Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance : Critique presse
Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance
Note moyenne
3,9
14 titres de presse
GQ
Première
Télé Loisirs
CinemaTeaser
Critikat.com
Ecran Large
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Télérama
Les Echos
Positif
Télé 7 Jours
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
GQ
par Adam Sanchez
On nage dans Apollo 10 ½ comme dans un rêve à moitié éveillé, traversant les images avec une insouciance rare dans le cinéma américain, sans jamais pour autant se délester d'un regard critique.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Première
par Frédéric Foubert
Richard Linklater, comme à son habitude, a fabriqué une puissante petite machine théorique et poétique. Expert en films « à hauteur d’enfant » (Boyhood), en odyssées miniatures (la trilogie Before), en recréations de micro-événements perdus dans les limbes du temps (Génération rebelle), il traque ici l’instant fugace, insaisissable, où la mémoire nous joue un tour, où l’imaginaire, la fiction, le fantasme, viennent pirater la réalité de nos expériences vécues, et remodeler nos souvenirs à leur guise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Émilie Leoni
Fabuleux. Merveilleux. Magistral. Un régal. Les superlatifs ne nous manquent pas pour qualifier Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance, tant la nouvelle pépite du cinéaste américain Richard Linklater (Boyhood, Rock Academy, la trilogie Before...) nous a séduit.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Étrange et pourtant d’une redoutable efficacité, cette animation condense tout ce que l’on aime chez Richard Linklater.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Marin Gérard
Porté par un appétit nostalgique mais aussi une grande mélancolie, Apollo 10½ offre un écrin onirique à l'art naïf et bouleversant de Richard Linklater.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Antoine Desrues
Avec une facilité presque désarmante, Richard Linklater signe avec Apollo 10 ½ une chronique d'une incroyable douceur sur l'enfance et ses rêves. Une synthèse merveilleuse de ses précédents films, mais surtout un bonbon sucré qui fait un bien fou !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Comme souvent chez Linklater, la capacité à sublimer ces instants du quotidien finit par déchirer. Personne mieux que lui n’en saisit l’éphémère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Avec son film le plus autobiographique, Linklater signe également l’un de ses plus limpides, une comédie douce et radieuse à laquelle la technique d’animation apporte un petit plus expressionniste.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
En apparence un film doudou pour boomer, Apollo 10 ½ se révèle progressivement comme l’exploration lucide d’un paradis perdu, perdu à jamais, mais qui nous aura laissé quelques leçons utiles pour affronter le présent – ainsi qu’une palanquée de bons disques à réécouter pour l’éternité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Cécile Mury
Le monde de la fin des Trente Glorieuses vu par un jeune Américain depuis la pelouse de sa banlieue tranquille est désormais devenu une planète lointaine, que ce beau film nous invite à revisiter.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Dans un dessin animé personnel et touchant, le réalisateur de « Before Sunrise » et « Boyhood » revient sur une enfance texane et des rêves de voyages intergalactiques et raconte comment la mémoire tresse des rêves et des instants vécus, pour faire de toute vie une œuvre de fiction.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Positif
par Pierre Eisenreich
Les métamorphoses plastiques que permet le film d’animation ne sont pas exploitées, le cinéaste préférant être toujours guidé par les souvenirs empreints de « réalisme » de son narrateur. Cependant, lorsque sa voix se fait silencieuse pour nous faire partager le direct de sa mission interstellaire, la poésie de son rêve éveillé est vraiment au rendez-vous, dans la plénitude d’une douceur de l’enfance réconciliée avec elle-même, sans nostalgie.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Si, faute d’enjeu fort, le film s’apparente, parfois, à une succession de vignettes, il charme par sa tendresse, son humour farfelu et son dessin, joliment rétro.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Apollo 10 ½ dresse le portrait d’une époque révolue : celle de la jeunesse des sixties, qui cultivait la liberté et l’émancipation comme les biens les plus précieux de la vie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
GQ
On nage dans Apollo 10 ½ comme dans un rêve à moitié éveillé, traversant les images avec une insouciance rare dans le cinéma américain, sans jamais pour autant se délester d'un regard critique.
Première
Richard Linklater, comme à son habitude, a fabriqué une puissante petite machine théorique et poétique. Expert en films « à hauteur d’enfant » (Boyhood), en odyssées miniatures (la trilogie Before), en recréations de micro-événements perdus dans les limbes du temps (Génération rebelle), il traque ici l’instant fugace, insaisissable, où la mémoire nous joue un tour, où l’imaginaire, la fiction, le fantasme, viennent pirater la réalité de nos expériences vécues, et remodeler nos souvenirs à leur guise.
Télé Loisirs
Fabuleux. Merveilleux. Magistral. Un régal. Les superlatifs ne nous manquent pas pour qualifier Apollo 10 1/2 : Les fusées de mon enfance, tant la nouvelle pépite du cinéaste américain Richard Linklater (Boyhood, Rock Academy, la trilogie Before...) nous a séduit.
CinemaTeaser
Étrange et pourtant d’une redoutable efficacité, cette animation condense tout ce que l’on aime chez Richard Linklater.
Critikat.com
Porté par un appétit nostalgique mais aussi une grande mélancolie, Apollo 10½ offre un écrin onirique à l'art naïf et bouleversant de Richard Linklater.
Ecran Large
Avec une facilité presque désarmante, Richard Linklater signe avec Apollo 10 ½ une chronique d'une incroyable douceur sur l'enfance et ses rêves. Une synthèse merveilleuse de ses précédents films, mais surtout un bonbon sucré qui fait un bien fou !
Le Parisien
Comme souvent chez Linklater, la capacité à sublimer ces instants du quotidien finit par déchirer. Personne mieux que lui n’en saisit l’éphémère.
Les Fiches du Cinéma
Avec son film le plus autobiographique, Linklater signe également l’un de ses plus limpides, une comédie douce et radieuse à laquelle la technique d’animation apporte un petit plus expressionniste.
Les Inrockuptibles
En apparence un film doudou pour boomer, Apollo 10 ½ se révèle progressivement comme l’exploration lucide d’un paradis perdu, perdu à jamais, mais qui nous aura laissé quelques leçons utiles pour affronter le présent – ainsi qu’une palanquée de bons disques à réécouter pour l’éternité.
Télérama
Le monde de la fin des Trente Glorieuses vu par un jeune Américain depuis la pelouse de sa banlieue tranquille est désormais devenu une planète lointaine, que ce beau film nous invite à revisiter.
Les Echos
Dans un dessin animé personnel et touchant, le réalisateur de « Before Sunrise » et « Boyhood » revient sur une enfance texane et des rêves de voyages intergalactiques et raconte comment la mémoire tresse des rêves et des instants vécus, pour faire de toute vie une œuvre de fiction.
Positif
Les métamorphoses plastiques que permet le film d’animation ne sont pas exploitées, le cinéaste préférant être toujours guidé par les souvenirs empreints de « réalisme » de son narrateur. Cependant, lorsque sa voix se fait silencieuse pour nous faire partager le direct de sa mission interstellaire, la poésie de son rêve éveillé est vraiment au rendez-vous, dans la plénitude d’une douceur de l’enfance réconciliée avec elle-même, sans nostalgie.
Télé 7 Jours
Si, faute d’enjeu fort, le film s’apparente, parfois, à une succession de vignettes, il charme par sa tendresse, son humour farfelu et son dessin, joliment rétro.
aVoir-aLire.com
Apollo 10 ½ dresse le portrait d’une époque révolue : celle de la jeunesse des sixties, qui cultivait la liberté et l’émancipation comme les biens les plus précieux de la vie.