parvenu à s’enfoncer au plus profond de la nullité, là où peu de films ont déjà mis les pieds. Se voulant proche de la série B (pour le côté comique) tout en rendant hommage aux films cultes des années 50 (personnellement je n'y ai vu aucune référence) la réalisatrice semble croire au sérieux de son film à notre plus grand désespoir. Pas étonnant qu'on ne l'ai pas revue depuis. Pour empirer les choses, les effets spéciaux sont plus que minables et je m'interroge sur certains commentaires concernant ce point. Conformément en accord avec une série B pour le coût, ils s'empêchent de prendre au sérieux ces gros monstres. Le pire est bien sûr à venir : Les dialogues et le scénario. Provenant certainement d'une esquisse d'un travail d'un élève de CM1, le scénario est 6 pieds sous terre avant même la première demi-heure. Les interactions entre les personnages sont très classiques et créer un ennuie déjà fortement implanté. Le mystère de ce film réside certainement dans la présence de Scarlett Johansson qui, bien qu'elle n'était pas encore très connue à l'époque, est assez insolite pour l'occasion. Ne souhaitant m'attarder plus longtemps sur un déchet pareil je vous conseillerai seulement de sagement passer votre chemin et de vous tourner vers "Bienvenu à Zombieland" qui est la référence en la matière de ces dernières années.
Rien de bien nouveau dans le genre de film avec des animaux géants, mal fait, mal interprété, mal dialogué, sans once d'humour ou de frisson. Un de plus à éviter.
une petit série b a voir vite fait les acteur sont pas terrible l'histoire tien sur deux ligne seul les effet spéciaux sont pas trop mal pour cette époque.
Une grosse série B qui doit être regardé sous l'emprise de produits stupéfiants ou d'une grosse gueule de bois, au choix. Scarlett Johanson doit avoir toutes les peines du monde à faire disparaitre cette ligne de sa filmo.
ARACHNID. Là, point de Spiderman, on est plus prés de Mars Attack et de La Guerre Des Mondes en beaucoup plus niais. L'humour infecté ravivera seulement les fans des séries d'horreur.
Un bon nanar, complètement assumé. C'est bien débile, avec des scènes vraiment comiques pour un film classé "horreur". De plus, la musique semble être tout droit sortie d'une production Walt Disney. Mais enfin, pour passer le temps, pourquoi pas ?
Injustement considéré comme film culte par l'ensemble d'une génération, le premier film made in Cinéma d' Ellory Elkayem n'a guère l'ambition d'un film d'horreur contemporain, tant l'humour et le ton de la production se montrent creux. Et c'est d'ailleurs dès les premières images que chacun pourra se rendre compte de la niaiserie scénaristique d'Arac attack, un mélange des genres qui, au final, ne se prend guère au sérieux. Cependant, et il faudra l'avouer, le spectateur a de grandes chances de trouver en l'essence même de ce film ce qu'il réellement venu chercher, à savoir la pause détente du dimanche sous un jour de pluie.
Il faut regarder ce film sans se prendre la tete ni le prendre au serieux. Evidemment que c'est exagerrer et stereotype, mais le divertissement est la. Des acteurs sympathiques et des belles araignees bien affamees.
Divertissement bien joviale et à regarder avec un paquet de pop-corn. Le tout produit par Roland Emmerich qui d'ailleurs je le préfère sur ce poste plus que réalisateur. Je me suis bien fendu la gueule au point que moi-même j'aurai voulu casser des araignées (je repense encore au passage à l'extérieur et intérieur du centre commercial), et que dire des araignées sauteuse. On se dit aussi que le film est sous une sauce Joe Dante à mort. Ne pas oublier la bonne surprise de voir l'acteur Doug E. Doug (Rasta Rocket), je termine avec l'adolescente Scarlett, toute croquante mais aussi craquante (belle paire de seins), à cette époque de sa jeunesse j'aurai bien voulu la voir jouer dans une production ou réalisation de Spielberg.
Encore plus laid que son affiche (si si, c'est possible), Arac Attack ne nous a fait courir un frisson qu'à un unique moment, lorsqu'on nous présente les vraies bébêtes dans leur vivarium au début du film, avant leur transformation qui gâche tout par sa ringardise instantanée. On ne peut, par égard pour ceux qui méritent ce titre, dire de ce navet qu'il tient du nanar, car il se prend bien au sérieux (il se croit drôle, et bien fait, le combo-pack du navet affligeant) et il s'offre tout de même un beau panel de producteurs (ceux d'Independance Day, à hauteur de 30 millions de dollars, quand on voit le résultat visuel : où est passé l'argent ?!). David Arquette, notre Dewey de cœur, s'enterre dans ce film qui ne lui rend pas hommage, Scarlett Johansson est là (c'est tout, elle est là), les répliques tentent des jeux de mots très puérils qui ne nous tirent jamais un sourire, les sursauts sont téléphonés, les animatroniques nous font regretter ceux (animés à la truelle, mais ultra beaux à l'arrêt) de Jumanji, et le pire restera certainement, on en conviendra tous, ces animations numériques qui donnent des envies de se jeter sur le bas-côté. Ni la forme, ni la couleur, les contours, les mouvements, à peu près n'importe quel élément auquel on peut penser dans de l'animation numérique, n'est correct (on ne demande même pas joli), tout est ignoble, incohérent, incompréhensible (on peut faire pause sur les araignées sauteuses, ça ne change rien à la bouillie qu'on croyait voir, et qui est effectivement réelle). Étant pourtant copieusement phobique de nos amies à huit pattes (damned, l'ouverture à l'animalerie nous a fait transpirer...), on n'a pas levé une paupière pour leurs versions agrandies. Encore faudrait-il comprendre ce qu'on regarde. En 2002, notre terreur "araignées", restera donc Harry Potter et la Chambre des Secrets.
L’hommage rendu par Arrac Attack au cinéma bis des années 50 – on pense beaucoup à Them ! de Gordon Douglas, sorti en 1954, ou à Tarantula ! de Jack Arnold, sorti l’année suivante – va jusqu’à rejouer la bipolarité du scénario, d’abord figé dans ses interminables séquences d’exposition (première moitié) puis rythmé et généreux dans ses effets horrifico-parodiques (seconde moitié). La partition musicale que signe John Ottman laisse d’ailleurs entendre cette métamorphose interne au récit par l’arrivée du thème principal aussitôt la ville envahie. La laideur de l’animation numérique, d’abord subie par le spectateur contemporain, fait peu à peu sens : elle dénote à l’image, par les moyens qui sont ceux de l’époque, les artifices mis en place par le film pour confronter ses comédiens à la menace animale, non plus la rétroprojection de l’araignée comme le proposaient les œuvres précédemment citées mais une alternance entre effets spéciaux majoritaires pour les plans d’ensemble et maquettes des pattes géantes pour les plans rapprochés. Le caractère hideux des bestioles générées par ordinateur explicite la facticité d’une telle invasion et mime un budget modeste – alors qu’il représente 30 millions de dollars –, contribue en cela à l’imagerie bis ici revendiquée. Même remarque pour l’interprétation des comédiens, en particulier celle de David Arquette, calamiteuse mais, semble-t-il, assumée… Le résultat est amusant, fidèle à un postulat qui demeure cependant strictement référentiel et récréatif.
Invasion d'araignées géantes ! Si vous souhaitez vous faire un petit moment de frayeur et mettre votre arachnophobie à rude épreuve, rebroussez chemin, "Arac attack, les monstres à huit pattes" est bien une comédie où règne le second degré. Si ce grossier ton "comique" n'était pas de la partie, on ne serait pas loin du film catastrophe à la Emmerich (bien que ses films soient aussi comiques à leur manière), et ce n'est pas pour rien que ce dernier sera compté parmi les producteurs du film. "Arac attack, les monstres à huit pattes" est une série B quasi culte, bien que son soit-disant comique peinera à provoquer chez nous le moindre sourire.