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À son terme, «Les Rascals» offre, grâce à sa tonalité hybride et son récit engageant, un vent de fraîcheur sur le cinéma français. Jimmy Laporal-Trésor signe ce qui est, à coup sûr, l’un des meilleurs films de ce début d’année, empli d’une énergie folle et d'un sentiment constant de liberté.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Auteur du magnifique "Soldat noir" en 2021, le réalisateur Jimmy Laporal-Trésor nous livre avec "Les Rascals" un premier long métrage qu'on peut considérer comme le prequel de ce court-métrage empli de colère sociétale, et dépose au sein du cinéma français une sorte de petite bombe à fragmentation dont on ne ressort pas indemnes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Premier film oui, mais des décors aux costumes, en passant par la psychologie de la France de l’époque, le travail de recherche est admirable et la reconstitution, jamais scolaire, est spectaculaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Film politique autant que tragédie brutale qui définit une génération et une époque, Les Rascals est un rappel réaliste de la montée de l’extrême droite dans les années 80 en France. Un cauchemar violent. Âmes sensibles s’abstenir.
Les Rascals raconte des oppressions passées pour parler tout haut du racisme actuel, et si le film est d'entrée de jeu hésitant, il ne cesse de monter en régime jusqu'à un final dont la violence touche cruellement juste.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Rascals réussit à être à la fois indiscutablement de son époque, racontant les années 80 et les gangs de Paris, et à parler à notre époque irréconciliée, fracturée par le racisme, la xénophobie et la haine de l’autre, par la rage sombre et revancharde d’une jeunesse sacrifiée.
Avançant avec brio entre un romanesque spectaculaire et un réalisme sans concession, le film retrace la montée des violences et du racisme entre bandes rivales du milieu des années 80. Un souffle de fraîcheur sur le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le casting de jeunes premiers rivalise de charisme, la mise en scène accompagne au mieux la montée de la tension et, cerise sur le gâteau, le projet ne se contente pas de résonner avec l'actualité, échappant de fait au piège du film à thèse.
Découvert avec son court-métrage « Soldat noir », Jimmy Laporal-Trésor continue à ausculter une société en proie à ses démons xénophobes et ses relents colonialistes dans ce premier film pugnace à la mise en scène rageuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Un film à la fois fort et bizarre, handicapé par une reconstitution flirtant avec le folklore et de sérieux trous d’air scénaristiques, mais animé par une foi véritablement rageuse et un groupe de comédiens prometteurs. La vraie curiosité de la semaine.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Tout n'est pas parfait [...], mais il y a tant d'amour pour le cinéma et les personnages d'«Outsiders» (référence au film de Francis Ford Coppola, Ndlr) que l'on ne peut qu'approuver la démarche du cinéaste, surtout que le film révèle aussi de jeunes acteurs dont on n'a pas fini d'entendre parler, Jonathan Feltre en tête.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Ce qui jaillit d’abord à l’écran, c’est le talent d’une actrice. Angelina Woreth ose insuffler de la candeur puis du trouble dans son rôle [...]. Un personnage féminin sans caricature ni héroïsation, joué avec ambiguïté et discernement, par les temps qui courent, cela vaut le déplacement.
Certains personnages manquent de nuances, mais la reconstitution soignée et la vitalité d’une mise en scène stylisée sont enthousiasmantes. Aussi haletant que percutant.
Malgré ses ambitions et une vraie intelligence dans la manière de raconter la plongée skin, tous les potards sont placés trop haut dans Les Rascals si bien que les gerbes d’ultra violence, prises dans cet étau en toc, paraissent fabriquées et finalement c’est le propos qui cogne moins fort.
Une bande de jeunes banlieusards monte régulièrement à Paris pour se défouler. Chronique musclée d’une certaine jeunesse des années 1980, dotée d’une belle distribution de nouveaux comédiens, mais qui manque particulièrement de nuances.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ce teen movie où les HLM ressemblent à des appartements de Palm Beach et où les histoires d’amour sont à peine croyables s’épuise dans une approche didactique de la montée de l’extrême droite en France.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La mise en scène ne parvient jamais à s’affranchir des diktats du film d’époque avec une esthétique bien trop clean pour convaincre et un scénario binaire qui offre un final, au mieux maladroit, au pire, réducteur.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
À son terme, «Les Rascals» offre, grâce à sa tonalité hybride et son récit engageant, un vent de fraîcheur sur le cinéma français. Jimmy Laporal-Trésor signe ce qui est, à coup sûr, l’un des meilleurs films de ce début d’année, empli d’une énergie folle et d'un sentiment constant de liberté.
Culturopoing.com
Auteur du magnifique "Soldat noir" en 2021, le réalisateur Jimmy Laporal-Trésor nous livre avec "Les Rascals" un premier long métrage qu'on peut considérer comme le prequel de ce court-métrage empli de colère sociétale, et dépose au sein du cinéma français une sorte de petite bombe à fragmentation dont on ne ressort pas indemnes.
20 Minutes
« Les Rascals » offre un divertissement spectaculaire pour dénoncer la montée du racisme.
CinemaTeaser
Premier film oui, mais des décors aux costumes, en passant par la psychologie de la France de l’époque, le travail de recherche est admirable et la reconstitution, jamais scolaire, est spectaculaire.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Film politique autant que tragédie brutale qui définit une génération et une époque, Les Rascals est un rappel réaliste de la montée de l’extrême droite dans les années 80 en France. Un cauchemar violent. Âmes sensibles s’abstenir.
Ecran Large
Les Rascals raconte des oppressions passées pour parler tout haut du racisme actuel, et si le film est d'entrée de jeu hésitant, il ne cesse de monter en régime jusqu'à un final dont la violence touche cruellement juste.
Le Dauphiné Libéré
Les Rascals réussit à être à la fois indiscutablement de son époque, racontant les années 80 et les gangs de Paris, et à parler à notre époque irréconciliée, fracturée par le racisme, la xénophobie et la haine de l’autre, par la rage sombre et revancharde d’une jeunesse sacrifiée.
Le Parisien
« Les Rascals » nous plonge dans une guerre des bandes haletante.
Libération
Avançant avec brio entre un romanesque spectaculaire et un réalisme sans concession, le film retrace la montée des violences et du racisme entre bandes rivales du milieu des années 80. Un souffle de fraîcheur sur le cinéma.
Mad Movies
Le casting de jeunes premiers rivalise de charisme, la mise en scène accompagne au mieux la montée de la tension et, cerise sur le gâteau, le projet ne se contente pas de résonner avec l'actualité, échappant de fait au piège du film à thèse.
Public
On s'attache très vite à cette bande d'ados qui ont encore un pied dans l'enfance et qui vont devoir apprendre à faire face.
Rolling Stone
Un film résolument... Coup de poing !
Télé Loisirs
Un film rythmé et fort, qui ne laisse pas indifférent.
Voici
Les Rascals nous immerge dans un Paris des années 80, entre ultra-réalisme et mythification.
L'Obs
Découvert avec son court-métrage « Soldat noir », Jimmy Laporal-Trésor continue à ausculter une société en proie à ses démons xénophobes et ses relents colonialistes dans ce premier film pugnace à la mise en scène rageuse.
La Voix du Nord
Un film à la fois fort et bizarre, handicapé par une reconstitution flirtant avec le folklore et de sérieux trous d’air scénaristiques, mais animé par une foi véritablement rageuse et un groupe de comédiens prometteurs. La vraie curiosité de la semaine.
Le Figaro
Si le scénario s'égare à force de vouloir labourer tous les terrains (social, politique), ces Rascals ne manquent pas de style.
Les Fiches du Cinéma
En dépit d’une écriture parfois épaisse, le tableau sec et sans concessions d’un effondrement français.
Paris Match
Tout n'est pas parfait [...], mais il y a tant d'amour pour le cinéma et les personnages d'«Outsiders» (référence au film de Francis Ford Coppola, Ndlr) que l'on ne peut qu'approuver la démarche du cinéaste, surtout que le film révèle aussi de jeunes acteurs dont on n'a pas fini d'entendre parler, Jonathan Feltre en tête.
Positif
Ce qui jaillit d’abord à l’écran, c’est le talent d’une actrice. Angelina Woreth ose insuffler de la candeur puis du trouble dans son rôle [...]. Un personnage féminin sans caricature ni héroïsation, joué avec ambiguïté et discernement, par les temps qui courent, cela vaut le déplacement.
Télé 7 Jours
Certains personnages manquent de nuances, mais la reconstitution soignée et la vitalité d’une mise en scène stylisée sont enthousiasmantes. Aussi haletant que percutant.
Télérama
Un film coup de poing, dans tous les sens du terme, sur la banalisation du mal.
Transfuge
Malgré ses ambitions et une vraie intelligence dans la manière de raconter la plongée skin, tous les potards sont placés trop haut dans Les Rascals si bien que les gerbes d’ultra violence, prises dans cet étau en toc, paraissent fabriquées et finalement c’est le propos qui cogne moins fort.
aVoir-aLire.com
Une bande de jeunes banlieusards monte régulièrement à Paris pour se défouler. Chronique musclée d’une certaine jeunesse des années 1980, dotée d’une belle distribution de nouveaux comédiens, mais qui manque particulièrement de nuances.
Le Monde
Ce teen movie où les HLM ressemblent à des appartements de Palm Beach et où les histoires d’amour sont à peine croyables s’épuise dans une approche didactique de la montée de l’extrême droite en France.
Première
La mise en scène ne parvient jamais à s’affranchir des diktats du film d’époque avec une esthétique bien trop clean pour convaincre et un scénario binaire qui offre un final, au mieux maladroit, au pire, réducteur.