Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il s’agit surtout d’une belle histoire d’amour emportée par Pablo Pauly et la découverte Romain Eck.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par La Rédaction
La réussite esthétique du film tient dans le contraste entre les scènes de vie quotidienne, en demi-teintes mates, et l'éclat coloré du monde de la nuit.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Florent Gouëlou capte une personnalité, une nature, un univers, mais aussi une fraternité (sororité) à travers une histoire d’amour et d’amitiés. Un film sur la découverte de soi et de l'autre.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Delphine De Freitas
D’une grande douceur, le film raconte le coup de foudre entre un apprenti photographe hétéro et un jeune homme gay qui vit du drag.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Parisien
par La Rédaction
Un film touchant et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Malgré ses maladresses scénaristiques, une déclaration d'amour vibrante à la culture queer.
CNews
par La rédaction
Un premier film prometteur.
La critique complète est disponible sur le site CNews
CinemaTeaser
par Renan Cros
(...) le film embrasse trop de tons différents, de situations contradictoires pour être toujours totalement crédible dans l’évolution de son duo. Mais la performance magnétique et très physique de Pablo Pauly apporte les nuances et le trouble qui manquent parfois au scénario.
Ecran Large
par La rédaction
Avec cette thématique riche, et grâce à quelques très belles scènes (dans l'intime comme dans le spectacle), Trois nuits par semaine réussit son pari.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
Pour son premier long-métrage, à la fois ample et doux, Florent Gouelou, lui-même drag sous le nom de Javel Habibi, entraîne le spectateur en coulisses, pense à « Sueurs froides », bouscule les normes, brasse les genres (film social, road-movie), adresse un clin d’œil à « Titanic » et aborde la question de la cohabitation (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par La rédaction
Tour à tour drôle et émouvante, cette histoire d’amour flamboyante et sensible faisant l’éloge de la différence séduit par sa sincérité. Ses interprètes n’y sont pas pour rien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Non sans quelques défauts et déséquilibres, ce premier film séduit par sa sincérité et ses touchantes interprétations.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé Loisirs
par E.S.
Forte de sa remarquable interprétation et de son atmosphère romantique et très humaine, cette comédie nous dévoile l'univers délirant et anticonformiste des nuits parisiennes.
Télérama
par Frédéric Strauss
Derrière la caméra, le regard de Florent Gouëlou est en émoi aussi. Sa fascination pour les créatures transformistes est un appel du merveilleux, qui fait son chemin à travers une réalité moins idéale, observée avec justesse. Entre paillettes et larmes, cette fiction qui mêle le show et l’exploration quasi documentaire a le goût de l’aventure.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Un premier long métrage attachant sur l’univers des drag-queens, à travers l’évocation subtile d’un amour improbable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
Si le film décrit avec précision la double facette de la vie d’une drag queen : la scène colorée et festive mais également ces coulisses moins glamours (l’homophobie, les longues séances de maquillages), le film échoue, à force d’être trop sage et éducatif, à retranscrire par de véritables choix de mise en scène toute la force subversive, l’audace politique et l’humour mordant des drags.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Thierry Chèze
Dommage que le scénario ne parvienne pas plus à dynamiter les codes de la comédie romantique qui lui servent de carcan.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Finalement, il reste le goût d’une sitcom qui tourne autour des sentiments sous une grosse boule à facettes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Il s’agit surtout d’une belle histoire d’amour emportée par Pablo Pauly et la découverte Romain Eck.
Femme Actuelle
La réussite esthétique du film tient dans le contraste entre les scènes de vie quotidienne, en demi-teintes mates, et l'éclat coloré du monde de la nuit.
Franceinfo Culture
Florent Gouëlou capte une personnalité, une nature, un univers, mais aussi une fraternité (sororité) à travers une histoire d’amour et d’amitiés. Un film sur la découverte de soi et de l'autre.
LCI
D’une grande douceur, le film raconte le coup de foudre entre un apprenti photographe hétéro et un jeune homme gay qui vit du drag.
Le Parisien
Un film touchant et attachant.
Ouest France
Malgré ses maladresses scénaristiques, une déclaration d'amour vibrante à la culture queer.
CNews
Un premier film prometteur.
CinemaTeaser
(...) le film embrasse trop de tons différents, de situations contradictoires pour être toujours totalement crédible dans l’évolution de son duo. Mais la performance magnétique et très physique de Pablo Pauly apporte les nuances et le trouble qui manquent parfois au scénario.
Ecran Large
Avec cette thématique riche, et grâce à quelques très belles scènes (dans l'intime comme dans le spectacle), Trois nuits par semaine réussit son pari.
L'Obs
Pour son premier long-métrage, à la fois ample et doux, Florent Gouelou, lui-même drag sous le nom de Javel Habibi, entraîne le spectateur en coulisses, pense à « Sueurs froides », bouscule les normes, brasse les genres (film social, road-movie), adresse un clin d’œil à « Titanic » et aborde la question de la cohabitation (...).
Le Journal du Dimanche
Tour à tour drôle et émouvante, cette histoire d’amour flamboyante et sensible faisant l’éloge de la différence séduit par sa sincérité. Ses interprètes n’y sont pas pour rien.
Les Fiches du Cinéma
Non sans quelques défauts et déséquilibres, ce premier film séduit par sa sincérité et ses touchantes interprétations.
Télé Loisirs
Forte de sa remarquable interprétation et de son atmosphère romantique et très humaine, cette comédie nous dévoile l'univers délirant et anticonformiste des nuits parisiennes.
Télérama
Derrière la caméra, le regard de Florent Gouëlou est en émoi aussi. Sa fascination pour les créatures transformistes est un appel du merveilleux, qui fait son chemin à travers une réalité moins idéale, observée avec justesse. Entre paillettes et larmes, cette fiction qui mêle le show et l’exploration quasi documentaire a le goût de l’aventure.
aVoir-aLire.com
Un premier long métrage attachant sur l’univers des drag-queens, à travers l’évocation subtile d’un amour improbable.
Les Inrockuptibles
Si le film décrit avec précision la double facette de la vie d’une drag queen : la scène colorée et festive mais également ces coulisses moins glamours (l’homophobie, les longues séances de maquillages), le film échoue, à force d’être trop sage et éducatif, à retranscrire par de véritables choix de mise en scène toute la force subversive, l’audace politique et l’humour mordant des drags.
Première
Dommage que le scénario ne parvienne pas plus à dynamiter les codes de la comédie romantique qui lui servent de carcan.
Le Monde
Finalement, il reste le goût d’une sitcom qui tourne autour des sentiments sous une grosse boule à facettes.